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Mardi 5 juillet 2 05 /07 /Juil 08:29

lailatvx7

Il y a quelques années de cela, ma femme m’a surpris en train de me masturber alors que je portais ses sous-vêtements. Cela faisait un moment que je faisais cela et j’étais même sorti une fois avec une petite culotte à elle pour aller au travail.

Au lieu d’être furieuse, elle a accepté de partager avec moi ma passion pour les sous-vêtements féminins. Nous sortons régulièrement ensemble pour m’acheter des vêtements à ma taille et elle m’a même offert une perruque pour mon anniversaire pour que je devienne un véritable personnage. Nous faisons l’amour ainsi de temps en temps et régulièrement, elle me met un plug dans le cul. Elle adore voir mon petit trou dilaté et m’entendre gémir et couiner étant ainsi rempli ! D’autant plus que mes érections n’ont jamais été aussi fortes que lorsque j’avais quelque chose dans le cul !

 

C’est là que lui est venue l’idée de chercher des mecs pour que je les suce et qu’ils m’enculent. Un soir, elle m’a demandé de me préparer et de mettre ma tenue fétiche. Je devais mettre la perruque, me maquiller et être sexy. Nous avons attendu 21 heures et nous sommes partis en voiture. J’étais sur la banquette arrière et elle a conduit un petit moment pour descendre dans le parking d’un grand immeuble. Elle s’est garée à une place bien précise et un homme est venu la voir à la fenêtre. Elle lui a demandé de venir s’asseoir à côté de moi sur la banquette arrière et m’a dit : « maintenant lopette, tu le suces et à fond s’il te plaît ! ».

 

J’avais le cœur qui tambourinait dans ma poitrine. Une érection fulgurante et une montée d’adrénaline extraordinaire ! L’homme s’est installé, a baissé son pantalon et son slip, m’a attrapé par la tête et m’a dit : « Suce-moi lopette, j’ai plein de jus pour toi ! ». C’était la première fois pour moi. Je ne savais pas comment faire, mais sous la pression de ma femme et de cet homme, j’ai pris son zob en bouche et je l’ai sucé. J’ai pris goût et j’y ai mis tellement d’entrain que l’homme a mis seulement deux minutes à jouir ! Il a maintenu ma tête lors de son orgasme et a déchargé dans ma bouche. Je n’ai pas avalé entièrement et j’ai recraché le surplus. Cela m’a valu énormément de remontrances de ma femme qui m’a mis une sacrée fessée lorsque nous sommes rentrés à la maison !

 

L’idée suivante de ma femme était d’aller encore plus loin. Elle avait envie que je me fasse baiser par un homme. Ses projets étaient toujours de plus en plus gros. Elle me parlait de ce qu’elle voulait me faire faire et son imagination était sans limites. Ma femme me prévenait ce jour-là que je devais être propre du cul, car j’allais me faire prendre le soir même. Encore une fois, l’excitation est à son maximum ! Mais j’ai l’habitude de me faire des lavements et d’avoir l’anus toujours propre pour elle.

Tard dans la nuit, j’ai dû aller ouvrir la porte à un homme en étant habillé comme une femme. L’homme m’a roulé une pelle avec la langue et m’a mis la main au paquet directement. Ma femme est arrivée et l’a fait s’installer dans le salon. Elle m’a demandé de leur servir à boire et au moment où j’allais m’asseoir, elle m’a dit de rester debout et m’a exposé telle une bête à la foire. Je devais montrer mes fesses, ma queue, ma bouche et mon petit trou. L’homme a sorti son zob et, une nouvelle fois, ma femme m’a demandé d’aller le sucer.

 

Pendant qu’ils discutaient tous les deux, je pompais cet inconnu que ma femme avait fait rentrer dans notre salon. Au bout d’un moment, ma femme décida que cela suffisait et entraîna tout le monde dans la chambre. Elle me fait mettre à quatre pattes sur le lit, le cul en bombe. Elle donna un peu de gel à l’homme qui refusa. Il s’est mis derrière mes fesses avec sa bouche et m’a sucé le trou du cul. Il me l’a tellement léché et dévoré que j’étais ouvert à fond ! Il a craché à l’intérieur puis a présenté son zob pour me prendre. Il s’est enfoncé en moi assez facilement je l’avoue. Il est allé au plus profond et m’a demandé d’écarter encore mes fesses pour gratter un ou deux cm. Je suffoquais de cette sodomie profonde ! Ma femme l’encourageait et lui demandait maintenant de me baiser. L’homme s’est exécuté et m’a bourré le cul pendant de longues minutes.

 

Ma femme est venue se mettre face à moi et a écarté les jambes pour que je la lèche. Je me faisais ramoner le derrière par un inconnu en étant travesti et en léchant ma femme. Elle a joui la première. L’homme sentait monter la pression et le dit à femme qui me fit mettre sur le dos. L’homme m’a enjambé au niveau du torse et je devais le sucer. Je nettoyais ainsi sa bite des sécrétions laissées par mon anus jusqu’à ce qu’il décharge sur mon visage ! Il essuya bien son gland sur ma peau jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune goutte sur sa queue. Il me tapote la joue, se rhabilla et partit.

 

À peine eut-il passé la porte de la maison que ma femme me suçait la bite pour que je sois bien. Elle est venue s’enfiler sur ma queue et me disait tout un tas d’insanités alors que j’étais allongé sur le dos, avec le visage recouvert du sperme de l’inconnu et le cul complètement ouvert. Elle a fini par jouir et moi aussi. Je venais de me répandre dans sa chatte, mais je n’allais pas m’en tirer ainsi. Elle est venue plaquer sa vulve contre ma bouche et a poussé fort pour recracher mon foutre et, au passage, un peu de pisse dans ma gorge ! Une fois qu’elle eut terminé, elle me dit que c’était fini pour ce soir et que je pouvais aller me coucher.

Vous savez maintenant ce que je vis avec ma femme !

 

Ne vous y trompez pas, je prends énormément de plaisir à cela, à être son soumis, sa chose et comme elle le dit elle-même, sa petite salope !

 

 

Par lailatvx.erog.fr
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Dimanche 3 juillet 7 03 /07 /Juil 01:25

Il y a trois semaines, j’ai été invité à dîner chez des amis. Pendant le repas, j’étais en face de Mambo, un superbe Sénégalais au physique sculptural. On se regardait en se balançant des petits sourires.

 

A minuit, je décide de rentrer. Mambo en profite pour me demander de le raccompagner en voiture. Arrivés chez lui, il me propose de monter prendre un pot. Comme il faisait très chaud, il s’est mis à l’aise, c’est-à-dire en slip. Mon regard a été tout de suite attiré par la bosse énorme qui tendait son slip ! Il s’est assis en face de moi, les cuisses écartées. Il me parlait, mais je ne l’écoutais même pas. Je pensais à sa queue ! De temps en temps, il passait une main entre ses cuisses et se grattait les couilles. Je n’en pouvais plus, alors j’y suis allé franco :

— Tu préfères baiser avec des mecs ou avec des nanas ?

 

Il n’a pas répondu mais, d’une main, il a tiré l’élastique de son slip vers le bas. Je n’avais jamais rien vu d’aussi gros ! C’était incroyable d’avoir un tel engin entre les cuisses, aussi étonnant par sa longueur que par sa largeur ! Il bandait, et sa bite n’arrêtait pas de s'allonger ! Quand elle a été bien raide, il m’a lancé avec fierté :

— Vingt-deux centimètres ! Elle te plaît ?

 

J’étais médusé. Je ne pouvais pas quitter cet énorme zob des yeux. Il s’est levé et s’est approché de moi. Je ne savais plus quoi faire tellement j’étais impressionné ! Il m’a demandé de le sucer. J’ai écarté les lèvres au maximum. Son gland à lui seul me remplissait la bouche. Je pouvais le pomper en tenant sa queue à deux mains. Quel morceau ! Quand il a déchargé dans ma bouche, je n’en étais pas encore revenu !

 

Il m’a fait mettre à quatre pattes, mais il n’a pas osé me planter sa bite à sec. Il est allé dans la cuisine chercher une tablette de beurre, et il m’a copieusement lubrifié le trou du cul. Même avec le beurre, j’ai crié ! Plus il s’enfonçait en moi et plus ça me brûlait. Je serrais les dents pour rester digne dans la douleur ! Quand il a commencé à s’activer, c’était comme si on m’avait planté un fer rouge dans le trou du cul ! J’avais envie qu’il s’arrête, mais en même temps, je voulais me prouver quelque chose à moi-même.

 

Les premiers va-et-vient ont été très lents. Il n’y a pas de doute, ce mec connaissait son affaire. À mesure que ma rondelle s’élargissait, il accélérait légèrement le rythme. La douleur se dissipait petit à petit, et je me suis surpris à bouger mon derrière pour aller le chercher. D’un coup, je me suis rendu compte que je n’avais plus mal et que ses coups de queue me donnaient de plus en plus de plaisir ! Alors, j’ai pris mon zizi et je me suis branlé comme un fou en le sommant d’y aller encore plus fort et de me défoncer l’anus ! Il ne s’est pas fait prier. Il s’est bien accroché à mes hanches pour me donner des coups encore plus violents. Mes yeux baignaient dans la sueur. Je ne savais plus où j’étais et j’avais la tête qui tournait dans tous les sens !

 

Il a joui en plantant ses ongles dans ma chair et je l’ai accompagné dans le plaisir. Le plus fou, c’est qu’en ressortant de mon cul, il bandait encore. Ça faisait deux fois qu’il déchargeait coup sur coup, mais son gros zob ne donnait aucun signe de fatigue ! Moi, j’avais des courbatures partout, il me semblait que je venais de finir un marathon, et lui, c’était comme s’il n’avait pas encore baisé !

Avant qu’il n’ait à nouveau l’idée de m’enculer, j’ai vite pris sa queue dans ma bouche et je lui ai taillé une pipe.

 

Ça ne l’a pas empêché, une heure après, de m'enculer une nouvelle fois !

 

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Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 01:17

Mon beau-père était resté muet après que je lui ai taillé cette pipe dans la cuisine. Il était sonné comme s’il ne croyait pas que c’était vraiment arrivé, qu’il s’était fait sucer par son beau-fils !

J’avais disparu dans la salle de bains et m’étais longuement regardé dans le miroir. Je me trouvais très beau et me disais que j’aimerais bien faire l’amour à la créature que je voyais dans le miroir ! Je tirais légèrement la langue et constatais avec délice que j’avais encore du sperme dans la bouche. Je repensais à ce gland turgescent et débordant de semence que j’avais lapé comme une vraie salope.

 

En ressortant de la salle de bains un peu plus tard, après m’être habillé, je trouvais l’appartement vide. Mon beau-père était parti. J’avais peur qu’il regrette ce qui s’était passé dans la cuisine et qu’il ne veuille jamais recommencer. Dans la cuisine, je découvris un post-it sur lequel était écrit: « J’ai adoré ce que tu m’as fait. C’était la meilleure pipe de ma vie ! ». J’étais aux anges, totalement rassuré !

 

Toute la semaine, en présence de ma mère, mon beau-père me regardait à la dérobée avec un petit sourire complice. Un soir, alors que ma mère était dans la cuisine, il m’a même peloté le cul à travers mon jeans. Le vendredi soir, profitant de ce que ma mère était dans la salle de bains, il m’a glissé à l’oreille:
-Demain matin, nous serons seuls, ta mère sera dans sa boutique.
Une bonne partie de la nuit, j’essayais d’imaginer comment les choses allaient se passer le lendemain matin. Je ne résistais pas à l’envie de me masturber.

 

Vers 10h du matin, j’entendis du bruit dans la salle de bains. Je savais qu’à cette heure-là, ma mère était déjà au travail. Je me levais, nu et me dirigeais vers la salle de bains. La porte était entrouverte. Je la poussais et vis mon beau-père totalement nu devant le lavabo. Je me collais contre son dos. Il soupira:
-Ah, tu es là mon chéri !
J’adorais qu’il m’appelle son chéri !

Je passais mes bras autour de son torse poilu puis descendis ma main jusqu’à son sexe. Il était déjà en érection. Je le massais doucement et chuchotais à son oreille:
-J’ai envie que tu me fasses l’amour !

Il regardait le reflet de mon visage dans le miroir en souriant.
-Tu es sûr ?
-Oui, j’ai envie de toi. Viens !
Le tenant par la bite, je l’entrainais vers la chambre de ma mère.
-Mais qu’est-ce que tu fais ? Non, pas dans le lit de ta mère !
-Oh si, je t’en prie ! J’ai envie de faire l’amour dans les draps où tu as baisé maman !

Je l’entrainais vers le lit et je m’y jetais sur le dos. Il me regardait d’un air effaré. J’écartais les cuisses et relevais mon bassin tout en passant mes mains sous mes fesses pour les écarter.
-Regarde, je suis tout ouvert pour toi ! Je te veux !

Il s’assit à côté de moi et se pencha pour m’embrasser. J’ouvris les lèvres pour happer sa langue charnue. Il la fit tournoyer dans ma bouche. J’étais à lui !
Il se redressa et me dit:
-J’ai envie de te lécher d’abord.
-Oh oui, j’adore !!!
Il plongea entre mes cuisses et le bout de sa langue acheva d’ouvrir mon anus déjà entrebâillé.
-Mais tu mouilles du cul ?
-Oui, tu me fais mouiller comme une fille.

Je sentais sa langue sonder mon cul. J’écartais au maximum les cuisses pour l’encourager à m’ouvrir. Je ne pouvais plus attendre : je voulais sa bite !
-Prends-moi, je t’en supplie !
Il se redressa et me présenta sous le nez son gros gland gorgé de sang.
-C’est ça que tu veux ? Tu es sûr ?
-Oui !!! Remplis-moi !!!

Il s’installa entre mes cuisses et colla son chibre sur ma rondelle en chaleur. J’écartais mes fesses et avançais mon bassin pour m’empaler sur son gourdin fiévreux.
-Oh oui, vas-y, entre dans mon ventre !!!
Il donna un petit coup de bassin et je sentis sa bite forcer mon anus et glisser dans mon ventre. Un long gémissement de femelle en rut m’échappa.
-Oh que c’est bon d’avoir un homme dans le ventre ! Je suis à toi. Baise-moi !

Il cria mon prénom à plusieurs reprises. Je hurlais de plaisir ! J’avais envie que tous les voisins m’entendent couiner comme une truie !
-Tu l’aimes mon cul ?
-Oui, je l’aime!
-Moi aussi, je t’aime. Saillis-moi, féconde-moi. Jouis dans mon ventre ! Je t’appartiens ! Qu’est-ce que c’est bon de se faire enculer !
-Oh, ton cul mon amour…
-C’est mieux que la chatte de ma mère ?
-Dix fois meilleur ! Après ça, je crois bien que je n’arriverais plus à la baiser !
-C’est vrai ? Tu ne voudras baiser qu’avec moi ?
-Oui, et ta mère nous regardera en se masturbant toute seule !
-Oh oui, j’adorerais que tu me baises devant elle, qu’elle voit le plaisir que tu me donnes !

Soudain, mon beau-père arrêta son va et vient. Ses yeux se révulsèrent et je sentis un jet continu dans mon ventre comme si une seringue m’avait injecté son contenu ! Nous restâmes un bon moment ainsi empalés tout en nous embrassant à pleine bouche.
-Je veux que tu restes en moi tout le temps ! Je veux garder ta bite dans mon ventre. Je veux être ta maîtresse, ta minette, ta belle-fille !
-Oui ma chérie !

Par lailatvx.erog.fr
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Vendredi 1 juillet 5 01 /07 /Juil 01:22

 

Ma vie et ma sexualité ont pris depuis quelques années un tour étrange.

Peu gâté par la nature : petit, maigre, imberbe, j'ajoute à ce sombre tableau un pénis ridicule d'une dizaine de centimètres en érection ! Autant dire qu'à l'époque du début de ce récit, je n'avais eu, à vingt-quatre ans, aucune aventure sérieuse avec une fille ! Les deux seules que j'avais réussi à ramener dans ma chambre ne continuèrent pas leur relation avec moi.

J'ai toujours été lucide sur ma personne et ai toujours compris que ce serait pour moi plus difficile que la majorité des gens pour accéder au bonheur de la vie de couple.

 

C'est donc à vingt-quatre ans que j'ai fait la connaissance de Nadia, ma voisine de palier du nouvel appartement que je venais de louer. Dès que je l'ai vue, je suis tombé amoureux d'elle ! Grande, brune les yeux verts, elle a une classe naturelle et un charme hors norme. Au début, je n'osais pas l'aborder, trop intimidé et pensant bien entendu qu'elle était inaccessible pour moi. Je l'épiais cependant, lui connaissant quelques amants de passage, j'appris qu'elle travaillait à quelques pas de là dans un magasin de fringues de luxe.

Je fis sa connaissance un beau jour en me proposant de l'aider à décharger quelques courses de sa voiture vers son appartement. Elle avait une façon de me parler et de me regarder un peu hautaine, comme si je n'avais que peu de valeur à ses yeux. Etrangement, cela ajouta à mon attirance pour elle ! Elle me remercia du bout des lèvres du service que je venais de lui rendre. Ce soir-là, je me suis branlé en pensant à elle !

 

Les jours qui suivirent, j'ai continué à l'épier, guettant le moment opportun pour lui venir en aide. Cela devint une habitude que je l'aide à décharger sa voiture où que je lui rendre différents services, comme changer une ampoule grillée, aller chercher son linge au pressing, tondre la pelouse de son petit carré de jardin…Bref, une foule de petites choses qui faisaient que je la côtoyais de plus en plus. Elle semblait apprécier l'aide que je lui apportais et discutait un peu avec moi de la pluie et du beau temps…

Je tombais alors éperdument amoureux d'elle, d'une façon intense et exclusive, je ne vivais que pour les petits moments que je passais avec elle ! A mon avis, elle s'aperçut bien vite de mon amour mais elle ne fit rien pour me faire comprendre que je n'avais aucune chance. Au contraire, elle me demandait de plus en plus souvent des services…Je ne savais plus trop quoi penser, je n'osais pas me faire des idées mais d'un autre côté, j'avais envie de lui déclarer ma flamme. Elle finit par me confier un double de la clé de son appart pour que je puisse y faire le ménage quand elle n'était pas là. Elle ne me proposa même pas de me payer pour ce service mais j'acceptais volontiers !

 

Entrer ainsi dans l'intimité de Nadia était pour moi un bonheur intense et je m'appliquais à ne pas la décevoir en tenant d'une main de maître la propreté de la maison de ma voisine. J'adorais par-dessus tout nettoyer ses affaires et particulièrement ses dessous ! J'ai aussi trouvé dans une armoire quelques books de photos où elle posait pour de la lingerie. Je me suis astiqué plusieurs fois en les matant !

Ce manège a duré quelques mois et au fil du temps, je sentais que Nadia s'habituait à ma présence et qu'elle appréciait les services que je lui fournissais. Désormais, en plus du ménage, je lui faisais la cuisine, le repassage etc… J'étais devenu complètement soumis à ses moindres désirs ! Notre relation pourtant n'évoluait pas vers plus d'intimité, elle gardait cette barrière entre nous qui me montrait bien que je devais rester à ma place. Elle me parlait souvent sèchement et me regardait toujours de façon hautaine !

 

L'été venant, elle s'habillait de façon de plus en plus légère et je ne pouvais m'empêcher de la regarder en coin. A plusieurs reprises, elle s'en aperçut et j'en fus extrêmement gêné. Pourtant, elle ne faisait rien pour se cacher ; bien au contraire, il lui arrivait souvent de façon impudique de m'en montrer plus que la morale le voudrait !

Lorsque ses différents amants de passage venaient chez elle, je restais chez moi à me morfondre de jalousie. Mais que faire ? Lui avouer mon amour aurait été catastrophique et m'aurait sûrement coupé d'elle !

La situation changea un beau jour de Juillet, alors qu'assise dans une chaise longue à prendre le soleil, je la matais du coin de l'œil.

- Et bien Karim, que regardes-tu là ?
Surpris par sa remarque, je balbutiais :
- Heu… Ri… Rien…
- Comment ça rien ? Je vois bien que tu me regardes avec insistance !
- Excusez-moi Nadia.

 

Puis, alors que je m'attendais à ce qu'elle me dise quelque chose, elle garda le silence et continua à bronzer comme si de rien n'était ! Le lendemain soir, un homme vient passer la soirée avec elle, il était vingt-trois heures quand elle me téléphona :

- Allo Karim ?
- Oui ?
- C'est Nadia, pourriez-vous me rendre un service ?
- Oui ?
 Pourriez-vous aller au distributeur de préservatifs du coin pour m'en ramener ?
 Ou…Oui, oui !

Je m'empressais d'accéder à sa demande tout en étant extrêmement troublé par celle-ci.
Muni de la boite de capote, je sonnais chez elle.
L'homme m'ouvrit, nu, il était hyper baraqué, au moins vingt centimètre de plus que moi et disposait d'un zob qui me parut surdimensionné ! Il se saisit de la boite et me referma la porte au nez en balbutiant un merci du bout des lèvres.

La journée suivante, je retrouvais les capotes remplies de sperme alors que je nettoyais sa chambre. Nadia, en rentrant, me remercia pour le service de la veille.

- Merci beaucoup Karim, grâce à toi, j'ai passé une soirée merveilleuse !
- De rien…
Comme j'étais jaloux de l'homme, mon ton fut sûrement renfrogné, ce qui n'échappa pas à Nadia :
- Que t’arrive-t-il Karim ? Cela vous a choqué que je vous demande ce service ?
- Je…Non…Non…Enfin…
- Ne me dites pas que vous êtes jaloux ?
Je manquais défaillir…Et elle rajouta :
- Oh, mais je sais bien que vous me désirez ! Oui, c'est cela, vous êtes jaloux de mon amant ! Bon écoute, ne te berce pas d'illusion, je n'ai aucune attirance pour toi mais pour te remercier des nombreux services que tu me rends, je veux bien te récompenser !

Et elle tomba sa mince robe d'été, seul vêtement qu'elle portait.
Je devais sembler complètement idiot face à elle, les bras ballants, la bouche ouverte, tremblant de tous mes membres…
- Et bien Karim, qu'attends-tu pour faire pareil que moi ?

Timidement, je tombais à mon tour mes habits, peu fier de ce que je lui présentais. Et ce que je craignais se produisit, elle éclata de rire !
- Oh, oh, mais mon pauvre, c'est complètement ridicule ce que tu me montres là ! Je n'ai jamais vu un zob d'homme aussi petit ! C’est un zizi de bébé que tu as là !
J'étais pétrifié mais la vue de son corps me faisait quand même bander !
- Et bien, si c'est sa taille maximale, je crois que ma récompense va s'arrêter à ce que tu te branles toi-même !

J'étais humilié mais excité, une étrange sensation qui, finalement, était loin de me déplaire. Elle me demanda de la lécher, ce que je fis avec application.

- Pff !!! Même ça, tu ne sais pas t'y prendre, me dit-elle. Allez, finis-toi et qu'on n'en parle plus, tu finis par me frustrer !
Je tentais de m'excuser :
- Je suis désolé, je ne demande qu'à apprendre…

- Mouais, ce n'est pas gagné ! Bon écoute, pour aujourd'hui, tu vas te branler pour te calmer, mais demain, tu iras en ville m'acheter un gode de bonne taille dans un sex-shop. Avec ces chaleurs, j'ai des envies que tu ne peux satisfaire avec ta nouille et mes amants sont soit en vacances, soit trop pris par le boulot dans la journée pour venir me sauter. Le seul homme que j'ai sous la main, si je peux appeler ça un homme, c'est toi ! Donc, autant que tu te perfectionnes et apprennes à me donner du plaisir avec ta bouche !

 

C'est ainsi que je rentrais à son service aussi pour les choses du sexe mais notre relation, bien qu'ayant évolué, resta toujours la même : elle commandait et j'obéissais. Elle prenait un malin plaisir à me ridiculiser et à me soumettre et, finalement, j'adorais cela ! Je pense qu'elle assouvissait avec moi un côté de sa personnalité qu'elle avait bien ancré en elle, c'est-à-dire, une personnalité de dominatrice.

 

Quand je m'y prenais mal, il arrivait qu'elle me corrige en me giflant ! Plusieurs fois, elle me donna la fessée. Le seul plaisir qu'elle m'accordait était que je pouvais me masturber en sa présence. Sinon, pas de fellation et de caresses de sa part ; quant à lui faire l'amour, je n'y pensais même pas ! Elle m’appelait désormais « petite chienne » car elle trouvait que je la léchais de mieux en mieux !

J'eus droit (quand elle considéra que j'étais bien docile et soumis à sa personne) à être présent quand elle reçut un de ses amants. Je dus les servir et obéir au moindre de leur désir ! Ainsi, je lubrifiai le trou du cul de Nadia avant que Chérif, son amant, la sodomise !

Chérif avait lui aussi des tendances de dominateur et ne se privait pas de me donner des ordres et de me ridiculiser. Nadia l'encourageait en lui disant que j'aimais être traité de la sorte, ce qui n'est pas faux d'ailleurs !

Chérif devint l'amant principal de Nadia et il ne tarda pas à proposer de me rentrer par derrière. J'étais vierge à l'époque et cette idée me fit frémir mais sous les ordres de Nadia, j'acceptai et y trouvai même un plaisir immense ! Nadia acheta donc un gode ceinture pour me prodiguer à son tour cet acte. Par la suite, je devins, à ses dires, une vraie petite lopette, me faisant enculer à chaque fois que Chérif venait à la maison !

 

C'est à cette époque-là que Nadia me proposa de venir habiter chez elle ! J'acceptais avec joie, les larmes aux yeux ! Chérif et Nadia ont alors eu l'idée de me féminiser. Partant de l'idée que je n'avais aucune utilité en tant que mâle et vu que j'avais plutôt un comportement de femme, ma transformation fut spectaculaire, c'est vrai qu'une fois habillé et maquillé, je ressemblais vraiment à une fille ! Cela nous plut à tous les trois et, peu à peu, je pris l'habitude de me vêtir et me comporter comme une nana !

 

Désirant me faire évoluer dans ma féminité, Nadia me fit prendre des hormones. Résultat, je perdis le peu de pilosité que j'avais et une petite poitrine poussa !

Nadia cassa avec Chérif et j'en fus désolé car il savait bien me troncher le derrière ! Elle eut de nombreux amants mais je n'eus droit de participer à aucun de ses ébats. Une année passa et mon physique continua à changer : j'étais devenu complètement femme ! Rien dans mon physique ne pouvait donner l'impression que j'avais une verge entre les jambes ! Même ma voix avait changé ! Je suis devenu une jolie femelle !

Et je le suis toujours ! Je vis toujours avec Nadia, on forme un drôle de couple tous les deux. On a des amants de passage, souvent heureux de baiser deux personnages aussi étranges que nous : elle, la dominatrice hautaine et moi, le travesti soumis !

 

Je suis toujours aussi amoureux (euse) de Nadia et je pense que, de son côté, depuis que je suis devenue (d'apparence) une jolie fille, ses sentiments envers moi ont évolué vers de l'amour.

 

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Vendredi 1 juillet 5 01 /07 /Juil 01:20

 

Avoir une petite bite prédestine effectivement les sous-mâles à être cocus.

La nature ou la génétique a doté les hommes comme moi de sexes bien trop petits pour combler une femme. Ma première copine, lassée par ma toute petite queue (7 ou 9 cm en érection) m'a souvent trahi, puis a fini par me plaquer, non sans m'avoir auparavant bien convaincu de mon infériorité.

 

C'est donc conscient de cela que j'ai connu ma compagne actuelle. Elle s’appelle Nadia, mignonne, vierge et très innocente, elle n'avait auparavant aucune idée de la taille normale d'un sexe. J'aurais pu ne rien dire, mais ma première copine m'avait bien conditionné. J'ai donc très rapidement avoué à ma femme Nadia que le peu de sensations qu'elle éprouvait lors de mes saillies était dû à la petitesse de mon sexe.

Très amoureuse de moi, elle prit cela avec amusement, disant ne pas y accorder d'importance. Elle disait regretter de ne pas me sentir en elle et trouvait mes prestations bien trop brèves (je suis éjaculateur précoce !), mais se contentait de jouir sous ma langue ou avec mes doigts.

 

Un soir cependant, alors que j'étais déjà au lit, elle arriva munie d'un mètre de couturière et voulut mesurer mon zizi au repos et en érection. Je ressentis une humiliation et une honte intenses qui m'excitèrent prodigieusement ! Je pus voir sa mine dépitée lors des mesures (4x2 au repos, 9x3 en érection). Elle avait longuement discuté avec son amie Djamila ce jour-là et celle-ci lui avait dit le plus grand bien des sexes de grande taille. Ma compagne, ignorant mes dimensions, avait donc voulu vérifier si ma bite était si petite que cela. Le moins qu'on puisse dire, est qu'elle fut fixée. Je fus tellement excité que je me ruais sur elle et éjaculais en la pénétrant.

 

Par la suite, elle refusa de plus en plus souvent de faire l'amour avec moi, les rares saillies se terminant à chaque fois en quelques secondes. Puis vint la période où je n'eus plus le plaisir de la prendre. Pour cela, elle utilisa une technique imparable qu'elle utilise toujours. Je dois la lécher jusqu'à l'orgasme puis, ensuite, elle me dit que je pourrai venir en elle si je suis capable de retenir ma semence un certain temps alors qu'elle me masturbe.

Au début, je devais me retenir 30 secondes, elle arrivait sans peine à me faire gicler avant le délai fatidique en se moquant de mon petit sexe ! A ma demande, elle a accepté de diminuer le délai. Ce furent 20 secondes, puis 10 et actuellement 5 secondes. Elle est devenue experte en masturbation et me conditionne tellement bien qu'il n'est pas rare que j'éjacule au moment où elle saisit mon sexe pour le branler. Cela fait maintenant plus de 2 ans que je ne l'ai pas pénétrée !

 

Nous sommes toujours très amoureux l'un de l'autre, elle n'envisage aucunement de me quitter, cependant elle désirait avoir du plaisir autrement qu'avec ma langue ou mes doigts. Cela a été long à venir, mais elle a fini par me cocufier. Je l'ai longtemps poussée à essayer un vrai mâle, j'acceptais qu'elle me trompe, mais j'y mettais une condition : elle devait me tenir au courant !

Il y a 1 an environ, elle m'a avoué avoir franchi le pas. Ce jour-là, j'étais fou d'excitation, je lui ai demandé de me raconter en détails. J'ai léché longuement sa chatte qu'avait exploré le zob d'un autre homme alors qu'elle me décrivait mon premier cocufiage.

Abdel, un collègue de travail a eu l'insigne honneur de faire découvrir à ma compagne les joies d'une bonne pénétration. Aux dires de ma compagne, le sexe de son amant n'est pas extravagant, mais ses 18cm de long pour 5cm de diamètre sont amplement suffisants pour l'emmener au 7ème ciel, il est très endurant et est capable de lui fournir plusieurs orgasmes avant de se vider.

Au début, il mettait évidemment un préservatif, mais face à mon insistance et la confiance venant, ma compagne accepte maintenant qu'il se vide en elle. Un bon cocufiage nécessite l'éjaculation dans la chatte et aux dires de ma femme, celui-ci est particulièrement copieux. Nous n'en sommes pas encore au stade où je dois, comme tout bon cocu soumis, lécher sa chatte souillée, Nadia se lave toujours avant de quitter Abdel, mais dès qu'elle arrive, je me rue sur elle pour la lécher et je suis prodigieusement excité à l'idée que le Mâle a envoyé de longues giclées de sperme au plus profond de son intimité.

Nous sommes parfaitement épanouis. Nadia a toujours autant d'amour pour moi. Elle voit Abdel 1 ou 2 fois par semaine et ses besoins sexuels sont comblés. Ils n'envisagent pas pour le moment que je puisse assister aux saillies, je me branle beaucoup, ma femme ne rechigne pas à me le faire, mais il est hors de question que je la prenne et cela comble mon désir de soumission et d'humiliation !

 

Comme elle dit en riant : « il est tout à fait normal que je n'aie plus droit aux saillies, pour bien faire, les sous-mâles comme moi ne devraient jamais avoir le droit de posséder une femme, nous devrions rester puceaux, notre petit engin ne servant qu'à uriner ! ».

 

Par lailatvx.erog.fr
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