Samedi 8 octobre 6 08 /10 /Oct 09:32

Nadia et Karim, jeune et beau couple de 30 ans, décide à aller à la plage.

Avant de partir, Nadia a tenu à ce que son mari lui mette un bon coup de queue. A peine fini, le téléphone sonne.
-Allo…oui ? Répond Karim. Non, ce n’est pas vrai ! Momo ? Mais bien sûr, on se rejoint à la plage !
-Oh non, pas ce con, tu sais que je le hais ! En plus, il ne pense qu’à niquer !
-Il est peut être mieux monté que moi, sourit Karim, mais il ne t’a jamais manqué de respect que je sache.
-Pfft, n’importe quoi ! Reprend Nadia. Une queue, c’est une queue. Il n’a pas intérêt à me draguer, il sera vite remis en place ! Déjà que quand je suis seins nus, il n’arrête pas de me les reluquer !
-Ben alors, il aime ce qui est beau. S’il te plait, réserve lui un bon accueil, ne lui fais pas la tête !

 

A la plage, à l’abri des regards indiscrets, Nadia se place entre Momo et son mari. Au bout de dix minutes, Karim s’assoupit. Momo, couché sur le côté, admire la magnifique poitrine dressée de Nadia, aux bouts tendus. Elle le remarque et joue sur sa plastique, comme pour le narguer.
-Ils sont beaux mes seins, n’est-ce pas ? L’allume-t-elle. Si tu savais comme Karim se régale quand il les caresse ! Il me prend les bouts entre deux doigts et les fait tourner…comme ça…il me rend folle ! Dommage, ce n’est pas pour tes sales pattes ! Allez, j’ai besoin de dormir.

 

Nadia est allongée, la paume des mains tournées vers le haut. Momo attend qu’elle s’endorme. Sans bruit, il s’approche d’elle, sort sa queue de son maillot et la pose dans la main de la jeune femme. Est-ce un réflexe, toujours est-il qu’elle referme ses doigts sur la bite en érection. Involontairement, elle la décalotte et entame de lents va et vient sur l’imposant calibre. Soudain, elle est tirée de son sommeil par un liquide chaud qui coule au creux de sa main. Elle ouvre les yeux, et croise le regard de Momo.
-Enfoiré, murmure-t-elle, mais qu’est-ce que tu as…tu t’es fait branler salaud…tu es fou !

 

Un sourire au coin des lèvres, Momo range sa bite et va se baigner. A côté, Karim commence à s’agiter. « Mon dieu, se dit-elle, je ne peux pas m’essuyer à la serviette ! ». Ni une, ni deux, elle porte sa main à sa bouche, lèche l’épaisse semence et l’avale. Pour lever le gout, elle prend une gorgée de Coca. Karim s’étire et prend sa ravissante épouse par la taille.
-Embrasse-moi ma chérie ! Hum…tes lèvres ont bon gout aujourd’hui, j’adore ! Où est Momo ?
-Hue…bégaie Nadia, ce sa…il a dû aller se baigner sans doute.
-Ça ne te gêne pas si je vais faire de la planche à voile ? Momo te tiendra compagnie, et sois gentille avec lui !

 

Effectivement, Momo arrive et s’allonge à côté de Nadia. Celle-ci évite le regard bleu de ce bel homme.
-Je viens de croiser Karim, je voulais lui raconter la blague de tout à l’heure, mais je n’ai pas voulu lui couper les bras.
-Quoi ? Gronde Nadia. Quel toupet, mais tu es malade, tu as profité de la situation, sois au moins discret !
-Mais ça dépend de toi ma chérie, dit Momo. Si tu me laisse caresser le bout de tes seins, que je les fasse bien rouler entre mes doigts, comme tu m’as fait voir que Karim faisait, peut-être que je me tairais ?

 

Nadia, prise de court, réfléchit à cet odieux chantage. Sa vie de couple est en jeu, elle aime son mari.
-Tu ne me laisses pas le choix, c’est ça que tu veux, que j’accepte tes saloperies ? D’accord, vas-y, vite fait !

 

Momo se met sur le côté et tend la main. Il effleure la superbe poitrine, fait rouler les bouts entre ses doigts. Il remarque justement que les bouts deviennent de plus en plus gros, de plus en plus durs. Nadia ferme les yeux, comme si elle apprécier la caresse !
-Assez maintenant, souffle-t-elle, ça suffit, lève ta main, tu as eu ce que tu voulais !

Mais Momo en veut plus ! Sa main parcourt le corps de Nadia, caresse le ventre, le galbe parfait des hanches, puis arrive entre les cuisses. Furieuse, elle retire violemment la main intruse.
-Mais où vas-tu…tu me prends pour qui ? Dégage de là ! Tu ne veux pas que je te suce le zob en plus ?
-Et pourquoi pas…comme tu veux, dit Momo, je n’insiste pas, tu l’auras voulu. Bon, je vais me baigner !

 

Nadia se ravise. Quelle attitude doit-elle adopter pour ne pas perdre son mari ? Après tout, l’endroit est isolé. Et puis, c’est une aventure sans lendemain. En plus, son corps de femme n’est pas resté insensible à cette tentative. Tant pis !
-Momo, l’appelle-t-elle, ne déconne pas, viens t’allonger ! Tu as décidé de jouer avec moi, vas-y !

 

Momo reprend sa place initiale. Sa main caresse l’entre cuisses, par-dessus le mini maillot, écarte l’élastique. Nadia se tend quand le majeur court sur sa fente, de bas en haut, jusqu’au clitoris. Momo décèle un léger gémissement. Il la sait à lui. Il lui demande de quitter son maillot, et de s’ouvrir davantage. Le majeur glisse entre les lèvres devenues humides, pénètre lentement la chatte.
-Mon dieu…qu’est- ce- que tu me fais faire ? Tu es arrivé à ce que tu voulais, regarde comme je suis écartée…c’est pour mieux branler ma petite chatte…tu m’as décalotté le clito pour mieux me le doigter…
-Tu n’aimes pas que je te doigte le bouton ? Pourtant, tu commences à mouiller là !
-C’est ta faute salaud…je suis une femme…et tu sais ce qu’aiment les femmes !

Nadia tend le bras et découvre les attributs de Momo. Elle a presque un mouvement de recul. « Houa…se dit-elle, quelle bite, et quelle paire de couilles ! Karim est en dessous de la moyenne ! ».

 

Elle saisit le calibre, le décalotte, joue avec, soupèse les couilles bien pleines. Momo la force à replier une jambe sous son ventre, l’oblige à cambrer sa croupe pour bien dégager sa fente. Lentement, il rapproche son zob en totale érection, le glisse entre les cuisses, pénètre la chatte pleine de mouille. Nadia pousse un râle de plaisir !
-Oh putain, gémit-elle, quel coup de queue ! Vas-y, c’est bon de se faire niquer par une grosse bite !
-Même si c’est celle de l’ami de ton mari, murmure Marco. N’aie pas honte, dis-le !
-Enfoiré, tu me fais dire n’importe quoi ! Ben oui…surtout si c’est celle d’un ami vicieux de mon mari !

 

Momo est un super amant. Il ne faut pas plus de dix minutes à Nadia pour connaitre l’orgasme dans un cri de plaisir. Elle sent la bite de son partenaire vibrer dans sa chatte. Elle sent qu’il va jouir.
-Pas dedans, soupire-t-elle, dans ma bouche, monte vers moi !

 

Momo glisse sur la serviette jusqu’à ce que sa queue soit au niveau des lèvres de Nadia. Celle-ci la saisit à pleine main et l’aspire, juste au moment où il se vide les couilles dans un « han » de bucheron. Vicieuse jusqu’au bout, elle avale le sperme et nettoie le gland avec la langue. Momo la prend par la nuque et lui prend les lèvres.

 

Il est dix-huit heures quand Karim réapparait, et est tout surpris de voir le couple en grande conversation.
-Tu restes diner avec nous, propose-t-il à Momo. Hein ma chérie ? Je m’arrête au village faire quatre courses pendant que vous prenez une douche…pas ensemble, bien sûr !

 

Malgré les recommandations de Karim, la douche va être coquine. Nadia va hurler de plaisir. C’est en peignoir qu’elle prépare la table. Momo la prend par la taille, l’assied sur le plan de travail, ôte le peignoir. Il penche sa tête entre ses cuisses et lui lèche la chatte. Nadia sent la langue fouiller son intimité.
-Ta chatte est toute mouillée salope, ça veut dire quoi…qu’elle a besoin d’un bon coup de queue ?
-Encore, dit-elle, tu es un vrai étalon…et j’aime les étalons ! Vas-y, encule-moi cette fois ! Bourre-moi le cul ! Oui salaud, regarde, je me gratte le clito ! Oui…oui…je te taillerai une bonne pipe après...on n’en a pas fini tous les deux !

 

Quand Karim arrive, Nadia lit gentiment une revue pendant que Momo sirote un verre. Il les trouve un peu fatigués. La plage sans doute.
-Je pensais à un truc, dit Nadia. Pourquoi Momo ne passerait-il pas le week-end à la maison ?
-Mais bien sûr, accepte Karim, même si je pars à la chasse à six heures du matin, je serai rentré à midi.

 

En l’absence de son mari, Nadia caresse la joue de Momo, le regarde d’un œil complice.
-Demain matin, lui murmure-t-elle à l’oreille, je serai entièrement nue dans mon lit, toute offerte, ne me fais pas attendre ! Ah oui, tu devrais prendre tes couilles en photos…je ne sais pas si tu vas les reconnaitre.
-Ha…de la provoc…j’aime les défis…ok, je le relève !

Vers dix heures trente du matin, Momo se dirige vers la piscine, en pleine forme. Il passe devant la chambre de Nadia, et la trouve allongée, les bras en croix, complètement lessivée.

-Alors mon amour, dit-il, tu ne viens pas te baigner ?
-Tais-toi enfoiré, regarde dans quel état je suis ! Par ta faute, je suis vidée, va-t’en, je te hais ! Non, non, Momo, je déconne, ne pars pas, viens m’embrasser ! Dis-moi qu’on se reverra.
-Si un jour tu es en manque d’un bon gros zob, si tu as envie de te le faire mettre, tu me fais signe !


Le couple éclate de rire et se donne un sulfureux baiser.

 

Par lailatvx.erog.fr - Communauté : Maris cocus
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Samedi 10 septembre 6 10 /09 /Sep 10:58

Karim s’attendait à tout lorsqu’il a décidé de participer à cette soirée libertine avec Nadia, sa superbe épouse âgée de 28 ans. Tout sauf y rencontrer Malek, son pire ennemi, venu en célibataire !

En effet, un soir, Karim a surpris Fatima, sa première épouse, au lit avec lui. Il lui semble encore entendre jouir sa femme sous les coups de queue de Malek, il revoit le sperme s’écouler de sa bouche, suite à une pipe. Il entend Fatima crier son prénom, faire des comparaisons sur ses performances au lit, mais aussi sur ses mensurations plus imposantes que celles de son mari. S’en suivit alors un divorce.

 

Nadia ne connaît pas trop le rival de son cher époux Karim. Elle le sait dragueur, toujours à l’affût de la moindre conquête, même mariée. Elle le trouve très séduisant, mais ne veut surtout pas tomber entre les filets de ce pervers qui n’attend qu’une chose : humilier Karim en baisant sa deuxième femme ! Les époux savent que, lors de cette soirée, tout est permis et que s’ils ne joueraient pas le jeu, ils en seraient exclus.

 

Vers minuit, des couples se forment, s’embrassent, les mains fouillent sous les jupes, ou par-dessus le pantalon. Le DJ a l’ingénieuse idée de mettre une série de slows. Et ce qui devait arriver arriva : Malek se lève et invite Nadia à danser ! Celle-ci le rejette, mais devant les regards des autres partenaires, difficile de refuser sous peine d’être exclu de la soirée. Nadia interroge son mari du regard sur l’attitude qu’elle doit adopter. Il lui fait signe de la tête qu’elle n’a d’autre choix que d’accepter. C’est la mort dans l’âme que Karim voit son épouse gagner la piste avec son pire ennemi !

 

Nadia garde ses distances, résiste tant bien que mal à la pression de la main sur le bas de ses reins qui la plaque inexorablement contre Malek.
Une fois la danse terminée, Malek l’invite au bar. Très vite, Nadia va succomber au charme de ce séducteur. Elle ne voit pas son mari, certainement occupé ailleurs. Mais non, Karim, méfiant, surveille sa femme, mais ne se doute pas de ce qu’il est en train de se passer, masqué par une rangée de couples. Malgré tout, Il voit la tête de son épouse. Il la voit fermer les yeux, passer sa langue sur ses lèvres, puis ouvrir la bouche. Il ne voit pas Malek, et pour cause : celui-ci, accroupi, a quitté la culotte de sa femme, lui a écarté les jambes et lui lèche la chatte.
– Tu es fou, qu’est-ce que tu me fais ? Souffle-t-elle

 

Karim comprend tout quand il voit Malek se lever, s’essuyer la bouche d’un revers de main, puis quand il voit son épouse lui donner un tendre baiser. Au second slow, Nadia est beaucoup plus détendue. Karim voit Malek la tenir par la taille, tandis qu’elle noue ses bras autour de son cou. Il lui murmure à l’oreille, parvient à la faire rire. Karim ressent un pincement au cœur quand il les voit se donner un sulfureux baiser.

 

Le couple se retourne et voit Karim, les bras le long du corps. Nadia hausse les épaules, comme pour dire « je n’ai pas le choix » alors que Malek affiche le sourire narquois de celui qui est arrivé à ses fins.
Le couple va s’installer sur un canapé. Malek appuie Nadia contre le dossier et lui donne un baiser. Une main s’invite sous la jupe, force la jeune femme à écarter les jambes. Karim voit le doigt de son éternel rival caresser la fente épilée de sa ravissante épouse. Ce dernier ouvre sa braguette et sort un zob énorme, accompagné d’une paire de couilles hors norme ! Karim se sent complexé devant l’anatomie de son pire ennemi.

 

Malek guide la main de Nadia pour qu’elle saisisse son zob. Après quelques vicieuses caresses, il entraîne l’épouse derrière un rideau où se trouve un salon avec un lit. Après quelques minutes, la curiosité l’emporte. Karim écarte le rideau, découvre le pire : sa femme est allongée, entièrement nue, jambes totalement ouvertes ! Malek, un genou sur le lit, est nu lui aussi. Il arbore un zob en érection de presque 22 centimètres !

 

Malek voit le rideau bouger et aperçoit Karim. Il décide alors de l’humilier. Lentement, il parcourt le corps magnifique de Nadia qui commence à frémir sous les caresses. Il excite le clitoris décalotté, les doigts pénètrent la chatte. Nadia soupèse les couilles, tire à elle la bite qu’elle avale. Son corps se tord tout en taillant une pipe à l’homme qui la fait gémir de plaisir. Malek tend sa bite qui se branle dans la bouche de Nadia, tandis que celle-ci se cambre sur ses pieds. Ensemble, ils hurlent de plaisir.
Karim, impuissant, assiste à la scène. Il voit le surplus de sperme suinter sur les lèvres de son épouse.

-Houa…Quelle pipe ! Oh putain, tu suces mieux que son ex ! Et tu avales aussi, salope !
-Et toi salaud, soupire Nadia, comme tu m’as excitée ! J’ai besoin d’un bon coup de queue maintenant, par un vrai calibre, bien gros, bien raide, pas par un zizi de bébé comme celui de mon mari !

 

Karim voit l’énorme zob pénétrer la chatte pleine de mouille de son épouse. La relation est torride. Très vite, Nadia a un puissant orgasme, hurle de plaisir sous les coups de boutoirs de son partenaire. Malek sent la femme de son pire ennemi à sa merci, multiplie les prouesses sexuelles pour la faire jouir à plusieurs reprises en présence du mari cocu ! Il lui demande même de comparer les mensurations de leur sexe.

-Tu trompes ton mari là ! Tu aimes te le faire mettre par une grosse bite…Il ne te baise pas comme ça, hein ?
-C’est vrai, tu me niques mieux que lui, tu es beaucoup mieux monté ! Vas-y, encule-moi s’il te plait !
-Bien sûr ma chérie, attends, je vais m’asseoir et tu t’empaleras sur mon pieu !

 

Malek choisit cette position car il sait que Karim mate derrière le rideau. Il veut qu’il voie comme il lui caresse les seins, comment son zob coulisse dans la chatte de sa femme. Soudain, le rideau s’ouvre.
-Tiens, sourit Malek, de la visite ! Mais c’est le cocu ! Regarde comme j’encule ta femme comme ton ex !
-Mais Nadia, mon amour, ma chérie, que fais-tu ?
-Oh mon chéri, je me fais enculer. Il a une queue phénoménale ! Approche ! Viens me sucer le clitoris !

 

Soumis, Karim s’avance, se penche entre les cuisses de sa femme et aspire le petit bouton décalotté. Soudain, c’est la surprise pour Karim. Sa femme sort la bite de son petit trou et l’enfonce dans la bouche ouverte de son mari, juste au moment où Malek éjacule ! Elle tient la tête de son cocu pour que celui-ci avale l’abondante semence de son pire ennemi.

-Ouais, vas-y mon amour, mon mari cocu, mon époux pédé ! Déguste le sperme de mon amant ! C’est bon, hein ? Il va falloir que tu te soumettes à ses caprices maintenant ! Dorénavant, tu seras mon mari cocu, soumis et même travesti ! Plus jamais, tu n’auras droit, ni à ma chatte, ni à mon cul ! Mon corps appartient désormais à Malek !

 

Malek éclate de rire. Il veut aller plus loin pour humilier son rival. Il murmure à l’oreille de Nadia.
-Mais bien sûr que tu pourras le sodomiser, sourit-elle. Tu vas voir comme il va être docile ! N’est-ce pas chéri que tu vas être sage et obéissant ? Tu vas bien te le faire mettre et te sentir femme comme moi ! Et si nous rentrions à la maison ?

 

Arrivée chez eux, Nadia va prendre une douche. Elle entend son mari hurler de douleur :

-Aïe ! Aïe ! Chérie, l’enfoiré…Il m’encule ! Dis-lui d’arrêter ! Sa bite est trop grosse pour mon cul ! Il va me déchirer l’anus !
-Mais non ma lopette, c’est vrai qu’il est beaucoup mieux monté que toi…mais, après quelques coups de queue, tu vas t’y faire. Il a toute la nuit pour jouer avec toi. Tu vas voir comme il va te régaler ! Il va te décalotter le zizi, te le branler, te vider tes petites couilles. Puis, une fois qu’il t’aura bien enculé, il me rejoindra pour m’offrir son gros zob ! Mais tu pourras regarder comme il me fait jouir…Comme il me fait crier de plaisir…Comme je lui taille des pipes, comme j’avale ! Ah oui ! Autre chose, à partir d’aujourd’hui, je veux que tu l’appelles « Mon Chéri, Mon Maître ».

 

Tous les week-ends, Malek passe niquer Nadia, devant Karim. Il l’entend jouir, crier de plaisir. Karim le cocu a droit, aussi, à son petit coup de zob dans le cul. C’est même lui qui supplie son rival en l’appelant : « Mon Chéri, Mon Maître » pour qu’il lui donne sa dose. Malek prend plaisir à l’enculer ou à se faire tailler des pipes. En plus, il l’oblige à avaler !

 

FIN

 

Par lailatvx.erog.fr - Communauté : Maris cocus
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Samedi 3 septembre 6 03 /09 /Sep 08:27

Je ne sais comment te remercier d’avoir accepté de m’épouser. Tu fais ainsi mon bonheur pour le reste de ma vie.
Je comprends bien sûr ce que mon rôle de mari m’impose : être cocufié encore et encore, me plier à tous tes désirs, accepter toutes tes humiliations ! J’ai aussi bien compris que je suis ton mari, mais que ton amant est ton mâle et, qu’à ce titre, il a le droit légitime de me dominer et de me considérer comme son serviteur docile, voire sa deuxième femelle !

 

Je m’appliquerai donc désormais à vous servir et à faciliter vos ébats. J’accepterai aussi, avec reconnaissance, que tu me soumettes aussi à tes autres amants. Je sais que je suis efféminé, que je n’ai pas une grosse bite mais un petit zizi de 8 cm même bandé, que je suis un éjaculateur précoce et que j’aime être soumis et humilié mais si cela peut amuser tes amants, je n’offrirai qu’une servile résignation lorsqu’ils souhaiteront me faire subir leurs sévices.
En particulier, pour mieux nier mon statut d’homme, je revêtirai cette tenue de soubrette que tu laisses toujours à mon intention dans le garage, près de la paillasse où vous me faites dormir.

 

Je comblerai toujours tes désirs et ceux de ton amant. Je me promènerai donc en porte-jarretelles et mini robe noire. Je suis reconnaissant à ton amant de bien vouloir te baiser devant moi, pour bien te montrer à quel point je suis inadéquat comme amant !
Il est juste qu’il m’humilie en me pinçant les tétons jusqu’à ce que je pleure, puis en m’enfilant son superbe zob d’étalon jusqu’au fond de la gorge !
Il est également juste que vous refusiez désormais que j’aie la moindre relation avec toi, sauf lorsque tu me masturbes avec tes hauts talons.

 

Tu as exigé que je trouve moi-même les moyens de m’humilier davantage. Je demande donc la permission, lorsque ton superbe étalon te prendra, d’avoir l’autorisation de lui lécher le cul pendant qu’il te pénètre et te fait jouir. J’espère pouvoir lui être agréable, et à toi aussi, en essayant d’introduire ma langue d’esclave dans l’anus de ton amant afin de récolter les restes de ses excréments.

 

Te voir onduler sous ses pénétrations, voir la longueur de sa hampe bien dure s’enfoncer dans ta chatte, me dire que désormais, celle-ci m’est interdite, tout cela comble mon esprit de cocu soumis ! J’accepterai également toutes les humiliations publiques auxquelles vous voudrez bien me soumettre.

 

J’ai hâte que tu sois de retour avec lui ce soir, pour que je puisse à nouveau entendre tes cris de jouissance et recueillir enfin, sur ma langue, le sperme de ton bel amant !
Peut-être daignera-t-il m’enculer ensuite en me faisant pleurer de joie devant la dureté de sa queue qui m’explose la rosette et vient buter dans le fond de mes entrailles ?

 

Ton mari soumis, cocu mais heureux.

 

Par lailatvx.erog.fr - Communauté : Maris cocus
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Samedi 6 août 6 06 /08 /Août 02:32

Tu me fais venir chez toi.

Dès que j'arrive, tu me fais m'agenouiller et, d'un signe de tête, tu me rappelles mon devoir : « dis bonjour à mon zob ! ».

Je m'empresse de m'approcher, de descendre ton pantalon et ton caleçon juste assez bas pour pouvoir le prendre, et je commence à le lécher, à le sucer ...

Même si rapidement, tu te mets à reculer pour que je ne puisse plus le prendre, et tu m'amuses à me regarder courir à quatre pattes derrière, pour me rapprocher suffisamment pour pouvoir le sentir, tout près de moi, être capable de le reprendre et te voir le ranger sous mon nez.

Devant mon air déçu, tu me dis que je ne suis pas dans une tenue qui me permette de l'avoir plus que ce que je ne l'ai eu. Tu m'ordonnes d'aller me changer, et m'indiques qu'il y a ce qu'il faut sur ton lit. Je m'y rends donc, à quatre pattes après avoir reçu une vigoureuse fessée.

 

Sur ton lit, je trouve le soutien-gorge ouvert et le string assorti, ainsi que les pinces reliées au bâillon. Je me dévêts totalement, et je ne t'entends pas arriver et me regarder, depuis l'encadrement de la porte. Je remets le soutien-gorge et le string ainsi que les pinces sur les mamelons. Elles sont un peu serrées et elles piquent quand je les place. Je vais ensuite pour placer le bâillon, mais tu m'interromps pour me dire de le mettre simplement autour du cou, car tu veux garder ma bouche disponible.

 

Finalement, tu me regardes dans ma tenue toute entière : « Pas de doute, tu es bien ma salope ! ».

 

J'aime bien l'idée d'être ta salope, ta salope rien qu'à toi ! Tu me dis que ça te donne envie de faire plein de choses, de me voir être à ce point une pute. Tu me fais à nouveau approcher, à genoux, les mains dans le dos et cette fois-ci, tu me laisses te sucer, longuement, avec application, la lécher puis la reprendre, profonde, toute entière. Ensuite, tu prends ma tête entre tes mains et tu bouges toi-même ta bite dans ma bouche, en la retenant profondément dans ma gorge, toute entière, encore et encore, en ne me laissant que quelques secondes pour ne pas m'étouffer !

 

Tu ne la ressors complètement que pour jouir sur mon visage. J'en ai qui coule depuis mes cheveux, une longue balafre qui traverse le visage jusque sur ma bouche. Je me lèche les lèvres pour en récupérer un peu, mais tu me dis de ne pas tout gâcher, je dois aller faire un tour avant. Dans cette tenue, tu me fais descendre et aller chercher le courrier. Je dois y aller dans cette tenue, et ne me déplacer qu'à quatre pattes et remonter avec le courrier dans ma bouche.

 

Je m'exécute humblement, et lorsque je remonte, tu me prends en photo dans cette position. Je devrais aller la poster sur un site où tu racontes mon apprentissage de la soumission. Tu m'entraines dans la salle de bain et tu me dis d'enlever mes vêtements, de m'agenouiller et de fermer les yeux pour que tu me nettoies. Je fais ce que tu demandes et j'attends avant de sentir un liquide chaud couler sur mon visage. Je ne sais que trop bien ce que c'est. Lorsque tu finis, tu me demandes de lécher ton zob pour le nettoyer, puis de me sécher et de me rhabiller, avant de me regarder et de te raviser. « Attends, je vais te passer au jet d'abord ! ».

 

Tu règles le thermostat au plus froid et tu me douches longuement tout le corps. Malgré l'eau gelée, je ne proteste pas et pour m'en récompenser, une fois cette douche terminée, tu m'entraines dans ton lit et tu me proposes même de me réchauffer. Je ne peux qu'accepter une telle proposition de ta part !

 

Tu vas alors chercher le bandeau et les menottes, tu me fais mettre à quatre pattes, poignets attachés dans le dos et tête coincée dans les oreillers. Là, ta main claque sur mes fesses jusqu'à ce qu'elles en deviennent brûlantes. Je suis sûre que l'on peut distinguer la trace de chaque fessée bien dessinée sur mon cul ! Tu viens ensuite réchauffer l'intérieur de mon corps, en rentrant ta bite toute chaude dans ma chatte, bien profondément. Et pour que ce réchauffage soit bien plus efficace, tu te tiens à mes poignets liés pour rentrer encore plus fort, encore plus vite ! Et plus tu me baises, plus je me cambre, plus je te supplie de me baiser encore ! Je gémis à chaque mouvement, je voudrais crier de plaisir si je le pouvais, je suis totalement happé par ce plaisir !

 

Tu ne trouves même plus de mots pour décrire à quel point je suis salope et perverse, pour vouloir que tu me baises à ce point comme une sale chienne et pour en redemander encore et encore !

 

Mais cette image de moi semble te plaire et lorsque tu jouis en moi, tu sais que tu ne t'arrêteras pas de me traiter comme ça avant longtemps, pour mon plaisir autant que du tien !

 

Par lailatvx.erog.fr
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Mercredi 6 juillet 3 06 /07 /Juil 08:43

lailatvx8

Depuis le temps que je me promène sur des sites d'histoires érotiques, l'envie de vous raconter mes aventures sexuelles me pousse à franchir le pas.
Je me prénomme Karim et je suis une travestie surnommée Laila, de 30 ans. Cela fait maintenant plus de 14 ans que j'aime me sentir femme. C'est maintenant devenu une nécessité.

 

Mes premiers émois de travestie, je me les procurais en fouillant dans les tiroirs et la garde-robe de ma mère et de ma sœur, ce dès mon adolescence. Je me souviens avoir enfilé leurs plus belles lingeries (guêpières, porte jarretelles, strings, boxer, soutif etc..), leurs plus beaux vêtements (robes, jupes, tailleurs). Et là, je prenais des poses les plus sexy possibles devant une glace que je posais devant mon lit. Je me mettais dans la peaux d'une femme très classe, bourgeoise qui avait envie de tromper son mari et d'être avec des hommes. J'avais donc, déjà très jeune, des envies de sexes d'hommes et en les imaginant, ils devaient être matures. Encore maintenant, mes recherches s'orientent vers ces hommes. Certains me reconnaîtront certainement sur Internet.
J'ai donc envie de vous raconter une série d'aventures sexuelles qui m'ont marquée tellement elles ont été chaudes !

 

La première d'entre-elles est en rapport avec mon dépucelage. Je venais d'avoir 15ans et je devais me rendre chez Samira ma tante, quelques jours pour passer une partie de mes vacances. En me rendant chez elle pour les vacances, je ne savais pas que j'allais enfin connaître le plaisir d'appartenir à un homme. J'allais connaître mon 1er amant.
Chez elle, je savais aussi que j'allais me retrouver seul car elle travaillait toute la journée. Par conséquent, j'allais pourvoir m'éclater avec ses vêtements. Me travestir en toute tranquillité. Passer ses plus belles lingeries. J'étais aux anges !

Le premier matin, je décidais de passer une jolie guêpière tout en dentelle noire et rouge. Une vraie merveille ! De jolis bas noirs avec la couture rouge et un string assorti rouge et noir. Je me sentais déjà très sexy, très femelle, très sensuelle ! Pour achever ma transformation, j'enfilais des chaussons à talons en daim avec, je me souviens, un pompon dessus. Je déambulais ainsi dans son appartement, sans gêne, à imaginer des scénarios très coquins. C'est à ce moment que le téléphone se mit à sonner. C'était ma tante qui m'avertissait qu'un de ses collègues devait passer dans la matinée pour prendre un dossier important. J'avais à peine raccroché que la sonnette de l'interphone se mit à sonner. Imaginez dans quel état de panique j'étais à ce moment ! Je réponds en lui ouvrant la porte d'entrée. Il me restait à peine une minute pour me changer ! C'était franchement impossible ! Je jette les chaussons, j'enfile un bas de survêtement et un t-shirt. La sonnette retentit et je lui ouvre.
Ouf, c'était limite !

J'ai devant moi un homme d'environs 50 ans, très bien habillé en costume-cravate, très classe, brun assez typé, avec des cheveux poivre et sel. Ce qui m'a tout de suite marqué, ce sont ses mains très épaisses et son regard noir se poser sur moi pour me dire bonjour.

- Bonjour, c'est Brahim le collègue de Samira, elle m'a dit de passer car tu étais chez elle.
- Entrez, elle m'a prévenu à l'instant de votre venue. C'est pour un dossier je crois. Suivez-moi, il doit être dans le salon.

C'est incroyable ce qu'il m'arrive ! Je suis très inquiet, sachant que, sous mes vêtements, je suis en sous-vêtements de coquine mais en même temps hyper excité en présence de cet homme !

Et là, la confusion :

-Dis-moi, tu es bien son neveu ?
-Oui pourquoi ?
-Ben, j'ai comme l'impression que sous tes vêtements, tu as plutôt envie d'être sa nièce !

Tout en me disant ça, il me met la main aux fesses et tire sur les jarretelles.

- C'est quoi ça dessous ton pantalon?
- Svp, ne dites rien à ma tante, elle m'engueulerait et le dirait à ma mère !
- D'accord ma chérie mais montre-moi alors ce que tu me caches !
- Attendez-moi, je reviens dans 5 minutes.

 

J'entre dans la chambre de ma tante pour retirer mes vêtements et me retrouver en dessous. Que faire ?? Je suis tellement excité de me montrer et en même temps très peureux de sa réaction. Tant pis, je me lance ! Je remets les chaussons pour avoir une démarche chaloupée, réajuste ma panoplie de femelle et rejoins Brahim. J'entre ainsi vêtue dans le salon.
En sifflant, il me lance :

- La petite coquine comme elle est adorable ! Viens, approche ma puce que je te vois encore mieux !

 

Et là, du haut de mes talons, je m'avance en remuant du cul. Je me retourne et cambre mes reins à quelques centimètres de lui. Je prends des poses de plus en plus chaudes et lui se régale des yeux tout en me complimentant sur mes petits trésors. Je sens ses mains se poser sur mes fesses, me les malaxer, me les écarter et sa bouche venir me les croquer. Quel régal ! Il me faisait craquer par ses caresses et j'avais de plus en plus l'impression d'être une fille ! Il me mit à 4 pattes sur le canapé et tout en écartant mon string, il vint poser sa langue sur ma rosette. A ce moment, tout s'enchaîna.

-Ma petite salope, tu vas voir, je vais bien m'occuper de toi.
- Vous savez, je suis encore pucelle.
- Ne t'inquiète pas, tu vas aimer, je vais bien m'occuper de ton éducation. Mais d'abord, tu vas venir me pomper la bite.

J'allais avoir la 1ère bite d'une très longue série. Elle était assez longue, mais surtout très épaisse. Pleine de veines et complètement raide !

- Suce-moi ma chérie, tu vas l'adorer !

 

Je m'appliquais à prendre en bouche ce zob de rêve. Je le suçais sur toute sa longueur, je le léchais et le branlais en même temps ; J'allais devenir accros à la bite, une dingue de la pipe !
Il m'arrêta pour m'allonger sur le dos et pour me lécher de partout. Il s'attarda sur ma rondelle et faisait venir sa langue dessus et dedans. J'avais les cuisses écartées au maximum, les jambes en l'air tenues par ses mains

- Ma chérie, je vais venir te dépuceler. J'ai envie de ta petite chatte. Te pénétrer et te faire hurler de plaisir !
- Viens mon mâle, baise-moi ! Je te veux ! Dis-je sans m’en rendre compte.

Il vint placer son zob à l'entrée de ma rondelle et, en poussant doucement pour s'enfoncer, il vint me branler le clito et m'embrasser les seins. Il me les mordillait tout en me pénétrant de plus en plus. J'avais mal mais ses caresses me faisaient tellement de bien !

- Viens, baise-moi à fond ! Dépucelle-moi la chatte ! (Etait-ce moi qui parlais ou la femelle vicieuse qui sommeillait en moi ?).

 

J'avais mes jambes autour de ses hanches et mon amant qui, tendrement, faisait des va et vient dans mon cul. Très rapidement, je jouissais du cul et lui se déchaîna. Il me retourna pour me prendre en levrette. Je jouissais encore et encore ! Il se retira pour venir jouir sur mes fesses. J'avais la raie qui coulait. J'étais heureuse et comblée !
Il m'a prise dans ses bras, m'embrassa et me donna son téléphone pour que l'on se revoie.
Il dut partir pour aller bosser. J'étais chanceuse et satisfaite !

 

J'avais enfin connu mon 1er amant !

 

Par lailatvx.erog.fr
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