Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:32

Nous avons la chance d’habiter une petite villa individuelle à Rabat (Maroc), entourée d’une haie suffisamment haute pour nous maintenir à l’abri des regards indiscrets de nos voisins. Luxe suprême, nous avons fait installer une petite piscine sur l’avant de la parcelle.

Ma femme Nadia, 26 ans, est une jolie brune aux seins menus, mais fort agréables à caresser, car très sensibles. Sa chatte est souvent rasée de frais, ce qui n’est de loin pas désagréable.

Un jour, nous avons hébergé un ami de longue date. Abdou revenait au pays après trois longues années passées aux États-Unis. Nous étions au mois de juillet et il ne commençait dans sa nouvelle place qu’à partir du mois d’août. Il était à la recherche d’un nouveau logement et n’avait qu’un minimum d’affaires personnelles avec lui, l’essentiel de ses biens se trouvant encore quelque part au milieu de l’Atlantique, dans un container solidement ancré sur le pont d’un bateau.

Ce samedi, alors qu’il faisait beau et très chaud, j’étais sensé être absent toute la journée pour raisons professionnelles. J’avais hélas oublié un document. Aussi, profitant de la pause de midi, je fis vite un saut à mon domicile pour reprendre l’objet oublié. Je rentrai discrètement…

Quelle ne fut pas ma surprise, quand je vis, à travers le fin voilage tendu devant la verrière du salon, mon ami Abdou couché sur le dos, les pieds tournés contre moi, dans la pelouse, nu !

Ma femme, je la voyais de face… elle était assise à califourchon sur lui, lui tournant le dos, nue elle aussi, bien entendu. Elle prenait appui sur ses bras tendus derrière elle et ses petits seins aux mamelons érigés pointaient vers le ciel.

Entre ses cuisses entrouvertes, un sexe se glissait dans sa vulve… un sexe aux dimensions surprenantes : son diamètre devait bien faire dans les 7 à 9 centimètres !

Autre chose surprenante, ma femme qui d’habitude est extrêmement expressive n’imprimait que de tout petits mouvements à son bassin : sans doute la taille de cette verge gigantesque l’empêchait d’en faire plus ! Abdou la tenait par les hanches et lui indiquait le rythme à suivre, il paraissait rayonnant.

Je me précipitai alors sur mon appareil photographique. À l’aide du téléobjectif, je pris quelques photos en prenant bien soin de rester caché derrière le voilage. Je réglai le diaphragme sur l’ouverture maximum, et j’effectuai la mise au point sur les deux corps nus qui bougeaient lascivement devant moi, ainsi le rideau léger n’apparaîtrait pas sur la photo, tout au plus sous la forme d’un très léger flou adoucissant. Je pris quelques vues d’ensemble des deux amoureux, puis des gros plans sur ce pieu énorme qui défonçait voluptueusement la vulve ma femme dont les grandes lèvres épousaient le contour comme pour encore mieux le capturer.

Je reposai mon appareil et restai encore un instant à les regarder : soudain les deux corps se raidirent, comme tétanisés par la jouissance, puis ils se détendirent brusquement… Mon ami Abdou se redressa alors en position assise, sa verge toujours logée dans le sexe de mon épouse, et il se mit à lui embrasser le cou, le visage, les joues, les yeux, les lèvres comme dans un geste de profonde reconnaissance.

Je quittai discrètement la maison en prenant soin de ne pas oublier le document que j’étais venu chercher, ainsi que mon précieux film que je comptais faire développer l’après-midi même. La rue étant en pente, je laissai repartir mon véhicule en roues libres, de façon à ne pas me faire remarquer et je rejoignis ma réunion.

 

Quand, en fin d’après-midi, je rentrai à la maison, mon épouse vêtue d’une petite robe moulante bleue, de la couleur de ses yeux, vint se lover contre moi. Chatte, elle m’embrassa voluptueusement… Faisant celui qui ne savait rien, je m’enquis de connaître la manière dont ils avaient passé la journée.

— Oh, très simplement me dit-elle, nous avons fait des courses pour le souper et le week-end, car je pense qu’après une journée de dur labeur, tu dois être affamé. Puis, après un repas léger, nous avons piqué une tête dans la piscine. Par ces grandes chaleurs, c’était fort agréable et enfin nous avons plaisanté sur tout et sur rien, sur les gens qui s’acharnent à s’enfermer dans des bureaux à l’air conditionné pour travailler toute la journée alors qu’il fait si bon dehors, à se prélasser, à se détendre…

Devant ma moue déconfite, elle se lova à nouveau contre moi et, me gratifiant d’un deuxième baiser, elle rajouta :

— Mais non, bien sûr, je plaisante !

Le souper se passa de fort bonne humeur, les deux « compères » se comportant comme si rien ne s’était passé entre eux. À la fin du repas, je sortis alors une enveloppe cartonnée de format A4 que je leur tendis en précisant :

— C’est un cadeau pour vous deux, ce sont des paysages que j’ai vus ces jours. Je tiens à vous préciser que je trouve ces photos très belles, d’un spectacle enchanteur !

Avant de me rendre sur mon lieu de travail, j’avais juste eu le temps de déposer la pellicule dans un laboratoire de développement rapide. Au retour, après avoir repris mes photos développées (la charmante vendeuse me lança un regard intrigué) je passai encore vite dans un service de photocopie où j’agrandis en couleur quelques-unes des photos choisies : un plan d’ensemble sur lequel le flou du voilage créait une note artistique et un gros plan du zob monstrueux défonçant (pour le plaisir des deux) le petit sexe glabre de ma charmante épouse.

À l’ouverture de l’enveloppe, je les vis blêmir, cherchant à bredouiller des excuses pour l’un et des tentatives d’explications pour l’autre… Je les interrompis alors, faisant entre autre taire ma femme d’un doux baiser et profitant du moment d’accalmie obtenu, je rajoutai :

— Comme je vous l’ai déjà dit, je ne vous en veux absolument pas, je trouve réellement ces photos, et le spectacle qui y est lié, très beaux. Je sais que ma femme a un tempérament très chaud et qu’il serait prétentieux de ma part de prétendre pouvoir la combler complètement. Je ne vois dans ce qui s’est passé aujourd’hui aucune « tromperie » de sa part et, quelque part, j’ai même de quoi être fier : si elle peut faire chavirer la tête (et le reste…) d’un autre homme, c’est que mon choix est assurément le bon quant à ses qualités et capacités ! De plus, la connaissant, je suis persuadé qu’il n’y a aucun calcul derrière ce geste et qu’elle n’a agi que par pure générosité, sans intérêt aucun.

Ils entreprirent alors de me raconter conjointement la genèse de cette aventure.

Après un repas léger, ma femme lui proposa effectivement de « piquer une tête » dans la piscine. Malheureusement notre ami Abdou, n’ayant que le strict minimum d’affaires personnelles, n’avait pas de costume de bain. Ma femme lui proposa alors de lui prêter un des miens, il lui répondit qu’assurément ils ne lui iraient pas (au souvenir de son sexe gigantesque, j’imaginais pourquoi). Sans se troubler aucunement, mon épouse se mit dans le plus simple appareil et plongea dans l’eau.

Notre ami n’eut d’autre choix que… de faire de même ! Il se dévêtit donc, dévoilant alors un sexe étonnant : il n’était pas très long : huit, neuf centimètres, tout au plus, mais avec, au repos, un diamètre déjà impressionnant de cinq à six centimètres. Ces proportions très particulières lui donnaient l’aspect d’un gourdin, d’une masse.

Dans l’eau ils s’amusèrent comme des enfants, se bousculant, se passant sous l’eau, se poussant, s’étreignant parfois à bras le corps pour se tirer au fond, tout ceci dans le respect mutuel de l’autre, dans une attitude fort chaste, sans aucune tentative de dérive sur le plan sexuel.

Puis ma femme sortit et lui proposa un rafraîchissement. Il lui répondit que s’il n’avait eu aucun problème pour la suivre dans l’eau dans cette tenue, il se trouvait maintenant bien emprunté pour se présenter à elle : le contact de sa peau nue lors de leurs joutes aquatiques ainsi que le spectacle sublime qu’elle lui offrait maintenant (il n’avait guère eu le loisir de l’observer avant qu’elle plonge dans l’eau car tout ceci s’était passé si rapidement) le mettaient dans des conditions non présentables devant une femme.

Elle lui répondit du « tac au tac » que bien au contraire, si sa condition était bien celle qu’elle imaginait, c’était assurément le plus bel éloge qu’un homme pouvait faire à une femme, sans aucune possibilité de mensonge, de dissimulation ou de tromperie : des sentiments mis à nus, dans le sens littéral du terme.

Il sortit donc de l’eau, le sexe en érection. Et là ma femme resta étonnée : si son sexe s’était encore dilaté et devait atteindre les huit à neuf centimètres de diamètre, il ne s’était pratiquement pas allongé, donnant ainsi avec son gland violacé plus l’impression d’un gros poing de boxeur qu’un organe génital masculin ! Devant sa mine étonnée, il ne fut pas surpris :

— Eh oui, c’est toujours ainsi : dans certains cas je provoque l’effroi de ma partenaire qui n’imagine pas comment elle pourra contenir cet engin monstrueux en elle. Pour les autres, la situation n’est guère meilleure !

Sur son insistance, il lui expliqua, désespéré, son infortune avec les femmes. Pour celles qui passaient le cap de la première découverte, la situation n’était guère plus encourageante : lors de leurs premières relations amoureuses, tout mouvement un peu brusque ou trop prononcé finissait irrémédiablement par l’éjection de ce sexe au demeurant fort large, mais court. La frustration ressentie alors par sa partenaire ne passait jamais le cap de la deuxième tentative.

Devant son attitude démoralisée, mon épouse le persuada d’essayer encore et voulant lui prouver que c’était possible, elle décida de lui faire l’amour. Elle l’allongea sur l’herbe et, pour parfaitement contrôler la situation, elle prit, elle, les choses en mains ! Debout devant lui, elle se caressa d’abord longuement, laissant courir ses mains sur tout son corps, se pinçant les mamelons, glissant dans sa chatte pour en faire pointer le clitoris. Elle cherchait de cette manière à maintenir l’état d’excitation de notre ami (ce qui n’était pas difficile) mais surtout à faire mouiller parfaitement sa petite chatte pour permettre une lubrification suffisante de sa vulve et favoriser ainsi l’intromission de cet organe aux dimensions hors normes.

Elle s’assit alors sur lui, jambes très écartées et s’aida de ses doigts pour faire pénétrer délicatement, mais de force ce sexe qui l’impressionnait tellement. C’est ainsi que je les surpris ! Je comprenais alors mieux le peu de mouvements exercés par ma femme : il s’agissait de ne pas le perdre. La connaissant, elle devait sûrement remplacer le mouvement ondulatoire de son bassin par un massage exercé par ses muscles pelviens autour de cette colonne de chair, massage dont je ne doutais aucunement du résultat. Je compris aussi bien mieux la gratitude de Abdou après avoir joui : ce devait assurément pour lui être une de ses « premières » fois !

 

Je ne regrettais donc absolument pas mon attitude complaisante et pris mon épouse à bras le corps pour l’embrasser passionnément. Ce faisant, je glissai discrètement une main sous sa robe, main qui remonta jusqu’à sa petite culotte que je trouvai… détrempée de mouille !

 

— Alors, ma puce, ça t’excite tant, de nous raconter tes exploits ? Pourquoi ne pas nous faire profiter de tes charmes à tous les deux, puisque nous sommes présents, et assurément très réceptifs à la poésie de ton beau corps.

Et pour mieux l’engager sur cette voie, j’enserrai de ma main sa petite culotte que je retirai. À cet instant, et en réponse à ma démarche audacieuse, son baiser se fit plus passionné encore. Elle se plaça face à nous, dans la lumière tamisée de l’éclairage et fit lentement glisser sur ses épaules les bretelles de sa robe, accompagnant le tout d’un déhanchement lascif. La robe glissa lentement ; elle s’arrêta un instant avant de dévoiler ses petits seins dont les mamelons pointaient déjà… Nous étions, Abdou et moi, ébahis, le souffle retenu par tant d’audace ; la robe glissa encore, dévoilant le ventre plat, le nombril puis la petite touffe de poils blonds surmontant le pubis et qui chaque fois échappaient (volontairement) à la tondeuse. Nouvel arrêt, avant qu’elle laisse enfin tomber ce qui était le dernier rempart de sa nudité complète qu’elle nous offrait maintenant à tous les deux.

Elle s’approcha alors de nous. De Abdou d’abord, qu’elle embrassa généreusement, pour bien lui faire comprendre qu’il n’était aucunement exclu de ce qui allait suivre. Elle accompagna encore son geste d’une caresse bien appuyée, remontant du genou jusqu’à la bosse énorme qui déformait son pantalon, pour mieux affirmer sa démarche et, peut être, pour s’assurer de l’effet qu’elle avait produit sur son public !

Puis elle nous prit par la main, nous entraînant sous la douche. Très vite nous fûmes nus, nous aussi, et je pus enfin observer dans son entier le zob si particulier de mon ami. Ma femme se plaqua alors contre nous, frottant ses petits seins contre nos poitrines alors que ses mains habiles partaient à la conquête de nos sexes tendus, chacune s’accaparant du sien. Tout en nous caressant habilement, elle venait coller son sexe entrouvert contre le haut de notre cuisse, alternant l’un, puis l’autre. L’excitation était telle que nous ne mîmes pas longtemps à jouir, déversant chacun notre sperme contre son ventre et le bas de ses seins. Elle se cambra en arrière, laissant couler le liquide séminal jusqu’à l’orée de son sexe, elle en recueillit alors dans le creux de ses mains et, adossée à la paroi, elle se masturba avec, s’en enduisant copieusement la vulve, jusqu’à ce qu’une jouissance très forte la terrasse. Épuisée, elle se laissa glisser jusqu’au fond de la douche, nous laissant dans l’état d’excitation intense que son spectacle nous avait procuré.

Très vite, elle récupéra et j’entraînai tout le monde jusqu’à notre lit conjugal, que j’avais eu la chance de choisir à l’époque assez vaste. Je souhaitais entre autres que l’expérience de Abdou soit encore plus forte, plus marquante, en quelle sorte plus « réussie » que celle de l’après-midi. Je décidai donc de prendre la direction des opérations. Je fis d’abord s’allonger mon épouse, jambes largement écartées. Ce n’était pas dans le but de profiter du spectacle de sa chatte pleinement offerte à nos regards, mais bien dans l’idée de favoriser au mieux la pénétration de Abdou. Je le priai alors de s’allonger à son tour, dans la même position, mais face à elle, puis d’entrecroiser ses jambes avec celles de mon épouse, un peu comme deux paires de ciseaux dont on croiserait les lames. Dés le contact de ce sexe contre sa vulve, ma femme se laissa aller à des gémissements tout à fait à la hauteur de son excitation. Était-ce cette situation nouvelle d’exhibitionnisme et de voyeurisme simultanés que nous vivions qui l’excitait tellement ? Toujours est-il que sa réaction fut très communicative et que mon érection se tendit encore au point que j’en avais mal. Les deux amants joignirent alors leurs mains et se tirèrent l’un contre l’autre, jusqu’à ce que leurs entrejambes se rejoignent, preuve évidente que Abdou était parfaitement en elle !

 

— C’est complètement fou, jamais je me suis senti si bien avec une femme, j’ai l’impression de vraiment te pénétrer profondément. Tu es chaude, accueillante comme jamais je ne l’ai vécu, vous êtes vraiment merveilleux !

— Ce n’est pas une impression, tu me pénètres vraiment très loin !

Puis se tournant vers moi, elle rajouta :

— Je ne souhaite pas te vexer, mais jamais je n’ai eu l’impression d’être pareillement remplie !

Puis pour s’excuser sans doute de paroles qu’elle croyait blessantes (elles ne l’étaient aucunement, tout au plaisir que j’avais de participer… à leur plaisir !) elle m’attira et prit mon sexe archi tendu en bouche. Et tout en étant merveilleusement pénétrée, elle s’appliqua à me sucer comme jamais, m’absorbant parfois jusqu’au fond de sa gorge, voulant m’offrir une cavité aussi profonde que celle qu’elle ne pouvait me donner en cet instant, pendant que ses mains me caressaient les bourses, remontant parfois sur mes fesses pour venir s’égarer vers mon anus ou empoignant ma hampe qu’elle compressait et secouait comme si elle souhaitait la vider jusqu’à la dernière goutte.

Et puis, ils jouirent tous les deux. Je les suivis immédiatement. Malgré des râles à la hauteur de sa jouissance, elle prit soin de me boire complètement, ne laissant perdre aucune goutte. Secouée encore des derniers spasmes de plaisir, elle se laissa alors aller à commenter ce qu’elle venait de vivre :

— Ah, Abdou, ta queue dans ma chatte, j’avais l’impression d’un ballon énorme qui plaquait contre ma vulve et qu’on n’arrêtait pas de vouloir gonfler encore, et puis, quand tu as joui, cette quantité de sperme, c’était chaud, c’était bon, j’avais l’impression que jamais je ne pourrais tout accueillir…

Après quelques instants de répit, nous inversâmes les rôles : je m’allongeai sur le lit, ma femme prit la position qu’elle avait cet après midi avec Abdou, à califourchon sur moi. Nous pouvions ainsi lui montrer le spectacle de sa chatte pénétrée par ma verge et, lui s’étant approché du lit, elle pouvait lui prodiguer de délicieuses caresses buccales.

Pour ma part, dans un premier temps, je me sentais comme perdu dans ce sexe trop dilaté pour moi… mais cette dilatation eut vite un avantage, elle me permettait d’aller très loin, buttant fortement contre le col de l’utérus de mon épouse qui me le fit très vite remarquer :

— Ah, chéri, comme tu vas loin, tu vas me perforer ! Jamais je ne t’ai senti si profondément en moi. Si tu persistes, je vais finir clouée sur ton sexe !

Et puis très vite, sa musculature parfaite aidant, j’ai retrouvé le contact de ses muqueuses contre ma verge, tout en gardant la profondeur que j’avais réussi à atteindre ! Abdou, captivé par le spectacle de nos deux sexes en activité complémentaire, spectacle encore agrémenté des filets de sperme, son sperme qui s’échappait de la vulve de ma femme avait retrouvé une pleine érection.

Mon épouse, qui ne pouvait prendre entièrement en bouche ce sexe aux dimensions décidément très particulières, s’en servait comme d’un gigantesque cornet de glace qu’elle léchait à petits coups de langue rapide, qu’elle mordillait comme pour arracher un petit morceau de glace dont l’arôme nous plaît particulièrement. Ce traitement dut manifestement faire tout son effet sur Abdou car, à son tour, il jouit en même temps que nous, offrant à ma femme sa deuxième ration de liquide séminal qu’elle s’employa, encore une fois, à ne pas laisser perdre !

Puis nous nous allongeâmes tous les trois dans le lit, et avant de nous endormir pour un sommeil réparateur, nous convînmes ma femme et moi, que tant qu’il n’aurait pas trouvé « chaussure à son pied » (et même par la suite, pourquoi pas ?), il trouverait toujours chez nous l’accueil qu’il souhaiterait.

 

Par lailatvx.erog.fr
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