Non catégorisé

Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:13

Il y a quelques jours, j’ai été invité par 1 ami à passer 1 semaine à la campagne où il possède 1 maison. Par hasard, le 2ème jour, en me promenant, j’ai remarqué 1 cheval dont l’énorme bite pendait !

Je m'attendais à un sexe de bonne taille certes, mais pas aussi gros tout de même. Alors en pleine érection, sa verge venant battre convulsivement contre son ventre, l'engin en question faisait facilement 40 à 50 centimètres de long et sans doute un peu plus de 10 centimètres de diamètre à la base, juste après le fourreau. Vérifiant une dernière fois que personne ne venait, j’eus envie de prendre le monstre dans mes mains pour mieux en apprécier la taille mais je n’ai pas osé !

Et depuis ce jour, je n’arrête pas de fantasmer sur cette bite géante !

Par lailatvx.erog.fr
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Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:05

Il m’est arrivé, il y a longtemps et bien avant de connaître la sodomie à fond, de fantasmer, m’imaginant en train de me faire violer par un homme après l’avoir sucé. Sucer la queue d’un homme est une expérience qui revient souvent dans mes fantasmes mais sans que j’aie jamais osé faire la moindre démarche pour cela. C’est le principe du fantasme : ça s’imagine. De toute façon, durant mon adolescence, trop d’appréhensions et une énorme timidité m’ont toujours empêché de tenter quoique se soit en la matière.
Un jour, il était environ 17 heures et j’ai eu envie de m’exciter en lisant quelques histoires érotiques. J’en ai lu plusieurs qui m’ont bien excité et notamment celles  qui racontaient l’expérience réelle ou inventée d’un homme qui pour la première fois avait fait l’expérience de la sodomie et qui en avait retiré un plaisir extraordinaire.
C’est donc bien excité que j’ai décidé d’aller me soulager en me masturbant dans les toilettes du lycée où j’étais à Rabat (Maroc).
Au moment où je pousse la porte des toilettes je m’aperçois que le concierge chargé de l’entretien des toilettes est devant un lavabo en train de se laver les mains. Je passe derrière lui et rentre dans une des deux toilettes en refermant derrière moi.
Je baisse mon pantalon en essayant de ne pas faire trop de bruit, je prends 2 ou 3 feuilles de papier, je m’en entoure le sexe pour ne pas risquer de tacher mes vêtements et commence à me masturber doucement en me remémorant les passages les plus croustillants des histoires que je viens de lire.
Il ne s’était pas passé plus de 45 secondes que j’entends qu’on frappe légèrement à la porte. Surpris, j’arrête tout et je m’immobilise pour rester dans un silence complet. J’hésite à répondre, étonné que quelqu’un puisse frapper à la porte de toilettes occupées. J’ai d’abord cru à une erreur, que quelqu’un avait tapoté à la porte en passant sans penser que les toilettes était occupées mais lorsque j’entendis « allez, ouvre moi » mon cœur a bondi dans ma poitrine. Interloqué, ne sachant que répondre j’attends toujours en silence lorsque j’entends de nouveau « allez ouvre moi, je sais que tu te branles ».
Affolé, tout honteux je ne dis toujours rien, tout simplement parce que je ne sais pas quoi dire, lorsque j’entends, sur un ton plus ferme, « laisse moi rentrer ou je dis à tout le monde que tu te branles dans les chiottes ».
Alors là, je m’empresse de remonter mon pantalon, je me réajuste, je tire la chasse d’eau et j’ouvre avec la ferme intention de nier indiquant que j’étais tout simplement sur le trône en train de chier et que ces élucubrations n’avaient aucun sens.
Au moment ou je commence à entrouvrir la porte, je sens de l’autre coté une poussée du concierge qui se lavait les mains lorsque je suis arrivé, il me pousse vers le fond des chiottes et referme la porte derrière lui.
Alors c’était bon ? Me demande t’il.
Trop surpris par son intrusion je ne réponds pas immédiatement et il me dit « c’est pas la peine de nier, je t’ai entendu, d’ailleurs tu bandes encore » et à ce moment, il met sa main sur mon pantalon à l’endroit ou effectivement mon sexe encore à moitié tendu fais une légère bosse.
Il me dit encore « écoute, tu m’obéis, tu fais tout ce que je te demande et je te jure que je ne dirais rien à personne ».
A ce moment, j’ai conscience que j’aurais pu m’en tenir à ma résolution de tout nier et de le traiter d’obsédé sexuel et de le menacer de lui faire une réputation de pédé qui vient harceler les élèves jusque dans les toilettes. Je suis convaincu qu’il n’aurait pas pris le risque et qu’il m’aurait rapidement foutu la paix. Mais voilà, me trouver dans cette situation, partagé entre la honte et une certaine excitation, je n’ai pas dit ce que j’avais l’intention de lui dire. Sans vraiment encore savoir pourquoi je me suis entendu lui répondre « d’accord mais n’en profite pas ». Après coup je me dis que dire « n’en profite pas » était particulièrement absurde dans cette situation mais l’émotion peut faire dire n’importe quoi.
Le fait de prononcer ces paroles a été pour moi comme si je m’étais débarrassé brusquement de ma personnalité pour me livrer complètement aux désirs de cet homme.
Je ne sais toujours pas comment j’ai pu si facilement me laisser faire, probablement parce que mes lectures d’histoires érotiques avaient ravivé mes fantasmes et certainement aussi parce qu’il était aussi sur le point de partir en retraite.
Je sentais peut être intuitivement que c’était pour moi l’occasion d’assouvir ce vieux fantasme de soumission par un homme et que si je réfléchissais trop j’allais peut être passer le reste de ma vie à le regretter.
« D’accord, ne t ‘inquiète pas, tu verras je suis certain que tu trouveras ça très agréable » m’a t’il répondu. « Allez enlève ton pantalon ».
Dans un état presque second j’ai enlevé mon pantalon en prenant soin de le plier et de le poser dans un coin. Puis rapidement, il a baissé mon slip jusqu’à mes chevilles. Il m’a fait asseoir, les fesses nues sur le siège dont le battant avait été rabattu. Il a baissé son pantalon et exhibé un sexe assez long et bien épais qu’il a présenté à ma bouche en me disant « suce moi ».

Drôle de sensation, très excitante, il bandait bien et je me suis surpris moi même à essayer de bien faire les choses en le masturbant doucement et en serrant mes lèvres le plus fermement possible sur sa hampe tout en lui caressant doucement les couilles de l’autre main.
Il semblait apprécier, il a commencé par me dire « c’est bon continue, tu suces comme une vrais salope, c’est bon ». Au bout de quelques minutes je l’ai senti se durcir de plus en plus et il m’arrêté d’un geste. Il m’a dit « tu vois que ce n’est pas si désagréable que ça et maintenant passons aux choses sérieuses ».
Il n’était pas très difficile de deviner ce qu’il entendait par là. Mais je ne lui répondis pas, j’étais de toute façon incapable de dire un mot.
A sa demande, je me suis levé puis il m’a retourné et en m’appuyant sur le dos m’a fait pencher, les mains posées sur le battant des toilettes. Cette position, le cul en l’air, offert, à provoqué en moi une brusque montée d’excitation. Enfin j’allais assouvir mon fantasme, découvrir la sodomie ! Mais en même temps j’avais honte, j’étais entièrement soumis et j’appréhendais : est ce que j’aurais mal, est ce que j’allais en retirer du plaisir ?
Je lui ai dit « doucement, je ne l’ai jamais fait » et il m’a répondu « y a un début à tout ».
Son ton a commencé à se durcir lorsqu’il m’a dit « tends bien ton cul et détends toi ». Puis il s’est baissé, j’ai senti ses mains m’écarter les fesses puis sa langue a commencé à me lécher l’anus. A ce moment j’ai commencé à ressentir une sorte de petit picotement. Après avoir introduit de la salive dans mon petit trou, je l’ai senti introduire un premier doigt, qu’il a remué dans mon cul en faisant des cercles, puis se fut un deuxième qui est venu le rejoindre. J’avais un peu mal et mon excitation commençait à retomber. Plus difficilement, il a remué ses deux doigts et essayé d’en introduire un troisième. Ce fut difficile, ça ne passait pas, il me faisait vraiment mal et je lui ai dit, alors il m’a répondu « tant pis pour toi, je vais te défoncer le cul ma chérie ».
A ce moment j’ai senti son sexe se presser contre mon anus. Ce fut laborieux j’étais trop serré alors il ajouté de la salive et pressé de plus en plus fort et j’ai senti soudain que son gland avait passé mon œillet. La sensation était plus douloureuse que jouissive et j’appréhendais la suite. Je lui répétais « doucement, doucement » mais il devenait de plus en plus impatient et forçait de plus en plus. Tout à coup, il m’a empoigné les hanches encore plus fermement et a poussé brutalement d’un coup sec. J’ai eu mal, Je me suis retenu de crier, après tout, nous étions dans les toilettes et n’importe qui pouvait entrer sans crier gare. Une fois qu’il a bien été calé au fond de moi, il m’a laissé le temps de m’accoutumer et la douleur s’est un peu estompée. Puis je l’ai senti m’écarter les fesses et il a commencé un mouvement de va et vient qui au bout d’un moment m’a procuré d’étranges sensations. C’est vraiment à ce moment que j’ai pris conscience que je me faisais enculer, que je me faisais pénétrer à fond d’une manière complètement soumise. A partir de ce moment j’ai commencé à sentir le plaisir monter, je ne bandais pas pour autant mais je sentais mon anus se dilater de plus en plus et les va et vient se faire facilement. Je ne pouvais m’empêcher de gémir doucement ce qui renforçait ce sentiment d’être dans la peau d’une femme soumise. Il me disait « c’est bon hein ! T’aime ça te faire défoncer le cul ! » Ou « je te l’avais dit que tu aimerais ça, tu vas voir, tu en redemanderas ».
Il a continué à me prendre de cette manière, entrant à fond puis sortant presque de mon cul, tout en m’écartant les fesses et en me répétant « putain qu’est ce qu’il est bon ce cul …qu’est ce qu’il est bon ! »….pendant ce qui m’a semblé une éternité puis j’ai senti des spasmes et un liquide chaud se déverser au fond de moi, il gémissait en essayant de ne pas faire trop de bruit. Après avoir soufflé quelques secondes, il s’est retiré assez brusquement, s’est rhabillé sans dire un mot, m’a donné une tape sur les fesses puis est sorti des toilettes laissant la porte ouverte derrière lui.
Je n’ai pas bougé immédiatement, encore sous le choc puis réalisant que la porte était entrouverte je me suis redressé pour la fermer rapidement.
Ensuite je me suis adossé contre le mur, incapable bouger.
Je n’avais pas éjaculé, et je suis resté immobile dans cette position, le cul en feu. Je sentais son sperme couler par mon anus que j’imaginais entrouvert, attendant de me remettre un peu de mes émotions. J’avais du mal à réaliser ce qui venait de se passer.
Je me suis masturbé avec encore en tête ce qui venait de m’arriver et j’ai joui comme j’avais encore rarement joui. Un plaisir intense, une éjaculation puissante.
Je me suis rhabillé, un peu engourdi, puis je suis allé me passer le visage sous l’eau pour avoir l’air un peu présentable.
Lorsque je suis sorti des toilettes j’étais persuadé que n’importe qui me croisant se dirait « tiens celui la, il vient de se faire enculer », j’étais honteux et persuadé que cela apparaissait clairement sur mon visage, j’avais l’impression de marcher bizarrement du fait de mon cul douloureux.

Mais le lendemain, j’y suis retourné. A chaque fois c’était le même scénario, nous nous retrouvions en silence dans les toilettes, je le suçais et il m’enculait.

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Mardi 7 septembre 2 07 /09 /Sep 06:07

J’éprouve un réel plaisir à me maquiller et à porter des sous vêtements féminins.
Le matin, quand je m’habille, je mets toujours des sous vêtements féminins, culottes, strings ou tangas ainsi qu’un soutien gorge mais dont je laisse les bonnets vides.
Ce que j’apprécie tout particulièrement, c’est le contact de la matière sur mon corps et la finesse des détails, des broderies, ou tout simplement la coupe.
J’adore porter des strings et sentir mon sexe compressé dedans. Il n’est d’ailleurs pas rare que j’aie une érection qui survienne dès que j’enlève le string !
Quand je me masturbe, c’est avec ces sous vêtements. Je commence à me masturber à travers eux. J’aime sentir ce contact de la matière sur ma peau.
Je joue même parfois avec le soutien gorge en le nouant autour de mon sexe et ou en éjaculant dans les bonnets. Personne ne connaît mes tendances.
Mais j’aimerais bien trouver un homme qui partage le même intérêt que moi pour le travestisme.
Quant au maquillage, je le mets mais relativement discret. On m’a déjà fait plusieurs fois la remarque que je mettais du maquillage, mais honteux je dis qu’il s’agit de maquillage pour homme et que c’est pour me donner un style.
Je me masturbe aussi comme si j’étais une femme, considérant mon pénis comme un clitoris et mon anus comme vagin.
Je prends du plaisir à jouer à être femme, pour autant je n’ai aucunement envie de changer de sexe. Je vis cela seulement comme un jeu, un plaisir, un enchantement.

Par lailatvx.erog.fr
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Mardi 7 septembre 2 07 /09 /Sep 06:04

 

1-pays :

2-prénom:

3-âge:

4-profession:

5-taille:

6-poids :

7-situation familiale :

8-fruits préférés :

9-ce que tu aimes manger :

10-ce que tu n’aimes pas manger :

11-ce que tu aimes voir à la télé :

12-ce que tu détestes voir à la télé :

13-genre de films que tu aimes :

14-chanteurs et chanteuses préférés :

15-acteurs et actrices préférés :

16-les pratiques sexuelles que tu adores :

17-es-tu soumise ou dominante :

18-préfères-tu le sexe avec les femmes, les hommes ou les deux :

19-la 1ère chose que tu fais quand tu rentres chez toi :

20-ton fantasme le plus inavoué :

21-ta voiture préférée :

22-le ou les pays où tu voudrais vivre :

23-combien de fois fais-tu l’amour par mois :

24-ce que tu aimes qu’une femme te fasse au lit :

25-ce que tu refuses qu’elle te fasse au lit :

26-ce que tu aimes qu’un homme te fasse au lit :

27-ce que tu refuses qu’il te fasse au lit :

28-tes loisirs :

29-tes qualités :

30-tes défauts :

 

 

 

 

 

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Mardi 7 septembre 2 07 /09 /Sep 05:57

Je m’appelle Nadia, j’ai 24 ans, je suis brune et je vis avec mon mari Karim, un homme de 31 ans, plus passif qu’actif, aimant souvent porter mes dessous, se faire enculer par des mâles au lieu de s’occuper de sa femme chérie.

Mes parents ont une belle maison avec piscine, pas loin de Rabat.
J’y invite souvent des amis pour venir s’amuser le week-end. Le plus assidu étant le petit voisin de 17 ans : Aziz.
Il est noir et plutôt bien proportionné, très musclé pour son age. Souvent, je le laisse s’amuser alors que moi je bronze à coté.
Je bronze toujours les seins nus, ils sont assez gros (90D) donc je préfère les laisser respirer. Je porte tout de même une culotte pour ne pas paraître trop sexy.
En effet il m’est arrivé de le surprendre en train de contempler mes seins ou de regarder mon sexe.
Sa mère me dit qu’il a beaucoup de succès avec les filles, c’est vrai que c’est un beau jeune homme.
Cette après midi là, il jouait dans l’eau quand je lui ai demandé de venir me passer un peu d’huile sur le corps. Je ne lui avais jamais demandé cela mais aujourd’hui je voulais sentir des mains masculines sur mon corps.
Il s’approcha, prit de l’huile, s’en mit sur les mains, je lui dis d’attendre une seconde, je roule ma culotte dans mes fesses pour qu’il puisse bien voir ce que je veux.
Il me massa le dos et les fesses, c’était divin, ce jeune devait en effet avoir beaucoup de succès auprès de filles, car il savait s’y prendre.
Il me proposa de me masser devant.
Je lui répondis que oui c’était très gentil de sa part. Il me massait mais je sentais aussi ses mains me palper les seins, les cuisses, c’était délicieux.
Après ce tendre massage, il se lava les mains puis s’installa sur un transat à quelques mètres de moi.
Moi je frissonnais encore, la sensation de ses mains m’avait même humidifié ma culotte.
J’en voulais plus, j’étais bien disposée à me satisfaire, même si c’est un gamin.
Je me levai de ma transat, et me dirigeai vers le sien. Il était allongé sur le dos, avec comme seul vêtement ce petit slip de bain rouge.
Je m’asseye sur lui à califourchon, il se redressa d’un coup en me demandant ce qu’il m’arrivait.
Je lui dis que je voulais sentir la chaleur d’un homme, je frottais mon bassin sur son petit slip qui se mit rapidement à gonfler. Nos deux sexes étaient presque en contact, seuls les tissus de nos culottes respectives formaient un rempart. Il me dit qu’il avait aussi très envie de moi depuis longtemps.
Je lui ai demandé s’il savait s’y prendre avec les filles, s’il l’avait déjà fait.
Il me répondit que oui et qu’il adorait le sexe. Il m’a même dit s’être branlé dans les culottes de mon dressing.
A ces mots, je me levai, enlevai ma culotte et me rasseye sur lui. Ses yeux me dévoraient de haut en bas, surtout ma chatte. Je pris ma culotte et commençai à la frotter sur son sexe.
J’enlevai son slip lorsque je vis sa queue énorme, un véritable pieux noir ! Elle devait faire 26 ou 27 cm, d’un diamètre impressionnant. Malgré mon age et le nombre de compagnons que j’ai eus, je n’avais jamais vu une bite de cette taille.
Avec la queue qu’il a, ce gamin va me baiser comme cela ne m’est pas arrivé depuis longtemps.
Il me demanda si sa queue m’impressionnait, je lui dis que oui mais que j’en avais envie.
« Alors si tu as envie, occupe toi de moi ».En même temps il me tenait serré à califourchon contre lui et me pelotait le cul, les seins, me fouillait la chatte a fond.
Ma cramouille était trempée, ma liqueur dégoulinait sur ses couilles.
Je lui branlais doucement son sexe, lui massais ses grosses couilles, l’embrassais, j’étais ivre de plaisir, j’avais une envie folle que ce gamin me pénètre.
Nos sexes se frottant l’un à l’autre, leur chaleur se confondait, c’était très agréable. Je ne pouvais plus attendre, il me fallait cette queue au plus profond de moi. J’essayai donc de me l’introduire avec difficulté, il me prit la main, enleva sa queue et me dit :
« Suce moi et ensuite je vais te prendre comme la salope que tu es »
Il me dominait, ce gamin de 17 ans me dominait, en plus je n’aimais pas sucer les hommes, ce n’est vraiment pas mon plaisir.
« Non Aziz je n’aime pas ça »
Alors il me releva, m’allongea sur le dos sur le transat, je me préparais à prendre cette énorme queue entre mes jambes.
« Oui vas-y salope, masturbe-toi, tu vas avoir cette queue qui te fait mouiller depuis si longtemps »
A ces mots, au lieu de s’allonger sur moi, il se mit à califourchon sur ma tête et commença à me rentrer son engin dans la bouche. J’essayai de le repousser en vain.
« Suce moi a fond ou je dirai à mes parents ce que tu fais avec moi »
Je compris vite qu’il fallait que je me laisse faire, j’avais voulu du sexe à ma manière, et bien ce sera à la sienne.
Il tenait ma tête et me défonçait la bouche à grands coups de reins, il me touchait le fond de la gorge au point de me faire vomir !
Lorsqu’il enleva sa queue, je le traitai de petit salaud, que cela ne se faisait pas.
Il me gifla les seins et me mit à quatre pattes sur la terrasse.
Il tapotait sa main sur ma cramouille je n’en pouvais plus. Il frotta sa queue contre ma fente puis il commença à pousser pour entrer son énorme zob.
Cm par cm, sa longue bite me pénétrait, je sentais ma chatte se dilater comme jamais cela ne m’était arrivé auparavant, cette queue repoussait les parois de ma chatte.
Cette jouissance m’était inconnue à tel point que mes genoux flanchèrent et je m’écroulais allongée sur la terrasse.
Il me releva, m’embrassa, me porta à califourchon sur lui jusqu'à la piscine. Je sentais encore son gros gland frotter ma fente trempée, ma chatte était distendue. Là il s’assit sur la première marche dans l’eau et me dit :
« Viens t’empaler ma chérie »
Je m’assis donc sur sa queue et celle-ci me fouilla jusqu’au fond du vagin. Maintenant il ondulait pour me défoncer.
Sa queue butait au fond de mon vagin alors qu’il restait encore des centimètres hors de ma chatte. Je ne pouvais plus bouger, j’étais littéralement prise sur son axe.
Sa queue me tenait fermement, alors qu’il continuait à me pilonner, il n’arrêtait pas de me lancer des propos salaces.
« Tu aimes te faire limer par un black » ou encore « t’aurais pas du chauffer un zob de black, maintenant il va te pistonner ».

Après de longues minutes interminables, ma chatte n’en pouvait plus de ce long piston. Il me releva, m’allongea sur la terrasse, s’avança et posa sa queue entre mes seins et me dit :
« Je vais gicler entre tes seins vieille pute »
Il fit cinq ou six va et vient entre mes seins et déchargea une incroyable quantité de sperme sur mes seins, ses jets allant jusqu'à mon visage.
Il m’a repeint ce petit salaud.
Il se rhabilla et partit souriant, en m’embrassant il me dit :
« On se voit bientôt ma chérie, je n’ai pas encore élargi ton cul »

Le lendemain, je ne suis pas allée travailler, je pouvais à peine marcher tellement sa queue m’avait pilonnée avec violence. Moi qui souhaitais initier un beau jeune homme au sexe, c’est plutôt lui qui m’a initiée !

Depuis ce jour, il vient 4 à 5 fois par semaine pour me baiser, et je dois dire que je ne peux plus me passer de sa grosse bite.

Par lailatvx.erog.fr - Communauté : maris cocus mais heureux
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