Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:25

Cela faisait bien des mois que je n’avais pas touché ma femme Nadia, manquant totalement de libido au point d’être même incapable de bander. Cela m’arrive fréquemment, depuis toujours. Pourtant j’ai tout juste dépassé la trentaine et ma femme, Nadia a 24 ans, elle est mignonne, elle a surtout des seins fabuleux, des hanches rondes, la taille fine, et de très gros besoins sexuels. Notre relation n’a jamais reposé sur le sexe (forcément …), mais plutôt sur le fait qu’on s’entend bien et que j’ai un très bon boulot, mais là quand même elle faisait vraiment la gueule, même si on n’abordait pas le sujet. Je sais qu’elle couche avec des types mieux membrés que moi et surtout qui arrivent à bander sans problème et à être endurants au lit, et elle a déjà couché avec certains de mes copains et avec d’autres mecs qu’elle connaît.
Moi j’ai toujours accepté tout ça sans rien dire, vu que je ne peux m’en prendre qu’à moi-même et que je pense qu’il y a, dans la vie, d’un côté les gros queutards sans scrupules, et de l’autre les lopettes, et que ça ne sert à rien de lutter contre ça, chacun sa nature et chacun ses possibilités, moi je suis du côté des lopettes, et les autres mecs en profitent avec ma femme, c’est la vie …

Dans les périodes où je n’arrive vraiment à rien, Nadia est rapidement en chaleur ; elle l’est déjà d’habitude, alors là … je la voyais se toucher les seins le soir au moment où on se couche, je l’avais surprise une fois en train de se caresser la chatte sur le lit, et je suis à peu près sûr que son jeune collègue en avait profité pour la tringler au boulot, comme d’habitude, vu qu’un soir où je l’appelais pour lui demander pourquoi elle était en retard, c’est lui qui avait décroché et il m’avait dit qu’elle était occupée, et j’avais entendu à sa voix qu’il se marrait en me disant ça. Déjà que d’habitude il me regarde toujours d’un air narquois quand je le rencontre ... Mais bon, on restait dans le cadre habituel, ma femme aime la queue, ses gros nibards allument tous les mecs, et moi je n’assure pas au lit et je suis donc bien obligé d’accepter d’être le cocu de service dont la femme fait le bonheur des autres mecs.

Tout ça a pris un tour vraiment gênant quand mon frère, Rachid, est venu passer 3 mois chez nous pour une mission pour son boulot. Il est consultant informatique, et sa venue à la maison était prévue depuis un moment, je n’ai pas vu de problème. Dans la famille, les mecs sont des vrais queutards, sauf moi ; Rachid a 3 ans de plus que moi, est toujours célibataire et il passe son temps à coucher avec toutes les filles qui passent. Il fait du sport ça lui sculpte le torse et les épaules, alors que moi je n’en fais pas du tout. Je savais bien qu’il matait les seins et les cuisses de ma femme à chaque repas de famille, et que Nadia n’était pas insensible, mais il a toujours été super correct, à la différence de mon groupe d’amis. Ils avaient entendu un jour un de mes amis me traiter en rigolant de « cocu de service », mais ils avaient fait semblant de croire mes explications (j’avais expliqué que c’était juste une vanne entre potes). Cela dit, ils se moquent tout de même de moi depuis l’adolescence à propos du fait que j’ai eu peu de copines et qu’elles me quittaient toujours très vite pour un autre, alors qu’eux en avaient parfois plusieurs en même temps, et ils ont été assez surpris que j’épouse une bombe avec des seins de rêve.

Quand Rachid est arrivé, j’étais super content d’accueillir mon grand frère ; je l’admire depuis toujours, et on s’entend vraiment bien. Je n’avais pas trop fait attention au fait que Nadia portait une minijupe vraiment très courte, vu qu’elle s’habille toujours plus ou moins comme ça ; son chemisier blanc était normal, donc tout allait bien. J’ai informé mon frère qu’il dormirait sur le lit pliant, dans notre chambre, puis on a commencé à dîner. Pendant le dîner je me suis quand même rendu compte que Rachid louchait carrément sur les seins de Nadia ; ça m’a surpris, car d’ordinaire je le vois faire ça plutôt en douce, mais j’ai compris quand j’ai vu que Nadia avait dégrafé deux boutons de son chemisier : la vue était plongeante sur son superbe décolleté, on voyait très bien presque toute la moitié supérieure de ses deux gros seins !! A la vue de ces deux gros nibards, mon queutard de frère oubliait complètement les convenances et ma présence, et son regard ne quittait plus les seins de ma femme ! Nadia arborait un petit sourire coquin, elle semblait fière de se sentir désirée par un mec. La conversation s’est un peu éteinte, et Rachid et Nadia ont échangé un long regard, regard interrogateur du côté de mon frère et regard « allumeur » de ma femme, tout ça sans un mot, sans que je puisse me plaindre de quoi que ce soit d’objectif.

Quand on s’est levés, Rachid arborait à travers son jean une énorme érection (mais vraiment énorme !); ça l’a toujours fait rigoler, il a toujours parlé de « son gros zob » avec beaucoup de fierté dans nos conversations entre frangins. Nadia a évidemment caressé sa braguette des yeux, je l’ai vu et lui aussi, on avait l’impression que la queue remontait jusque sous la chemise !! Il avait un peu l’air gêné, mais il faisait semblant de rien, et ça s’est calmé petit à petit. On a pris un café sur le canapé, puis, comme il se faisait tard, j’ai proposé qu’on aille se coucher. L’ambiance était bizarre, je faisais la gueule mais sans oser dire pourquoi je la faisais, vu qu'il ne s'était rien passé de grave. J'ai donc dit "je vais me coucher, Nadia a dit qu’elle me rejoignait, mais j’ai insisté en lui rappelant qu’elle devait bosser le lendemain, et que pour Rachid c’était le premier jour de sa mission chez son nouveau client. Je pense qu’elle a compris que je la soupçonnais de vouloir allumer mon propre frère sous mon toit, pour pouvoir enfin se faire sauter, et donc elle n’a pas insisté ; Rachid n’a rien dit, il nous a suivi en faisant comme s’il ne se rendait pas compte que l’atmosphère devenait lourde entre Nadia et moi.
J’ai toujours laissé ma femme se faire baiser par d’autres gars (pas par plaisir, mais parce que je pense que je n’ai pas les moyens de lutter contre eux), mais là, avec mon frère, c’était trop, je ne suis quand même pas un paillasson. Dans mon groupe de copains, ils se refilent le numéro de portable de ma femme et se vantent devant moi qu’elle est bonne et pas farouche et que c’est génial d’avoir un copain comme moi.
Rachid s’est mis en caleçon, Nadia est allée dans la salle de bains pour se changer, pendant ce temps Rachid m’a juste demandé, d’un air ironique : « ça va ? », j’ai répondu « oui » d’une voix un peu chevrotante, et Nadia est revenue dans la chambre : elle portait un tee-shirt très court et un string !! J’ai levé les yeux au ciel et je me suis couché, en pyjama, en faisant clairement la gueule, pour lui faire comprendre que je la trouvais ridicule et qu’elle dépassait les bornes. Rachid, torse nu et en caleçon, avait les yeux écarquillés et il essayait visiblement de se contenir. Moi je pensais déjà à l’engueulade que j’allais passer à Nadia le lendemain pendant que mon frère prendrait sa douche. Nadia s’est couchée à côté de moi, dans notre super lit « King size » et mon frère s’est couché dans le lit pliant, et on a éteint la lumière. Cinq minutes plus tard, Rachid a dit tout haut : « putain il est super dur, ce lit ! » et j’ai répondu d'un ton sec « c’est tout ce qu’on a ». Un silence, puis il a repris : « déjà que je vais voir un kiné, parce que je me suis fait mal au dos en faisant du sport, ça va pas s’arranger avec ce lit … ». J’ai répondu « ben oui mais je ne peux pas t’inviter à dormir dans notre lit, même s’il est grand, vu que Nadia est en string, ça craint ». Nadia, se sentant attaquée, a répondu, d’une voix amusée « tu es ridicule Karim, … » et Rachid a ajouté « t’exagères, je suis ton frère, Nadia c’est ma belle-sœur, je vous adore tous les deux, vas pas te faire des idées ». Je devenais apparemment ridicule …

J’ai donc cédé en disant : « bon, ok, c’est vrai je me comporte comme un con ». Rachid s’est levé et il nous a rejoint dans le lit. Comme j’étais couché du côté du mur, comme toutes les nuits, il est entré dans le lit du côté de Nadia, et elle s’est retrouvée entre lui et moi. Je ne voulais pas avoir l’air du mari jaloux (ça aurait bien été la première fois), mais je voulais quand même veiller au grain. J’ai donc décidé de ne pas m’endormir au cas où … Je n’ai pas fait semblant de ronfler, je suis resté immobile, l’oreille en éveil. Eux sont restés très sages, et au bout d’un moment j’ai entendu leurs respirations, régulières, m’indiquant qu’ils étaient tous les deux endormis. Je me suis donc laissé aller moi aussi, et je me suis endormi, rassuré.

En général j’ai le sommeil très lourd, mais là je devais être un peu inquiet tout de même, car j’ai été réveillé peu après par un bruit léger, à la fois un bruit de frôlements et de chuchotements. La première chose que j’ai entendu, c’est mon frère qui murmurait « et là, ça te fait du bien ? » et Nadia qui chuchotait « oui, j’aime bien sur le ventre … t’as la main chaude … ». Apparemment, Rachid lui caressait doucement le ventre, sous son tee-shirt ; j’ai légèrement entrouvert les paupières, et dans la pénombre j’ai vu qu’il était relevé sur un coude, penché vers elle. Puis sa main est remontée, et il a murmuré « et là … ? » et elle, après un silence, a répondu tout bas « c’est mes seins … t'exagères ... mais j’adore … » et Rachid lui a dit « ils sont énormes … putain, vraiment énormes ... j’ai la gaule ! ». Mon frère paluchait les gros nibards de ma femme, nus sous son tee-shirt, à côté de moi ! Je croyais avoir tout subi, mais là c’était une première. Il avait l’air d’adorer ça, car ils ne parlaient plus et sa main restait sur ses seins, en passant de l’un à l’autre. 100 D, il y a de quoi se régaler, pour un mec. Soudain j’ai vu, à travers mes paupières toujours mi-closes, mon frère pencher sa tête vers elle, et il a commencé à l’embrasser dans le cou, de façon très langoureuse, avec des bruits de langue, même. Puis ses lèvres sont remontées sur les lèvres de Nadia, et il a commencé à lui rouler une pelle qui m’a semblé durer un temps infini ; en même temps qu’il l’embrassait, il s’est déplacé pour s’installer sur elle, entre ses cuisses, pendant qu’elle remontait doucement ses cuisses autour des hanches de mon frère. A ce moment, elle a murmuré « et Karim … ? » et Rachid a répondu « il dort, ça va … et tu ne vas pas me faire croire que je suis le premier mec à te sauter dans votre lit ! » ; ma femme a répondu par un petit rire ; il lui a alors dit d’enlever son tee-shirt, ce qu’elle a fait immédiatement, libérant ses gros seins pour qu’il en profite pleinement. Ce salaud ne s’est pas gêné et il s’est carrément jeté sur ses seins, il s’est mis à les lécher consciencieusement, à les bouffer, sans faire trop de bruit mais en s’appliquant bien !! En même temps, je sentais qu’il faisait des mouvements de bassin, sans doute pour faire sentir à Nadia à quel point sa queue devenait grosse et raide, en se frottant contre elle. Ca a duré un long moment, elle lui caressait les cheveux, les épaules, et je sentais bien qu’ils commençaient tous les deux à même oublier que j’étais sensé dormir à 20 centimètres d’eux. La langue et les lèvres de mon frère ont continué à parcourir soigneusement les deux seins de ma femme, les tétons et toute leur surface, pendant que je me mordais les lèvres pour ne pas hurler de douleur et de jalousie.

Pour un baiseur comme mon frère, la suite était évidente ; il a commencé à baisser le string de Nadia, elle a relevé les cuisses pour qu’il puisse le lui enlever complètement, et il a glissé ses doigts sur les lèvres du vagin; elle s’est mise à gémir doucement, et il a dit, presque à voix haute : « mhhh en plus tu t’es épilée la chatte … oh t’es toute mouillée, salope … » puis il s’est replacé sur elle pour lui rouler une pelle de nouveau, et les mains de ma femme ont fait descendre le caleçon de mon frère, j’ai senti qu’il se plaçait bien entre ses cuisses de nouveau, et il a commencé à la pénétrer, à faire entrer sa grosse bite dans la chatte de ma femme, comme si c’était tout naturel. Apparemment ça n’était pas si facile, car J’ai senti qu’il arrêtait son mouvement, avec une partie de sa queue seulement enfoncée dans la chatte de Nadia, et il lui a demandé « ça va ? Je te fais pas mal ? » Et elle a répondu « non, c’est délicieux, mais je ne sais pas si tu pourras l’enfoncer plus, elle est tellement énorme … ». Rachid a donné quelques petits coups de reins, tout doucement, en lui chuchotant « détends toi, écarte … » et apparemment il a pu continuer à la pénétrer encore plus, sa queue rentrait mieux finalement (je me suis souvenu à ce moment d’une douche que j’avais prise avec lui, il y a longtemps, et j’avais trouvé sa bite énorme, même au repos, un vrai monstre, et ses couilles aussi m’avaient semblé deux fois plus grosses que les miennes ; la nature est injuste). Là, Rachid a arrêté de nouveau son mouvement, et il a dit à Nadia, sur un ton un peu étonné : « quand même … tu te rends compte ? » et elle a répondu « oui, je sais … baise moi, j’ai trop envie … » pendant qu'elle s'accrochait à ses épaules musclées. Mon sort était scellé.

Ils ont fait l’amour un long moment ; en regardant le réveil matin qui était sur la table de nuit, j’ai pu calculer que Rachid a limé ma femme pendant plus de 35 minutes, toujours en position du missionnaire. Je pense que pour son premier coup avec elle, il voulait lui montrer qu’il est endurant. A certains moments, le plaisir de Nadia était si intense qu’elle poussait des cris, en oubliant totalement de faire attention à moi. Dans ces moments-là, je sentais que mon frère se mettait à la pistonner encore plus vite et encore plus fort. Je sentais chacun de leurs mouvements qui faisaient bouger le matelas, cela me faisait bouger aussi, j’avais l’impression d’être sur un bateau qui tangue, parfois. A plusieurs reprises, j’ai été heurté par le coude de Rachid, ou par son pied, et je continuais à faire semblant de dormir. Après avoir ramoné la chatte de ma femme 35 minutes environ donc, et lui avoir donné deux orgasmes d’après ce que j’ai supposé des cris qu’elle a poussé, Rachid a éjaculé, très longuement et très fort, en poussant un énorme râle de plaisir. Moi j’étais dans un état second, j’avais presque physiquement l’impression de ne plus exister, d’être juste un fantôme à côté de ce couple d’amants passionnés, en tout cas d’avoir une existence moins réelle que la leur.

Rachid a retiré sa queue de la chatte de Nadia, après quelques instants de repos, elle est sortie du lit et est allée vers la salle de bains. Mon frère l’a laissée s’éloigner, puis il a dit « alors frangin, tu vas continuer à faire semblant de dormir pendant que je m’envoie ta femme ? ». Je suis resté silencieux puis, me rendant compte que c’était ridicule, j’ai répondu, tout bas « qu’est-ce que tu veux que je fasse d’autre ? » et il a dit « ben rien, t’as raison, là y’a plus rien à faire pour toi, j’ai honte pour toi, mon pauvre ! Tu te rends compte ? Je n’arrive même pas à y croire, t’es trop naze. ». J’ai murmuré « tu ne vas pas te plaindre, en plus … » et il a répondu « non, ça c’est sûr, quand un mec est nul comme toi et que sa femme est une bombe en chaleur, moi je suis un vrai mec, alors j’en profite, et tant pis pour ta gueule si t’es trop nul et que tu me laisses la baiser dans ton lit ! Purée j’y crois pas, quel pied … je vais la tirer sans arrêt, cette salope, elle aime trop ça, et savoir qu’en plus c’est ma belle-sœur, là rien que de le dire, ça me fout la trique à nouveau … je vais la démonter toute la nuit !! Tu vas chialer, frangin, tu n’as pas fini de m’entendre l’enfiler !! Si t’aimes l’entendre gémir, ouvre les oreilles, je vais lui mettre tout ce que j’ai !! ».

Sans rien répondre, je me suis levé et je suis allé me coucher sur le lit pliant, dans le coin de la chambre. Nadia est revenue de la salle de bains quelques secondes après, toujours totalement nue. Elle a vu immédiatement que j’avais changé de lit, elle s’est assise à côté de Rachid, en regardant dans ma direction dans la pénombre, Mon frère a posé une main sur un des seins de ma femme et il l’a attirée vers lui, elle s’est rallongée et il lui a dit « on va être plus à l’aise, j’ai super envie de te faire l’amour toute la nuit ! ». Il a ajouté « tu vas voir, je vais te sauter au moins 7 ou 8 fois cette nuit » et Nadia a ri en disant « vous êtes très différents dans la famille ! ». Rachid lui a demandé « alors tu veux te la prendre encore ? » et elle a répondu « oui, j'ai envie de te sentir en moi … viens ! Baise-moi comme une chienne, baise-moi de partout ! Encule-moi devant Karim, ton cocu de frère ! ».


Par lailatvx.erog.fr
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Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:24

Depuis 10 ans que nous sommes mariés, l’idée de voir ma femme Karima coucher avec un autre homme m’a toujours excité. Je voulais la voir jouir, la sentir heureuse et possédée par son amant. Je rêvais de pouvoir la prendre juste après cet autre. Je lui avais souvent demandé, mais elle prenait toujours cela comme une plaisanterie.

Il y a environ 6 mois, elle a fini par m’avouer que cette idée l’excitait et qu’elle s’était même plusieurs fois masturbée en pensant à un certain Daoud qui habite plus loin dans notre quartier. Daoud et sa femme sont d’assez bons amis et nous sommes déjà partis en week-end ensemble. Je me rappelle que notre vie sexuelle m’avait paru plus intense après ces escapades mais j’avais mis ça sur le compte du dépaysement.

Au bout de quelques temps, je pris l’habitude de demander à Karima de me raconter pendant que je lui faisais l’amour, ce qu’elle aimerait faire avec Daoud. Elle devenait terriblement excitée, son sexe mouillait et devenait encore plus chaud. Elle me racontait à quel point elle fantasmait de le sentir poser ses mains sur elle, caresser son corps, se faire lécher, toucher son sexe et surtout de se faire prendre. Une nuit où elle était particulièrement excitée, je décidais d’éteindre les lumières et lui dis de faire comme si j’étais Daoud. Je m’étais aspergé du même parfum que lui et je la pris plus violemment qu’habituellement, le sexe gainé d’un préservatif pour être le plus réaliste possible. Cela la rendit folle, elle se mit à gémir son prénom et là, sa chatte mouilla tellement que mes couilles ruisselaient littéralement de son jus d’amour. Elle eut un orgasme fulgurant et moi je me répandis dans le morceau de latex. Je sus ce soir-là qu’il ne faudrait pas longtemps avant que je réussisse à voir ma femme réaliser mon fantasme. Après quelques semaines, elle me dit qu’elle se sentait prête à faire l’amour avec lui. Sa seule condition était de maintenir la femme de Daoud dans l’ignorance, ce qui me semblait raisonnable.

Je ne perdis pas de temps. J’allais régulièrement chez nos voisins pour essayer de l’appâter. Lorsque sa femme était absente, je lui parlais de la mienne. Daoud semblait la trouver séduisante. Ce jour là, je l’emmenais sur des conversations intimes. Lui racontant la façon dont elle me suce, sa manière de bouger le bassin lorsque je la prends. D’après lui, la sienne ne pratiquait pas la fellation et était plutôt rigide au lit. Puis il me dit que sa femme devait partir quelques jours chez sa mère. Je décidai de l’inviter à souper. J’attendis jusqu’au soir pour en parler à Karima. Une fois au lit, je posai ma main sur sa chatte. Tout en masturbant sa chatte humide, je lui annonçai que notre voisin viendrait manger demain soir sans sa femme et que je comptais bien les regarder baiser ensemble. Cela rendit Karima intenable et il me fallut toute une nuit de sexe pour la calmer.

Le lendemain quand je revins du travail elle sortait de la douche. Comme elle semblait un peu triste je lui demandais :

_Qu’est ce qui ne va pas ma chérie ?

_ Je suis inquiète, peut-être en me voyant faire l’amour à un autre homme tu ne voudras plus de moi ou tes sentiments ne seront plus les mêmes.

_Bien au contraire, répondis-je en la serrant dans mes bras, je t’aimerai plus encore, même si je ne crois pas que personne ne puisse être amoureux de toi autant que je le suis déjà.

_Tu es l’homme de ma vie, tu le sais ça ?

_ Oui, mon amour. Es-tu excitée à l’idée de ce que nous allons faire ?

_Oh que oui ! J’ais utilisé trois fois mon vibromasseur en y pensant.

Je la poussai à la renverse sur la table et commençai à lui lécher la chatte mais elle me demanda de ne pas la faire jouir car elle préférait rester excitée de peur de changer d’avis. Je me rendis dans la salle de bain et pris son parfum favori puis en couvris sa chatte et ses seins. Avec mon aide elle mit des bas, un string et une guêpière à lacet. Un très bel ensemble de sous-vêtements noirs que je lui avais offerts pour notre dernier anniversaire de mariage. J’embrassai à nouveau sa chatte à travers le string avant qu’elle se lève et enfile une robe noire qui se boutonne par-devant.

Le soir venu, Daoud est arrivé et nous avons partagé un repas classique. Je priais pour qu’il ne se rende pas compte à quel point nous étions nerveux. Ma femme et moi n’avons pas échangé un seul regard de la soirée. Karima et Daoud ont parlé art et littérature avec un certain entrain. Mais moi je ne pouvais penser à rien d’autre qu’à Daoud en train de baiser ma femme et je savais qu’elle aussi. Finalement le souper se termina et ma femme nous dit qu’elle allait servir le café et le digestif au salon. Nous avions déjà bu du vin pendant le repas et je m’assurais que le verre de notre invité était toujours rempli.

Karima et moi étions d’accord, après un petit quart d’heure de discussion dans le salon, je devais m’absenter en prétextant un coup de fil à passer au travail. Evidemment, il ignorait que je simulais une conversation. Je pris une voix soucieuse et déclarais que je devais passer au bureau régler ce problème informatique. Puis, je revins au salon et mon épouse me demanda ce qui n’allait pas. Une fois mon explication donnée, je leur dis que je ne rentrerai sans doute pas avant minuit. Daoud dit qu’il allait de toute façon devoir partir mais Karima lui demanda de rester parce qu’elle voulait lui montrer un article dans l’un de ses livres d’art. J’ajoutai qu’il pourrait au moins finir son café et son digestif.

Je tremblais d’excitation en démarrant la voiture pour faire le tour du pâté de maison. Puis je me dépêchais de courir à la fenêtre du salon que j’avais laissé entrouverte pour pouvoir les écouter. Karima comptait commencer son entreprise de séduction en lui signalant une douleur musculaire au creux du cou et demander un massage à Daoud. C’est un grand sportif qui a une connaissance pointue des massages.

Je les regardais parler et je pouvais voir ma douce épouse se frotter le cou. Le verre de notre invité était maintenant vide et il hocha la tête en acquiescent à la proposition de ma femme. Elle vint s’assoire aux pieds de notre invité, devant son fauteuil. Elle mit sa nuque à nu en écartant ses longs cheveux noirs, ondulés et je vis ses mains se poser dessus. Je sentais déjà ma queue devenir dure en le voyant toucher ma femme. Je l’entendis gémir doucement et dire combien c’était agréable. Elle se tourna et lui dit qu’il n’était pas obligé de partir s’il n’en avait pas envie. Et elle ajouta que je ne rentrerai pas avant minuit.

Un instant plus tard elle se tourna et mit ses mains sur son torse et commença à le caresser. Il avait l’air surpris mais ne dit rien. Alors elle descendit jusqu’à son zob et se mit à le caresser à travers son pantalon. Il se baissa vers elle et l’embrassa dans le cou tout en frottant sa poitrine. Elle le poussa en arrière, et, allongé sur le sol, ils s’embrassèrent passionnément. Je voyais les mains de Karima caresser fermement ses fesses rondes, elle défit sa chemise et l’embrassa du torse au nombril pour ouvrir sa ceinture et son pantalon.

Je m’étais souvent demandé auparavant si elle serait capable de coucher avec un autre mais maintenant je n’en doutais plus. Il se souleva pour l’aider à retirer son pantalon et son caleçon. Sa queue large se déplia droit vers le visage de ma femme et je souris en voyant son expression. Elle admirait avec stupéfaction la taille de cet engin. Je savais qu’elle n’en avait jamais vu d’aussi grosses, sauf dans les films que nous avions parfois regardés ensemble. Elle était vraiment très épaisse et très longue. Je dois dire que j’étais très excité de savoir que ma femme allait se faire prendre par un sexe aussi gros. J’imaginais déjà la difficulté de la faire jouir après un engin comme celui-ci. Je regardais ce sexe qui se dressait fièrement le long de son ventre jusqu’au nombril. Ma femme se mit à le caresser doucement tout en le regardant avec envie. En durcissant, elle sembla devenir plus large encore. Karima commença à embrasser cette queue offerte, d’abord sur la longueur puis finalement elle prit le gland entre ses lèvres. Du liquide, témoin de son excitation, perlait déjà pendant qu’elle décrivait des cercles de la langue sur le gland gonflé. Des fils laiteux reliaient sa bouche au gland lorsqu’elle se reculait pour mieux l’admirer.

Ma femme se mit à pomper ce membre imposant, bien qu’elle ne puisse le sucer qu’à mi-longueur. Elle commença lentement mais bientôt de plus en plus vite, puis ralentissant pour malaxer ses grosses couilles velues de sa main. Parfois, elle descendait les flatter de la langue, les gobant chacune leur tour. Je n’arrivais pas à croire que cela puisse durer aussi longtemps, elle le suça pendant de longues minutes. Il se contrôlait vraiment très bien, j’aurais sans doute déjà joui à sa place.

Elle se releva et déboutonna sa robe et faisant onduler son corps très sensuellement. Daoud la félicita pour ses jolies dessous. Il délassa la guêpière et ses mains prirent ses seins en coupe. Il les serra pendant que Karima gémissait de plaisir. Ma femme a une poitrine volumineuse et très ronde avec des mamelons très bruns qui me faisaient envie rien qu’en les regardant par la fenêtre. Ma queue était dure comme du fer et je me masturbais lentement tout en les observant se dévêtir. Ils se mirent à genoux et s’embrassèrent passionnément. Elle caressait ses fesses musclées de sportif tout en écrasant doucement sa poitrine contre son torse. Lui de ses bras la serrait plus fort contre lui. Les voir mêler leurs langues et s’embrasser aussi passionnément m’apparaissait d’une sensualité inouïe. Ensuite Karima se mit debout et Daoud finit de la déshabiller. Il était toujours à genoux et commença à embrasser son ventre, ses seins, son cul. Le mini string noir de ma femme mettait ses fesses en valeur. Il les écartait de ses mains pour mettre à jour la fine bande de tissu qu’il crocheta afin de le faire glisser au sol. Gardant ses fesses écartées, il taquina son petit anus du pouce avant d’y déposer une langue gourmande. Elle se pencha en avant pour lui offrir sa petite chatte épilée. Il ne se fit pas prier pour fouiller et sucer son sexe, des grandes lèvres au clitoris avec une certaine habilité, vu les réactions de ma femme.

Après de longue minute de ce traitement, elle le fit s’allonger, se positionna debout au-dessus de son visage et entama une masturbation des plus érotique. Elle plongeait lentement ses doigts dans son vagin tout en se pinça délicatement le bouton d’amour. Elle ondulait du bassin et lui offrant une vision qui devait être des plus excitante. Une main était occupée au plaisir de son sexe, l’autre voyageait de ses seins à son petit anus qu’elle aime taquiner lorsqu’elle se caresse. Puis elle descendit pour coller son sexe sur le visage de son amant. Il lui écarta les fesses et plongea sa langue dans sa fente juteuse pendant qu’elle frottait son clitoris son visage. De la main, il lui caressait les fesses. Son doigt trouva l’entrée étroite de son anus, légèrement entrouvert. Il plongea son doigt dans son vagin pour le lubrifier davantage et il le posa contre la petite rosette pour le caresser d’un mouvement de plus en plus insistant et pénétrant. Son doigt finit par la pénétrer. Il se mit à le faire coulisser d’avant en arrière. Tout en la dilatant, il lui dévorait la chatte. Sa vulve était gonflée et humide comme je ne l’avais jamais vu. Soudain, elle fut secouée d’un orgasme fulgurant, elle se cambra et sa bouche s’ouvrit dans un cri étouffé.

Elle ne pouvait plus attendre. Elle vint sur lui et prit sa queue en main. Tout en le branlant, elle commença à descendre sur le zob dressé, s’empalant centimètre après centimètre. Ses yeux étaient fermés, concentrée sur son effort, elle sentit le gland énorme écarteler ses chaires jusqu’à ce que toute la longueur de la queue fut en elle. Ma femme gémissait de façon continue, rendue folle par cette invasion de taille. Après quelques secondes d’immobilité, pour s’habituer à un tel gabarit, elle se releva jusqu’à se libérer et faire ressortir le sexe luisant et glissant de plaisir, puis elle se rassit à nouveau lentement. Elle recommença ainsi plusieurs fois, à chaque fois plus vite, plus fort. J’entendais ma femme crier de plaisir et je n’arrivais pas à croire que Daoud n’ait pas encore joui. Karima jouissait intensément, je crois qu’elle a eu plusieurs orgasmes. Epuisée, elle se laissa rouler au sol. Je voyais maintenant distinctement sa chatte béante et luisante. Daoud vint se placer au-dessus de ma femme et guida sa queue vers sa fente. Elle lui griffait le dos et les fesses. Il la baisa brutalement pendant encore 5 bonnes minutes, ma femme était transformée en une masse de jouissance. Il s’arrêta dans un dernier coup de rein violent. Je le vis se contracter tandis qu’il giclait abondamment à l’intérieur de ma femme, en donnant quelques coups de queue bien profondément. Ils restèrent soudés quelques minutes puis il se retira. Je vis son perme couler de la vulve dilatée de Karima. Le liquide envahissait la raie de ses fesses. Elle en prit sur ses doigts et les porta à sa bouche pour le goûter. Ils restèrent encore dix minutes, allongés à se caresser et à s’embrasser, puis il se leva et commença à se rhabiller.

En voyant sa queue mi-dure pendre dans le vide, Karima la prit dans sa bouche pour avoir les dernières gouttes de sperme. Sous l’effet de cette fellation, il bandait de nouveau. Cela motiva mon épouse qui se mit à le sucer de plus en plus vite. Le pénis avait repris tout son panache. Elle se détacha et se positionna en levrette devant lui. Elle lui offrait la vue de ses parties intimes souillées de sperme en écartant les fesses des deux mains. Elle était belle et impudique. Comprenant l’invitation, il posa son gland luisant sur la petite étoile brune de ma tendre épouse. Sa petite rosette, qu’elle m’offre rarement, va bientôt être prise par un sexe que je n’aurais jamais aussi gros. Il poussa son gland entre les chaires serrées. Ma femme grimaçait de douleur, mais le laissa faire. Il entra doucement mais d’une seule traite. Elle le guidait un peu dans sa progression. Une fois qu’il fut bien calé au fond, c’est mon épouse qui donna le rythme par des mouvements du bassin. N’ayant pas l’habitude de ce type de pénétration anale, il ne put se contrôler et l’attrapa par les hanches et la pilonna sévèrement. Ma femme hurlait de douleur ou de plaisir, je ne pourrais le dire. Il se figea puis éjacula à grands coups de queue bien profond dans les intestins de mon amour. Ils s’embrassèrent encore puis il se revêtit et se dirigea vers la porte pour partir. Dès que je fus sûr qu’il était parti, je retournai à ma voiture pour "rentrer" à la maison.

 

Karima m’attendait, assise dans le fauteuil et visiblement épuisée. Elle me sourit et me demanda si j’avais aimé ce que j’avais vu. Elle devina vite à la bosse dans mon pantalon et à mon baiser passionné que j’avais apprécié. Elle ouvrit grand les jambes et m’offrit la vue de sa chatte. Elle était gorgée de sperme, pleine, ruisselante. Je me jetais dessus pour boire le mélange de sperme et de mouille de ma femme et la lécher passionnément. J’étais si excité que lorsqu’elle me caressa le sexe, je lui éjaculais dans la main. Epuisée, elle s’endormit avant que je puisse lui faire l’amour et pouvoir mélanger mon sperme à celui de son amant. Le lendemain matin, après lui avoir fait l’amour, elle me dit qu’elle aimerait recommencer. Depuis, Daoud vient régulièrement baiser ma femme, mais il ne sait pas que je les observe depuis l’extérieur. En réfléchissant à tout cela, je me suis rendu compte que c’était moi qui goûtais le plus au sperme de Daoud !!!

 

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Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:21

Nadia mon épouse avait eu quelques amants depuis le début de notre relation, elle ne refusait pas un coup de queue à l'occasion. Nous avions convenu que, dès l'instant où elle me le racontait, c'était tout à fait acceptable.
Petit à petit, je pris conscience que j'aimais bien la savoir dans les bras d'un autre. Je prenais spécialement plaisir lorsque ses récits me la laissaient imaginer bien cochonne, en train de tailler une pipe sur une aire d'autoroute, ou bien prise en levrette sur la moquette d'une chambre d'hôtel.
Un jour, je la décidai à me montrer ses talents et nous avons passé une annonce.

Ali, un beau mec bien musclé, la trentaine, avait répondu à l’annonce.

Nous sommes allés chez lui, et nous avons tout de suite sympathisé, quelques instants après, il déshabillait ma femme doucement, caressait ses seins, ôtait son pantalon, et passait ses doigts à l'orée de son string, puis de plus en plus à l'intérieur du string. Nadia était aux anges. Ali a fini de baisser le string et Nadia s'est retrouvée nue. Alors, elle a commencé à déshabiller son amant, puis elle a ouvert le pantalon et sorti doucement le sexe d'Ali et a commencé à le sucer, à lécher la hampe, revenir au gland, tout en lui malaxant les couilles.
C'était la première fois que je la voyais avec un autre homme, j'étais un peu étonné de l'ardeur qu'elle mettait pour sucer cette queue, et aussi de sa technique. Je m'étais moi-même déshabillé et je me masturbais.
Mon épouse me fit signe de m'approcher, et me tendis le sexe d'Ali pour que je le suce, pendant qu'Ali lui enfilait un doigt dans l'anus. Nadia tenait bien en main le sexe d'Ali et le reprenait de temps en temps dans la bouche voluptueusement, et bientôt elle le conserva pour elle en me faisant comprendre que je devais m'éloigner. Ali la fit relever, et l'installa devant lui, de dos, il la tenait par les seins, il présenta son sexe devant sa fente et l'enfila avec lenteur, puis se retira et la ré enfila, cette fois par l'anus. Il entreprit de la baiser ainsi tout à tour dans ses deux orifices.
Ma femme se cambrait de façon à bien suivre le mouvement, et lui laisser son sexe en entier.
Ils étaient installés de profil par rapport à moi, et je voyais à chaque instant la verge d'Ali ressortir puis replonger dans l'autre trou. Cela dura très longtemps, Nadia passa des petits gémissements aux cris, et encourageait son partenaire à la limer ainsi plus profondément. Ali se tournait vers moi de temps en temps pour bien me montrer comment il prenait mon épouse.
La lenteur et l'intensité de ses pénétrations m'étaient insupportables, ils étaient insolents de beauté, je n'ai jamais rien vu d'aussi beau que cette scène d'amour qui se déroulait devant mes yeux, et je ne l'ai jamais oublié. Finalement les cris de Nadia devinrent de vrais cris d'orgasme, presque des sanglots tellement cet orgasme était violent. Ali poussa plus encore son sexe, ma femme semblait tenue en équilibre sur ce sexe, et poussa lui aussi des cris d'orgasme, il déchargea à l'intérieur de mon épouse, dans la chatte ou dans l'anus, je ne sais plus, les deux orifices avaient reçu une part égale du sexe de son amant.
Les yeux illuminés, ils partirent tous les deux prendre une douche bien méritée. Je ne savais plus que penser, la jalousie de voir sa femme emmener si haut au paradis, la reconnaissance envers un amant aussi extraordinaire, je n'avais plus le coeur d'aller voir ce qui se passait à la douche, car les rires et les petits cris avaient repris. Ils revinrent vingt minutes plus tard, Ali me déclara, « j'ai rasé le minou de ta femme, c'est beaucoup plus excitant »
et effectivement la chatte de Nadia était parfaitement lisse, et montrait parfaitement ses lèvres gonflées et entrouvertes.
Nadia me dit tendrement « Alors, ça t'a plu de voir ta petite femme se faire baiser avec un inconnu?»
Je lui répondis que je n'avais jamais rien vu de plus beau.

Ali la rebaisa encore trois ou quatre fois cette nuit-là, elle eut à chaque fois des orgasmes de plus en plus forts. Dans les jours suivants, Nadia m'avertit plusieurs fois qu'elle passerait dire bonsoir à Ali, qu’elle rentrait à quatre heures du matin, la chatte trempée, en me racontant un peu sa soirée, j'étais à chaque fois tellement excité que je jouissais très vite dès que son récit devenait un peu cru.
J'invitai Ali à passer la semaine suivante, ma femme partit à la salle de bain, il la suivit peu de temps après, ils restèrent un long moment, à la fin, j'allais voir, Ali était debout, Nadia était empalée sur sa queue, ils m'expliquèrent qu'ils n'avaient pas pu attendre, que leur envie était trop forte.
Je commençais à prendre conscience que j'étais vraiment cocu et à faire un peu grise mine.
Ils se rendirent compte de mon état, Nadia commença à me sucer, Ali m'offrit son sexe à sucer, Nadia me dit « tu sais, c'est un peu normal d'avoir envie d'une aussi bonne bite ».
J'étais cocu et je fis contre mauvaise fortune bon coeur, j'assistais à leurs ébats de la soirée, tout compte fait bien content de ma position, j'avais voulu être cocu, je l'étais bel et bien, cocufié par un amant exceptionnel.
Il y eut encore quelques rencontres, puis un beau jour Ali disparut de nos vies, avait-il eu peur de tomber amoureux ?
Cette histoire s'est passée il y a 2 années. Souvent, au lit nous reparlons d'Ali avec beaucoup de regrets. Pour ma femme, ça reste ses meilleurs moments d'amour, et pour moi, mes meilleurs moments de cocu.
Cette histoire est une histoire vraie, vécue avec plaisir.

Par lailatvx.erog.fr - Communauté : maris cocus mais heureux
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Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:18

Puni devant ses amants

Internet c'est génial ! Mais quelquefois on va un peu plus loin que l'on voudrait et on se trouve piégé volontairement. J'avoue que cela m'est arrivé et que tout compte fait, je ne le regrette pas. Cela m'a permis une révélation. En l'absence de mon épouse, je surfe allégrement sur divers "chats" et Forum.
Un jour où je pianote sur un serveur plutôt SM, Nadia mon épouse me surprend. Elle est assez ouverte mais quand même ça la choque un peu. Elle m'ordonne d'interrompre la communication. Je m'écrie : "Laisse-moi regarder, je discutais avec un annonceur qui proposait de prendre la femme d'un couple devant son mari." Elle me regarde droit dans les yeux et me dit : "Qu'as-tu répondu ?" Je lui dis que je n'ai pas encore répondu. Elle ne me croit pas. J'arrête de surfer et on n'en discute même pas.

Avant de continuer, je veux juste vous dire que Nadia ma femme a 25 ans, mesure 1m68 pour 51 kg et qu'elle est vraiment superbe avec de beaux seins, et surtout un "cul de reine" comme j'aime le dire : bien rempli et ferme sans être trop gros.

Quelques jours après, un couple de nos amis nous invite pour dîner. Après un repas bien arrosé, notre hôte nous convie à voir des vidéos un peu scabreuses. Un autre homme baise son épouse devant lui. Ce qui me fait penser à l'annonce sur Internet. On sort de la soirée, bien excités.
Une fois couchée, mon épouse me reparle du film. Aussitôt, je me mets à bander. Elle s'en aperçoit et me dit : "Tiens, cela a l'air de te faire de l'effet, tu aimerais que je le fasse devant Toi ? " Je grogne une réponse incompréhensible, mais ma queue est dure comme une barre de fer. Ma femme l'engloutit et je lui emplis la bouche aussitôt.

Quelques jours plus tard ma femme me propose elle-même de surfer ensemble. Nous nous amusons comme des fous, et plusieurs jours durant on taquine les Forums et les "chats".
Nous aimons jouir après nous être excités à dialoguer.
Puis voilà qu'un jour on tombe sur le même internaute.
Mon épouse tout excitée me dit en m'attrapant les testicules : "Je suis sûre que ça te plairait d'être cocu." Je bande. Elle jubile...

Quelle n'est pas ma surprise quand elle prend un rendez-vous avec ce monsieur. Elle prétend que cela va mettre du piment dans notre vie. Le soir arrive, nous allons au rendez-vous, dans un petit bistrot discret. Le type est là. Grand, mince, d'allure aisée, trente ans maximum.
II déshabille ma femme des yeux. Après avoir pris l'apéritif, il nous propose d'aller dîner dans un restaurant. Le repas terminé, ma femme lui dit tout de go : " Si nous parlions de choses sérieuses, choses pour lesquelles nous nous sommes rencontrés. " Et aussitôt nous partons pour son appartement.
Afin que la narration de cette escapade ne soit pas trop longue je passe sous silence la description des lieux, etc.

Mon épouse n'attend pas qu'on l'invite à se déshabiller. En un clin d'œil, elle est nue. L'homme siffle, admiratif. Ma femme se tournant vers moi me dit : "Karim, déshabille-toi, cocu, tu seras plus à l'aise pour me voir baiser." Le gars est bien proportionné, les couilles bien accrochées, la verge assez longue. Ma femme va vers lui et lui caresse la queue. II bande aussitôt. Elle s'apprête à me faire cocu, et ça va se passer sous mes yeux ! Je vois l'excitation lui rougir la figure. Je m'étonne de ma passivité, mais je comprends qu'une certaine curiosité malsaine me retient.
Mon épouse montre un empressement qui me choque un peu, car il me semble qu'elle ne l'a jamais eu avec moi. Elle se colle au mâle et l'embrasse. La verge de son amant est devenue énorme, le gland est largement décalotté et plus gros que le diamètre de la tige.
Elle prend les testicules de l'homme dans une paume et de l'autre main attrape le mandrin et absorbe difficilement dans sa bouche gourmande la pointe du morceau. Je crois que je n'ai moi-même jamais tant bandé. Quelle salope, je ne l'aurais jamais cru capable de faire ça devant moi. On dirait que cela décuple son plaisir. Ils se dirigent tous les deux vers un lit. Le mec se couche sur le dos et dit : "je vois que tu es une belle salope, et bien chevauche-moi, ça ne sera que meilleur et plus excitant aux yeux de ton mari." Je la vois, les cuisses largement ouvertes, s'empaler lentement mais profondément sur la verge.
Elle ouvre la bouche, exhale un soupir, s'agite et au bout d'un moment crie sa joie, les joues cramoisies et les yeux révulsés. Elle s'affale sur le mâle et l'embrasse à pleine bouche. "Oh, que c'était bon", s'écrie-t-elle. Le gars lui fait remarquer que son jus a coulé abondamment sur ses couilles, que le lit est trempé. En effet une large tache de cyprine s'étale sur les draps. Elle n'avait jamais autant joui.

 

Le retour en voiture est silencieux. Chacun essayant de remettre ses esprits en place. Au lit, on commence à parler de la soirée. Conséquence, une érection terrible. Elle me le fait remarquer et ajoute : "II faudra recommencer."

Depuis ce jour, elle s'habille d'une manière plus provocante, plus sexy. Minijupe, porte-jarretelles, string ficelle, soutien-gorge pigeonnant... Et elle rentre plus tard le soir. Un soir, je l'attendais derrière la porte d'entrée. Je lui demandai d'où elle venait ; seule réponse une formidable paire de gifles qui me fit vaciller. Je tombai à genoux en gémissant. Elle me regarda droit dans les yeux et dit : "je vais te dresser". Soulevant sa robe jusqu'à la taille, elle ajouta : "Tu vas le savoir, d'où je viens, lèche, salope, tu vas manger tout le sperme de mon amant." Comme je restais interloqué, je reçus une nouvelle paire de gifles, elle m'attrapa par la nuque et me maintint la bouche contre son sexe démuni de culotte.
Je me sentais vaincu et servilement, je me mis à sucer. L'odeur forte du sexe et du sperme m'excitait. Je léchais avec avidité, elle s'en aperçut, m'insulta et jouit dans ma bouche. "Puisque tu aimes être cocu, à partir d'aujourd'hui tu feras ce que j'exigerai de toi. Je veux que mes amants viennent me faire l'amour ici. Tu seras notre servante et comme ma copine me disait: il faut qu'il soit à ta disposition et pour cela, il te faut le dresser durement à la cravache ou au martinet, même en présence de tes amants."
Depuis ce jour, ma femme Nadia ne m'appelle plus chéri mais cocu, et à chaque fois j'ai un début d'érection.

Et puis maintenant, je suis régulièrement fouetté et j'en bande à éclater, surtout lorsqu'elle me bat en présence des mecs, ils sont parfois surpris, certains s'en vont, d'autres prennent la cravache en main. Le fouet ou la cravache, ça fait mal, Je crie, je supplie, je pleure parfois, mais tout compte fait ma nature masochiste est comblée de cette situation et je jouis après comme un damné en me masturbant devant eux. Je leur porte le déjeuner au lit le matin.

Son jeu préféré : me prendre la bite pour la rapprocher de celle de son amant, afin de comparer les tailles et le degré de rigidité, ça l'amuse beaucoup car je suis assez court.
Elle a l'intention de me faire prendre par des mecs qui aiment baiser les époux complaisants, elle cherche ces garçons sur internet.

Vous voyez jusqu'à quel point je suis devenu sa chose.

 

 

 

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Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:16

Depuis le temps que je me promène sur des sites d'histoires érotiques, l'envie de vous raconter mes aventures sexuelles me pousse à franchir les pas.
Je me prénomme Karim et je suis une travestie surnommée Laila, de 30 ans. Cela fait maintenant plus de 14 ans que j'aime me sentir femme. C'est maintenant devenu une nécessité. Mes premiers émois de travestie, je me les procurais en fouillant dans les tiroirs et la garde robe de ma mère et de ma sœur, ce dès mon adolescence. Je me souviens avoir enfilé leurs plus belles lingeries (guêpières, porte jarretelles, string, boxer, soutif etc..) leurs plus beaux vêtements (robes, jupes, tailleur). J'avais même la chance de pouvoir mettre une paire de mules noires vernis de toute beauté. Et là, je prenais des poses les plus sexy possibles devant une glace que je posais devant mon lit ; Je me mettais dans la peaux d'une femme très classe, bourgeoise qui avait envie de tromper son mari et d'être avec des hommes. J'avais donc déjà très jeune des envies de sexes d'hommes et en les imaginants, ils devaient être matures. Encore maintenant mes recherches s'orientent vers ces hommes. Certains me reconnaîtront certainement sur Internet sous le pseudo de «lailatvx».
J'ai donc envie de vous raconter une série d'aventures sexuelles qui m'on marquées tellement elles ont été chaudes.
La première d'entre-elles est en rapport avec mon dépucelage. Je venais d'avoir 15ans et je devais me rendre chez Samira ma tante quelques jours pour passer une partie de mes vacances. En me rendant chez elle pour les vacances, je ne savais pas que j'allais enfin connaître le plaisir d'appartenir à un homme. J'allais connaître mon 1er amant.
Chez elle, je savais que j'allais me retrouver seul car elle travaillait toute la journée. Par conséquent, j'allais pourvoir m'éclater avec ses vêtements. Me travestir en toute tranquillité. Passer ses plus belles lingeries. J'étais aux anges.
Le premier matin, je décidais de passer une jolie guêpière tout en dentelle noir et rouge. Une vraie merveille. De jolis bas noirs avec la couture rouge et un string assorti rouge et noir. Je me sentais déjà très sexy, très femelle, très sensuelle. Pour achever ma transformation, j'enfilais des chaussons à talons en daim avec, je me souviens un pompon dessus. Je déambulais ainsi dans son appartement sans gène à imaginer des scénarios très coquins. C'est à ce moment que le téléphone se mit à sonner. C'était ma tante qui m'avertissait qu'un de ses collègues devait passer dans la matinée pour prendre un dossier important. J'avais à peine raccroché que la sonnette de l'interphone se mit à sonner. Imaginez dans quel état de panique j'étais à ce moment. Je réponds en lui ouvrant la porte d'entrée ; Il me restait à peine une minute pour me changer. C'était franchement impossible. Je jette les chaussons, j'enfile un bas de survêtement et un t-shirt. La sonnette retentit et je lui ouvre.
Ouf c'était limite !
J'ai devant moi un homme d'environs 50a très bien habillé en costume- cravate, très classe, brun assez typé avec des cheveux poivre et sel. Ce qui m'a tout de suite marqué, se sont ses mains très épaisses et son regard noir se poser sur moi pour me dire bonjour.

- bonjour c'est Brahim le collègue de Samira, elle m'a dit de passer car tu étais chez elle.
- Entrez, elle m'a prévenu à l'instant de votre venue. C'est pour un dossier je crois. Suivez-moi, il doit être dans le salon.

C'est incroyable ce qu'il m'arrive ; Je suis très inquiet sachant que dessous mes vêtements je suis en sous-vêtements de coquine ; Mais en même temps hyper excité en présence de cet homme.

Et là, la confusion :

-dis moi tu es bien son neveu ?
-oui pourquoi ?
-Ben j'ai comme l'impression que sous tes vêtements, tu as plutôt envie d'être sa nièce

Tout en me disant ça, il me met la main aux fesses et tire sur les jarretelles.

- C'est quoi ça dessous ton pantalon?
- Svp, ne dites rien à ma tante, elle m'engueulerait et le dirait à ma mère.
- D'accord ma chérie mais montre moi alors ce que tu me caches.
- Attendez-moi, je reviens dans 5 minutes.

J'entre dans la chambre de ma tante pour retirer mes vêtements et me retrouver en dessous. Que faire ?? Je suis tellement excité de me montrer et en même temps très peureux de sa réaction. Tant pis, je me lance. Je remets les chaussons pour avoir une démarche chaloupée, réajuste ma panoplie de femelle et rejoint Brahim. J'entre ainsi vêtue dans le salon.
En sifflant il me lance :

- La p'tite coquine comme elle est adorable. Viens approche ma puce que je te vois encore mieux.

Et là, du haut de mes talons, je m'avance en remuant du cul. Je me retourne et cambre mes reins à quelques centimètres de lui. Je prends des poses de plus en plus chaudes et lui se régale des yeux tout en me complimentant sur mes petits trésors. Je sens ses mains se poser sur mes fesses, me les malaxer, me les écarter et sa bouche venir me les croquer. Quel régal ; Il me faisait craquer par ses caresses et j'avais de plus en plus l'impression d'être une fille .Il me mit à 4 pattes sur le canapé et tout en écartant mon string, il vint poser sa langue sur ma rosette. A ce moment tout s'enchaîna.

-Ma petite salope, tu vas voir je vais bien m'occuper de toi.
- Vous savez je suis encore pucelle.
- t'inquiète pas tu vas aimer, je vais bien m'occuper de ton éducation. Mais d'abord tu vas venir me pomper la bite.

J'allais avoir la 1ere bite d'une très longue série. Elle était assez longue, mais surtout très épaisse. Pleine de veines et complètement raide.

- Suce moi ma chérie tu vas l'adorer.

Je m'appliquais à prendre en bouche cette queue de rêve. Je le suçais sur toute sa longueur, je le léchais et le branlais en même temps ; J'allais devenir accros à la bite. Une dingue de la pipe.
Il m'arrêta pour m'allonger sur le dos et pour me lécher de partout. Il s'attarda sur ma rondelle et faisait venir sa langue dessus et dedans. J'avais les cuisses écartées au maximum, les jambes en l'air tenues par ses mains

- Ma chérie je vais venir te dépuceler. J'ai envie de ta petite chatte. Te pénétrer et te faire hurler de plaisir.
- Viens mon amour ; baise-moi. Je te veux. Dis-je sans m’en rendre compte.
Il vint placer sa queue à l'entrée de ma rondelle, et en poussant doucement pour s'enfoncer, il vint me branler le clito et m'embrasser les seins. Il me les mordillait tout en me pénétrant de plus en plus. J'avais mal mais ses caresses me faisaient tellement de bien.

- Viens, Baise-moi à fond. Dépucelle-moi la chatte ! (Etait-ce moi qui parlais ou la femelle vicieuse qui sommeillait en moi ?)

J'avais mes jambes autour de ses hanche et mon amant qui tendrement faisait des va et vient dans mon cul. Très rapidement je jouissais du cul et lui se déchaîna. Il me retourna pour me prendre en levrette. Je jouissais encore et encore. Il se retira pour venir jouir sur mes fesses. J'avais la raie qui coulait. J'étais heureuse et comblée.
Il m'a prise dans ses bras, m'embrassa et me donna son téléphone pour que l'on se revoie.
Il dut partir pour aller bosser. J'étais heureuse ; comblée. J'avais enfin connu mon 1er amant. Inutile de vous dire que je l'appelai plus tard pour une nouvelle aventure.

 

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