Non catégorisé

Lundi 15 août 1 15 /08 /Août 12:39

Ma femme Nadia et moi avions loué un Riad à Marrakech pour y passer 2 semaines de vacances.
Le Riad était magnifique, il comportait un grand patio avec un toit transparent et qui pouvait s'ouvrir. La salle à manger, la cuisine s'ouvrait sur ce patio dont les quatre coins étaient occupés par des banquettes et de petites tables. Au rez-de-chaussée, il y avait l'appartement qu'occupaient Houria et Larbi, nos serviteurs. Au premier étage se trouvaient deux suites, l'une pour ma femme et moi et l'autre pour sa famille ainsi que le hammam.

Ma femme s'occupa tant bien que mal les 2 premiers jours. Elle partagea son temps entre les visites de Marrakech avec ses parents, les séances de bronzage sur la terrasse en compagnie de sa mère et de sa tante. Elle se masturbait tous les soirs dans sa chambre comme elle le faisait chez elle, chez nous.
Le 3ème jour, je proposai à tout le monde de faire une excursion en 4X4 dans le désert. Tout le monde accepta avec joie, sauf ma femme Nadia peu enchantée de passer 1 ou 2 jours en plein Sahara avec ses parents.
Nadia insista pour rester au Riad et ses parents cédèrent à sa demande. La présence du serviteur Larbi les rassurait. Tout le monde partit en début d'après-midi.

Ma femme s'offrit une séance de bronzage intégral sur la terrasse pendant que Larbi vaquait à ses occupations. Ils dînèrent ensuite tout les deux avant de rejoindre, lui son appartement, et elle sa chambre ou elle se livra, comme chaque jour à sa séance de plaisir solitaire.

Le lendemain matin, Nadia descendit de sa chambre en chemise de nuit. En fait de chemise de nuit, elle avait utilisé une chemise en coton de son père qui s'était révélée trop petite pour lui après le premier lavage. La chemise avait un pan à l'arrière qui descendait à peu près à mi-cuisses et l'avant lui couvrait à peine le pubis. Elle portait juste une petite culotte en dessous. Arrivée en bas de l'escalier, elle trouva Larbi qui faisait un peu de rangement dans le patio.
Quand il entendit le claquement de ses mules à semelles de bois sur le carrelage, Larbi se retourna et, après un instant de surprise devant la tenue de mon épouse, son regard s'assombrit.
- Bonjour, Larbi. Comment ça va ce matin ?
- Bonjour Nadia. As-tu bien dormi ?
- Oui, merci. Mon petit dej' est prêt ?
- Oui, mais…
- Mais ?
- Madame, tu ne devrais pas te promener comme ça. Si ton mari ou ta famille te voyaient, ils seraient très fâchés. Et puis, et puis… Et puis, nous sommes seuls et je… Je ne suis qu'un homme.
C'est à cet instant précis que ma femme commença sa longue carrière de petite salope. Elle accueillit d'un sourire carnassier les remontrances de Larbi. Sans plus y prêter d'attention, elle s'étira comme un chat, tendant ses deux bras vers le plafond, ce qui eut pour effet de dévoiler sa petite culotte aux yeux exorbités de Larbi. Puis elle avança vers lui, en roulant des hanches. Arrivée devant lui, elle le poussa doucement en arrière jusqu'à ce qu'il soit forcé de s'asseoir sur la banquette derrière lui. Elle se trouvait en position dominante et Larbi ne pouvait détacher son regard de cette petite culotte rouge comme l'enfer.
- D'abord, Larbi, mon mari est ton patron. Et quand il n'est pas là, ni ma mère, c'est à moi que tu dois obéir. D'accord ?
- Mais…
- Il n'y a pas de « mais ». Ensuite tu dis que tu n'es qu'un homme, et bien j'espère bien car je compte en profiter.
En se baissant, elle posa sa main sur la bosse que faisait le pantalon de Larbi et ajouta :
- Je crois qu'il y là quelque chose qui pourra me satisfaire.
- Madame Nadia, ce n'est pas bien. Si ton mari savait ça… protesta Larbi.
- Pourquoi veux-tu que mon mari soit au courant. De toute façon, je lui dirai que tu m'as forcée alors…
La menace était claire et Larbi se sentit pris au piège de cette gazelle. Il ne savait pas comment se sortir de cette situation. Il n'avait pas l'habitude des femmes mariées et élégantes qui l'avaient toujours impressionné. Il tenta une dernière protestation :
- Mais, madame Nadia, que se passera t'il quand tout le monde sera revenu ?
- Rien, absolument rien. A ce moment là, tu devras te contenter de ta femme Houria.
L'évocation de son épouse, fit faire la comparaison à Larbi entre sa femme et Nadia. Houria avait beaucoup grossi ces dernières années. Elle mangeait trop de pâtisseries traditionnelles, grasses et sucrées dont elle raffolait. Cette jeune fille qui s'offrait à lui en totale impudeur était sans conteste beaucoup plus séduisante et il avait envie de la baiser. Il envoya sa main sur la cuisse lisse et ferme, et la caressa doucement avant de remonter vers la petite culotte rouge. Il bandait énormément et son pantalon grossissait à vue d'œil. Mon épouse se laissa peloter un peu avant de retirer la main qui lui caressait les hanches et de s'éloigner.
- Doucement, Larbi, je n'ai pas envie maintenant. Sers moi mon petit déjeuner.
Larbi s'exécuta frustré, se retenant de jeter Nadia sur une banquette, de lui arracher sa chemise et sa culotte et de la baiser comme elle se méritait.

Son petit déjeuner avalé, mon épouse remonta dans sa chambre et y passa le reste de la matinée. Elle déjeuna vers midi. En début d'après-midi, elle sortit en demandant à Larbi de préparer le hammam pour dix-huit heures et sortit pour se rendre à la piscine.
Nadia rentra vers dix-huit heures. Larbi l'attendait au premier étage et lui dit que le hammam était prêt. Elle entra dans la salle de massage et se déshabilla sous les yeux de Larbi. Elle pénétra dans la salle chaude et appela Larbi. Elle lui demanda de la laver. Elle se laissa enduire de savon noir, frictionner au gant de crin et rincer avec l'eau tiède. Toutes ces ablutions avaient rendu Larbi fou de désir, toucher ce corps juvénile, le frictionner au savon à mains nues, l'excitait terriblement. Il bandait comme un âne et ne pouvait dissimuler la bosse que présentait son pantalon, il n'y pensait même pas d'ailleurs. Nadia savourait cet instant, elle se rendait compte du pouvoir qu'elle avait sur cet homme et en tirait elle aussi une forte excitation.

Une fois lavée, frictionnée, ma femme alla s'étendre sur la table de massage et demanda à Larbi de la masser. Il pétrissait la chair ferme de la jeune fille avec ses mains enduites d'huile parfumée, avec ses pouces il massait l'intérieur des cuisses que Nadia avait largement ouvertes, remontant jusqu'au pli de l'aine, frôlant le pubis soigneusement épilé. Il avait devant les yeux, ce bel abricot qui gonflait de désir, sa queue tendue, gonflée lui faisait mal. Au bout de quelques minutes, ivre de désir, il posa ses lèvres sur le joli fruit mûr qui ne demandait qu'à être cueilli. Nadia gémit de bonheur de sentir, pour la première fois de sa vie, une bouche avide fouiller sa fente, elle gloussa quand la langue de Larbi s'introduisit dans son antre mouillé, elle poussa un petit cri quand cette même langue titilla son clitoris qui n'avait jusqu'alors connu d'autre contact que celui de ses propres doigts et rarement ceux de son mari (moi). La caresse était douce et elle gémissait de bonheur en ondulant doucement sous les coups de langue de Larbi. Elle eut un orgasme et laissa parler son corps qui se déhanchait pour rechercher encore plus fort cette langue qui la ravissait.

Après avoir repris ses esprits, ma femme constata que Larbi se tenait toujours debout au pied de la table. Il n'avait pas osé aller plus loin même si sa queue ne rêvait que de perforer cette jouvencelle.

Nadia fit allonger Larbi sur la table. Elle le déshabilla. Larbi avait le corps recouvert d'une importante pilosité et elle joua à faire courir ses doigts dans la toison de sa poitrine. Puis elle fit glisser son pantalon de toile légère. Elle tata la bosse de son slip avant d'y glisser sa menotte. Larbi gémit de plaisir de sentir son zob emprisonné dans la main de sa jeune patronne. Nadia le branla légèrement, elle sentait ce membre gonfler encore dans sa main. Elle fit glisser le slip et elle prit la queue entre deux doigts délicatement. Le gland à nu était gonflé, rose foncé, violacé. Elle regarda ce qu'elle tenait entre ses doigts comme on examine un fruit inconnu, avant de le déguster. Elle posa ses lèvres sur le gland, le goûta de la pointe de sa langue, le lécha tout entier avant de le mettre dans sa bouche. Elle commença à pomper consciencieusement son amant, comme elle l'avait vu faire dans les vidéos pornos dont elle agrémentait ses séances de plaisir solitaire. Elle l'avala profondément, elle s'était entraînée à cela avec son vibromasseur. Larbi n'en pouvait plus. Jamais sa femme Houria ne l'avait sucé et seules les putains qu'il avait autrefois fréquentées suçaient de cette façon. Il tenta de prévenir Nadia que sa résistance atteignait ses limites, il essaya d'éloigner la bouche de la jeune femme de son chibre qui aller exploser, mais mon épouse résista et continua sa fellation. Larbi se vida dans la bouche qui le torturait, en de longs jets de sperme, puissants qui atteignirent le fond de la gorge de Nadia. Passés les trois ou quatre premières salves, il ne restait plus qu'un écoulement plus faible, qu'elle reçut sur sa langue.

Nadia aima la puissance de ces jets, évocateurs de la puissance du plaisir masculin. Elle aima aussi la saveur salée, grasse de la semence et avala tout. Elle continua de pomper et de branler Larbi jusqu'à ce que la source se tarisse et que la verge qu'elle tenait à pleine main perde peu à peu de sa consistance.

Larbi était exténué de cet orgasme violent, libérateur qu'il contenait depuis le matin. Il était aussi effaré de la perversité de cette jeune femme. A cet instant, il ne pensait qu'à une chose, reprendre de la vigueur et la baiser comme une chienne.

Mais mon épouse ne lui en laissa pas le temps. Elle quitta le hammam, toujours nue et sans un regard pour Larbi et sans se retourner, elle lui dit de préparer le dîner pour vingt heures.

Vers vingt heures, Nadia entra dans le patio. Elle s'était couverte d'un petit haut très moulant avec un large décolleté et d'une jupe en jean qui lui arrivait à mi-cuisse et portait des chaussures à talons. Maquillée et parfumée, elle était l'incarnation du vice avec ses seins nus qui pointaient sous la fine étoffe de coton de son haut. Elle n'avait pas mis de culotte et elle sentait la fraîcheur de l'air sur sa chatte déjà humide.

Larbi lui servit une pastilla au poulet avec quelques figues. Elle dévora tout cela assise sur un des canapés du patio en guettant Lari du coin de l'œil. Le serviteur jetait fréquemment des coups d'œil en direction de sa jeune maîtresse. Celle-ci n'avait pas prit soin de tirer sur sa courte jupe qui avait remonté jusqu'en haut de ses cuisses quand elle s'était assise. Et chacun de ses mouvements dévoilait un peu plus sa chatte exempte de toute pilosité. Son repas terminé, Nadia demanda à Larbi de lui apporter un thé à la menthe dans sa chambre. Et elle remonta l'escalier en direction de sa chambre.

Larbi prépara fébrilement le thé dans la cuisine. Il manqua de faire tomber la théière tant il était nerveux. Il bandait rien que de penser qu'il allait se retrouver seul avec ma femme dans sa chambre. Si cette gazelle lui avait dit de monter, ce n'était pas pour rien… Il avait joui dans sa bouche et il ne désirait qu'une chose en faisant infuser les feuilles de menthe – la baiser et jouir dans ce corps juvénile qui le rendait fou de désir.

Il monta les marches de l'escalier avec précaution, il n'était pas question de renverser le plateau avec le thé et les pâtisseries.

Il frappa à la porte et entra sans attendre que Nadia lui réponde. Il la trouva allongée sur son lit, à plat ventre en train de lire une revue. Il pouvait voir parfaitement son petit cul sous sa jupe remontée et son abricot entre ses cuisses légèrement écartées. Larbi posa le plateau sur une table basse et servit un verre de thé qu'il tendit à Nadia. Celle-ci se retourna et s'assit en tailleur pour boire doucement le liquide brûlant. Larbi s'était assis à coté d'elle et avait osé poser sa main sur sa cuisse. Elle ne protesta pas et continua de boire son thé comme si de rien n'était. Larbi s'enhardissait à faire glisser sa main de plus en plus haut en direction de la chatte offerte. Quand elle eut fini son thé, elle se retourna pour poser le verre vide sur la table de nuit et elle posa ensuite ses mains sur les épaules du domestique. Nadia posa ses lèvres sur les siennes et l'embrassa en glissant ses mains sous sa chemise à même la peau. Larbi rendit son baiser mais n'osait pas bouger. Ma femme lui susurra à l'oreille :
- Tu as envie de me baiser, vieux salaud ?
- Oui, madame Nadia, je veux te baiser. Tu es très belle.
Nadia le força à s'allonger sur son lit, défit les boutons de la chemise qui s'ouvrit sur la poitrine velue du serviteur. Elle joua avec cette toison en y glissant ses doigts, caressa les mamelons de sa poitrine, et laissa s'égarer ses mains sur le ventre, et encore plus bas.
Pendant ce temps, Larbi avait fait glisser le petit haut par-dessus la tête de Nadia et après lui avoir peloté les seins, il la branlait maintenant de deux doigts dans sa chatte. Elle appréciait cette caresse brutale, les gros doigts du mâle la remplissaient, s'agitaient dans son con trempé de mouille. Elle jouit rapidement, en embrassant son amant.
Larbi quitta son pantalon et se jeta sur ma femme sans même lui laisser le temps de reprendre son souffle. Il la pénétra d'un seul coup de reins et se mit à la limer violemment. Nadia était aux anges, son orgasme précédent n'était pas encore totalement retombé que déjà, elle sentait dans son ventre l'annonce d'une deuxième explosion. La grosse queue qui la perforait n'avait rien à voir avec son vibromasseur ni celle de son mari. Aussi grosse mais plus souple, plus tendre et surtout elle n'en avait pas la froideur mécanique. Elle se sentait maintenant totalement dépucelée. Elle jouit une deuxième fois en serrant la taille de Larbi avec ses jambes repliées et remontées sur ses reins. Elle l'éperonnait de ses talons pour le faire rentrer en elle encore plus profondément.
Elle eut un troisième orgasme au moment ou Larbi explosa en elle. L'accélération de ses coups de reins, le gonflement spasmodique de sa queue et les jets de sperme qu'elle reçut au fond de son con, toutes ces délicieuses sensations, nouvelles pour elle, lui provoquèrent une troisième explosion de plaisir.

Les deux amants s'endormirent ensuite épuisés l'un et l'autre.

Durant les jours qui suivirent, mon épouse subit les assauts de Larbi plusieurs fois par jour. Elle le provoquait en se promenant nue devant lui, en prenant des poses indécentes qui le mettait en feu. Elle savourait l'emprise qu'elle avait sur lui. A chaque fois, elle criait de plaisir de se sentit pénétrée, écartelée, remplie par son zob. Ils copulaient partout, là ou le désir les reprenait. Au milieu du patio, sur le carrelage frais, sur la terrasse sous le soleil brûlant, dans l'atmosphère moite du hammam et bien sûr dans le lit conjugal.


 

Par lailatvx.erog.fr - Communauté : Maris cocus
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 15 août 1 15 /08 /Août 12:37

Cela faisait bien 5 ans que je ne suis pas revenu à Casablanca (Maroc) et l’idée de revoir les amis, les endroits fréquentés à l’époque, me remplit de joie.

Ali, un de mes bons copains, m’a gentiment invité chez lui, en me laissant la clé sous le paillasson, car il ne rentre que le lendemain.
J’ai posé mes affaires et suis sorti manger un bout dans l’un des nombreux restaurants de la ville.

Il est prévu qu’au retour de Ali, nous ferons la tournée des copains, histoire de revoir un peu tout le monde, et retrouver l’ambiance de ces années insouciantes, ou la bande de copains s’amusait sans trop se préoccuper du lendemain.

Une fois rentré, n’ayant pas sommeil et devant l’impressionnante collection de vidéo présente dans le salon, je décide de visionner un bon film.

Je parcours rapidement les titres, ne sachant que choisir.
Alors que je désespère de trouver la perle rare, une cassette attire mon attention.
Tout en bas des étagères, elle porte seulement la mention : Nadia xxx.
Cela m’intrigue, car c’est aussi le prénom de mon épouse.
J’hésite à m’immiscer dans sa vie privée en son absence, mais la curiosité l’emporte et j’insère la cassette dans le lecteur.

L’image est de qualité très moyenne, un peu rouge, signe de vieillesse sans doute.
On découvre une piscine gonflable sur une grande pelouse, prés d’une maison, où trois jeunes enfants barbotent gaiement.
La scène me parait familière.
La camera balaye doucement la pelouse et s’arrête sur la silhouette d’une jolie brune qui étend du linge.
Il y a un effet de zoom et le personnage se rapproche, toute souriante.
Je reconnais immédiatement ma femme, Nadia !
Le prénom sur la cassette est donc bien le sien.
Je ne me rappelle pas avoir vu ce film.
A l’époque elle gardait les enfants de nos voisins de temps en temps, et c’est bien eux qui jouent dans la piscine, en riant aux éclats.
Je souris en regardant la scène qui me rappelle de bons souvenirs de cette période à la campagne.

- Oh Ali, ne me filme pas comme ça, je ne suis pas photogénique !
- Mais si, au contraire, tu passes très bien, je t’assure! Sois juste naturelle, oublie la caméra!

Il balaye à nouveau la cour et je reconnais la maison dans laquelle nous avons vécu quelques années.
Puis il revint sur Nadia, qui finit d’étendre la lessive, dans la douceur du soleil couchant.
Ali tourne autour d’elle, la filmant sur toutes les coutures.
Tout cela remonte à 5 ans, au moins, et je revoie avec nostalgie la jolie brune, enthousiaste et dynamique qu’elle était.
Un visage rond encadré par une chevelure un peu trop sage, de taille moyenne, elle est bien en chair, comme on dit, avec de très jolies formes qui attirent souvent les regards.
Elle porte un paréo bleu, simplement noué sous les aisselles, sur un short blanc.
L’image s’est arrêtée, et pendant quelques secondes Ali fait un plan en contre-jour de mon épouse.
A travers le paréo, l’absence de soutien-gorge laisse deviner les courbes alléchantes de son anatomie,
Mon copain est en train de se rincer l’œil, zoomant allègrement sur les deux généreux mamelons qui tendent le tissu.
Quel culot, pensai-je, et Nadia semble n’avoir rien remarqué de son manège.

- Tu vas me filmer toute la soirée ? Lui demande Nadia, avec un grand sourire.
- Non, mais tu ne voudrais pas qu’on fasse quelques prises un peu coquines?
- Comment ça, coquines ? Interroge-t-elle
- Un peu olé, olé quoi, cela te fera un souvenir !
- C’est à dire ?
- Je ne sais pas, en jouant avec le paréo, que tu ouvrirais un peu, comme ça, tu vois !

En parlant il doit mimer le mouvement, car la caméra qui filme toujours se met à faire de grands mouvements dans tous les sens, puis revient se caler sur ma femme.
Je sens mon épouse hésiter, et m’étonne qu’elle n’ait pas déjà répondu par un non catégorique.
Totalement incrédule je la vois défaire la boucle qui maintient son paréo noué sur l’épaule.

- Je me demande si je ne vais pas le regretter !
- Voilà, c’est bien, dit Ali, tourne sur toi, danse!

Tenant dans chaque main une pointe de son vêtement, elle ouvre les bras, les agitant de bas en haut, le regard fixé sur la caméra.

- Voilà, ça te va ?
- Super, tu es parfaite…. Continue comme ça !

Je ne peux m’empêcher d’admirer la magnifique paire de seins qu’elle vient de dévoiler, ronds, gonflés, avec de larges auréoles brunes, et je sens naître en moi une excitation grandissante.
Ce salaud de Ali n’en perd pas une miette, filmant la danse un peu irréaliste à laquelle ma femme se livre, abusant des gros plans sur les mamelons bronzés et les tétons qui se raidissent.

- vas-y, cambre-toi, voilà, c’est bien !

Nadia multiplie les poses de plus en plus suggestives, reins creusés, poitrine tendue vers l’avant, souriant à la caméra.
Elle me parait à l’aise dans son numéro de danseuse nue, un zeste de provocation dans le regard
C’est très troublant, moi qui l’ai connue plutôt réservée, de la découvrir en train de s’exhiber ainsi, se livrant au regard de notre ami.
Je me demande combien de nos copains, d’inconnus, ont regardé cette cassette?
La question m’excite presque.

Tout cela ne semble pas perturber les enfants des voisins que j’entends toujours rire en fond sonore.
Je découvre une facette inconnue de la personne que je côtoie depuis plus de10 ans, car elle a toujours manifesté des réserves à se faire prendre en photo ou filmer.

- Tu ne voudrais pas baisser un peu ton short ?
- Dis donc, tu n’exagères pas un peu ?
- Allez sois sympa, juste un peu ! Ce sera plus sexy ! Insiste-t-il
- C’est ça, c’est ça!….comme ça ?
Abasourdi, je la vois rouler lentement son petit short blanc sur ses fesses, s’arrêtant à la limite de sa toison pubienne.
Ali la filme de haut en bas, tournant autour d’elle, s’attarde sur le sillon qui sépare les fesses rebondies, zoome sur son pubis encore masqué par le short.
Il doit sacrément bander le salaud, pensai-je, agacé et jaloux.

- cela te plait ? Lui demande –t-elle
- C’est très bien, bravo !

Et devant mes yeux incrédules l’incroyable se produit.

Avec une extrême lenteur, tournant le dos à la caméra, Nadia fait glisser son short sur ses cuisses, jusqu’à ses pieds, dévoilant une magnifique paire de fesses, rondes et bien charnues.
Malgré la rage qui m’envahit, je sens mon sexe se durcir terriblement.
Ses formes rondes, riches de voluptueuses promesses, envahissent l’écran, et je n’arrive pas à détacher mon regard de son cul superbe sur lequel Ali zoome comme un fou.
Elle était quand même sacrément bien foutue à l’époque, et je réalise que bon nombre de nos copains ont du fantasmer sur elle sans que je m’en rende compte.
S’étant débarrassé de son short, ma femme, dans le plus simple appareil, se dirige vers un bosquet au fond du jardin, éloigné des enfants.
A l’abri du feuillage elle se retourne, offrant à la caméra une vue imprenable de son sexe recouvert d’une jolie toison noire, soigneusement taillée.
Elle se caresse délicatement d’une main, tandis que de l’autre elle a empoigné un de ses seins, le pressant pour en faire gonfler la pointe.
La bouche desséchée, une excitation folle me gagne.
Jamais je ne l’ai vue se comporter ainsi, même dans l’intimité.
Fébrilement, je libère mon sexe et me masturbe en contemplant les gros plans de son appétissante vulve, que ses doigts explorent délicieusement.
Nadia s’est assise sur un petit muret de pierre, juste derrière elle, les cuisses largement écartées.
Ses doigts glissent sur son sexe, s’insinuant entre les lèvres brunes, les tirent vers le haut, nous révélant son petit bouton nacré, luisant d’humidité.
Je me branle vigoureusement, ivre de désir pour ma femme qui se masturbe impudiquement devant notre copain.
J’imagine que ce salaud doit avoir une trique du tonnerre.

- Et là, qu’est-ce que tu en dis ?
- Waouh… ! Nadia… ! C’est… top ! Bredouille-t-il enfin, zoomant toujours sur le clitoris gorgé de désir qu’elle caresse du bout des doigts.

- Tu me feras voir le film, hein? Demande-t-elle
- Promis ! Répond-il
- Bon, la séance est finie, dit-elle en se relevant. Je compte sur toi pour que cela reste entre nous !
- Pas de problème !

L’image se brouille, laissant la place à un écran noir et je stoppe la lecture, encore sous le coup de l’émotion, où la surprise, le désir, l’indignation se mêlent étrangement.
J’en veux à mon copain de s’être rincé l’oeil, à ma femme de s’être livrée ainsi à sa caméra, et en même temps j’en éprouve une certaine fierté, car elle est vraiment bandante.

Curieux de savoir ce qu’il y a encore sur la cassette, je reprends la lecture.
Pendant quelques secondes l’écran n’offre que de la neige, puis une image apparaît, de meilleure qualité, avec une date insérée: 20 septembre 2005.
Tout cela remonte à plus de 4 ans.
Tout est calme, quand la voix de Ali, un peu déformée par le micro de la caméra mais reconnaissable quand même vient rompre le silence:
- Ou es-tu ? Questionne-il en balayant la rive de sa camera.
- Ici, vers les rochers ! Répondit une voix que je connais bien, celle de ma femme.
La camera pivote lentement vers la gauche, s’arrêtant sur la silhouette qui se découpe sur le fond rosé du lac.

- Qu’est ce que tu fais ?
- Je regarde le coucher de soleil !

Ma femme est assise sur un gros rocher, au bord de l’eau, les jambes tendues, en appui sur les bras, contemplant l’horizon qui vire à l’orange, presque rouge.

- Et les enfants ? Questionna-t-elle
- ils jouent à la PlayStation, répondit Ali, ils sont calmes. Je les ai filmés, ils sont très contents de leur journée.
- C’est vrai, ça été une belle journée. Un peu fatigante pour nous, mais bon, c’était bien.

Je me rappelle ce jour où ils sont allés passer la journée dans un lac.
Pris par le travail, je n’avais pas pu les accompagner, ni l’épouse de Ali d’ailleurs.
Les souvenirs affluent maintenant, et notamment le retard qu’ils avaient eu, prétextant la fatigue, et un arrêt pour manger et se reposer.

- C’est super beau ce crépuscule, tu sais! J’aimerai te filmer nue !
- Encore, c’est devenu une manie depuis que tu as ce caméscope!
- Allez Nadia, sois sympa ! Dit-il d’une voix implorante. Je t’assure, avec le soleil couchant, ça va être génial.

Consterné je comprends qu’il remet ça, encouragé par le résultat obtenu la fois précédente.
La réponse de ma femme ne me surprend même plus.

- Bon, d’accord! Quelle pose veux-tu ?
- Reste comme ça, à regarder l’horizon, c’est bien !

Mon épouse ôte sa robe, quitte slip et soutien-gorge, puis prend une pose un peu alanguie sur le rocher.
Aucun de ses gestes n’échappe à la caméra de Ali qui a zoomé quand elle a dégrafé son soutien-gorge, filmant en gros plan la libération d’une opulente paire de seins, ronds et gonflés, aux tétons déjà dressés.
C’est vrai qu’elle est belle, nue sur ce rocher, ses formes mises en valeur par la lumière rasante.
Il la filme ainsi quelques minutes, lui faisant prendre des poses souvent équivoques, qui mettent en valeur tous les détails de sa plantureuse anatomie.
Je me demande si elle réalise vraiment ce qui se passe, car elle obéit à toutes ses demandes.
Ce malin de Ali, sous couvert de souvenirs un peu artistiques, se fait un petit film érotique à bon compte.
Et c’était assez efficace car je me rends compte que j’ai bel et bien une érection en regardant mon épouse, nue et bronzée, se livrer à la caméra.

- Bon cela va aller pour ce soir ! Finit-il par dire, si on se baignait, l’eau me semble bonne! dit-il
- C’est vrai qu’elle bonne, répondit Nadia, en s’avançant dans l’eau calme jusqu’aux genoux.
Mon copain dépose la caméra sur un rocher plat, mais la laisse en mode enregistrement, orientée vers la portion de plage ou se trouve ma femme. Elle a maintenant de l’eau jusqu’au ventre, et semble regarder en direction de Ali que je ne vois pas. Puis je reconnus sa silhouette dans le champ de l’objectif.
Totalement nu, il avance dans l’eau en direction de Nadia, qui le regarde s’approcher, détaillant à son tour son anatomie.

- Elle est un peu froide !
- Mais non, elle est bonne, viens! Dit-elle en s’enfonçant dans l’eau
- Brrr, brrr! Bonne, c’est vite dit !
- Allez sois courageux !
Ils nagent ainsi quelques minutes, s’éloignant peu à peu de l’objectif, et seule leur tête dépasse. Ils me paraissaient très proches l’un de l’autre, mais je ne les distingue plus très bien. J’entends seulement leurs rires et leurs cris qui résonnent. Puis leurs silhouettes se rapprochent à nouveau, Ali nageant très prés derrière Nadia qui rit en criant:
- allez, lâche-moi, maintenant !
- D’accord, d’accord !
Ils sortent de l’eau, et malgré la lumière faiblissante je remarque que Ali a ses mains sur les hanches de mon épouse, et surtout, arbore une belle érection.
La vision de mon copain qui bande comme un taureau me trouble quelque peu. Cela me laisse sans voix, d’autant que la femme qui l’excite ainsi est mon épouse. Elle vient d’ailleurs de se saisir de la camera, et la tourne vers Ali:

- A mon tour de te filmer, monsieur le cinéaste ! Fais nous voir ta musculature!

Plutôt petit, un peu enveloppé, les jambes poilues, Ali n’est pas un apollon certes, mais je découvre que la nature l’a néanmoins bien doté.
Sans être très long, son pénis, épais et courbé, terminé par un gland effilé, est d’un diamètre conséquent.

- Mais c’est beau tout ça ! s’exclame Nadia, en zoomant sur le sexe érigé.

Ali prend quelques poses façon bodybuilder, tentant de faire ressortir ses muscles, avec pour seul résultat, de grands éclats de rire.

- il faudrait faire un peu de sport, tu ne crois pas, lui dit-elle en filmant le ventre rebondi par la bière. Ali s’étend sur sa serviette. Elle le filme, debout au dessus de lui, puis sur le côté, zoomant sur le membre qui se dresse fièrement entre les cuisses poilues.

- Dis donc, c’est moi qui t’excite comme ça ?
- Je crois oui ! Répondit-il

L’image du gland lisse et gonflé a envahi l’écran et je me demande ce que ressent ma femme à ce moment là, en contemplant l’organe érigé de notre ami.

- Qu’est-ce qu’il faut faire ? C’est un peu troublant cette situation, non ?
- Tu pourrais poser la camera à coté et t’occuper de moi ?
- M’occuper de toi ? Et une fois rentrés à la maison, qu’est-ce qui se passe ? Demanda-t-elle
- Rien, il ne passera rien ! Cela sera notre secret à nous !
- Tu crois ?
- Mais oui, cela ne dépend que de nous! On peut se faire un petit plaisir non ?

Quel fumier !
J’étais atterré, abasourdi par les dialogues que j’entendais, mais aussi, curieusement, comme hypnotisé par ce que je voyais. Mon copain est nu, la bite raide, et c’est ma femme qui filme.
La camera vient d’être posée au sol, je ne vois plus que le sable de la plage et une partie du pied de Ali.
Pendant quelques secondes je n’entends plus rien, puis peu à peu il me semble distinguer des gémissements:
- hummm, hummmm… oui, c’est ça…!

Je reconnais la voix de Ali, mais je ne vois que le sable blanc, et le bout de son pied immobile.
C’est insupportable.
Puis l’image se met à bouger, l’objectif semble tourner, et bientôt je découvre la scène dont j’étais privé.
Ali, discrètement, a réussi à faire pivoter la camera et à l’orienter vers eux.
Et c’est le choc de ma vie !
Ma femme est agenouillée entre ses jambes, penchée vers l’avant, occupée à une fellation en règle.
Sa bouche monte et descend le long de la tige charnue, serrant le gland entre les lèvres, tirant à Ali des râles de plaisir.

- Aahhhh, Nadia… c’est bon….! Vas-y ! Suce-moi bien!

Il lui caresse les cheveux, accompagnant le mouvement de la tête sur sa queue.

- Tu suces bien, Nadia ! C’est bon ! Continue !

Le spectacle me parait incroyable, et pourtant, c’est une réalité.
Mon épouse que j’ai toujours considérée comme un modèle de femme fidèle, un peu coincée côté sexe, est en train de sucer avec un bel entrain, la queue de notre meilleur ami.
Effaré, je n’arrive pas à détourner le regard de sa bouche qui aspire goulûment ce sexe dressé qui n’est pas le mien.

- si tu veux te faire plaisir, c’est le moment, lui dit Ali. Je suis bien dur, non ?
- Pour être dur, tu es bien dur, c’est sûr! Répondit-elle en relevant la tête

Le sexe se dresse, tel un pieu magistral, prêt à l’honorer.
Je la sens hésiter, regardant tour à tour Ali, puis son pénis.
Je pense qu’elle a oublié que la caméra tourne.
Elle semble avoir de l’intérêt pour le membre érigé qu’elle branle doucement

- Tu oublies que je suis mariée, je pense que cela ne lui plaira pas !
- Il n’en saura rien! Je suis sûr que tu en as envie, non ?
- T’es vraiment excité, toi! Je vais te calmer, dit-elle, en se penchant à nouveau sur lui.

Je la vois reprendre la verge dans sa bouche, la branlant d’une main, tandis que de l’autre elle lui malaxe les couilles.
Sa main monte et descend à un rythme soutenu tandis que les lèvres et la langue s’occupent du gland, gonflé et cramoisi.

- Oohhh….Nadia, c’est trop bon !

Il a relevé son bassin pour mieux s’enfoncer dans la bouche qui le déguste avidement.
Il a réussi à glisser une main par-dessous et s’emploie à pétrir lui les seins tour à tour, enfonçant ses doigts épais dans la chair tendre et souple.
- Oohhh… je vais venir Nadia !…ahhh…. ….Ouiiii!

Hébété je regarde la verge de mon ami disparaître presque complètement dans la bouche affamée qui l’aspire avec un délice évident.
Mon épouse a soudain comme une sorte de hoquet, et cesse ses va-et-vient, tandis que Ali se contracte sous elle,
Je comprends que ce salaud vient de lui jouir dans la gorge.
Après quelques secondes, elle se redresse, le regardant en souriant, les lèvres et le menton couverts de sperme.
Visiblement elle a avalé la plus grande partie de la semence éjaculée.
Je n’en reviens pas.
Elle a toujours refusé de boire mon sperme lors de nos ébats, et là, avec Ali, elle l’a fait spontanément.
- Alors on se sent mieux ?
- Putain, Nadia, c’était trop bon ! Tu m’as fait du bien ! Cela fait longtemps que je n’avais pas joui comme ça!
- Je veux bien le croire ! répondit-elle. Tu en as lâché une sacrée dose !

Elle se baisse et lèche à nouveau le membre trempé, suçant le gland avec gourmandise, tandis qu’il lui caresse doucement la tête.

- J’aime bien ton sexe finalement, il a bon goût !

Puis l’image se coupa, et la neige envahit à nouveau l’écran.
Bien que déstabilisé par ce que je viens de découvrir, je rembobine un peu en arrière, car malgré tout, cela m’a aussi beaucoup excité, et je me suis masturbé.
Je reviens aux images de la fellation, ou l’on distingue très nettement la bouche de Nadia serrée autour de la verge de Ali, l’aspirant goulûment, C’est absolument incroyable ! Dire que pendant ce temps j’étais à la maison, m’inquiétant de leur retard.
La vision de son gland qui disparaît entre les lèvres de ma femme me fait jouir et j’éjacule une large rasade de sperme sur le tapis de son salon.
Salaud de Ali!

La neige a envahi l’écran, il n’y a plus d’image.
Les pensées tourbillonnent dans ma tête, avec des sentiments mêlés de colère et d’envie, de jalousie et de désir.
Je ne sais pas si j’en veux vraiment à mon épouse qui ne m’a pas vraiment trompé, à mon copain qui l’a incité sans trop abuser.
Ali a-t-il fait visionner son film à d’autres ?
Je pense au nombre de gars qui se sont branlés en la regardant, certains sont peut-être de nos amis.

 

Par lailatvx.erog.fr - Communauté : Maris cocus
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:37

Petite bite = cocu

Avoir une petite bite prédestine effectivement les sous males à être cocus. La nature ou la génétique a doté les hommes comme moi de sexes bien trop petits pour combler une femme. Ma première copine, lassée par ma toute petite queue (7 ou 9cm en érection) m'a souvent trahi, puis a fini par me plaquer, non sans m'avoir auparavant bien convaincu de mon infériorité. C'est donc conscient de cela que j'ai connu ma compagne actuelle. Elle s’appelle Nadia, 25 ans (aujourd’hui), mignonne, vierge et très innocente, elle n'avait auparavant aucune idée de la taille normale d'un sexe. J'aurais pu ne rien dire, mais ma première copine m'avait bien conditionné. J'ai donc très rapidement avoué à ma femme Nadia que le peu de sensations qu'elle éprouvait lors de mes saillies était du à la petitesse de mon sexe. Très amoureuse de moi, elle prit cela avec amusement, disant ne pas y accorder d'importance. Elle disait regretter de ne pas me sentir en elle et trouvait mes prestations bien trop brèves (je suis éjaculateur précoce), mais se contentait de jouir sous ma langue. Un soir cependant, alors que j'étais déjà au lit, elle arriva munie d'un mètre de couturière et voulut mesurer mon sexe au repos et en érection. Je ressentis une humiliation et une honte intenses qui m'excitèrent prodigieusement. Je pus voir sa mine dépitée lors des mesures (4x2 au repos, 9x3 en érection). Elle avait longuement discuté avec son amie Jamila ce jour là et celle ci lui avait dit le plus grand bien des sexes de grande taille. Ma compagne, ignorant mes dimensions, avait donc voulu vérifier si ma bite était si petite que cela. Le moins qu'on puisse dire, est qu'elle fut fixée. Je fus tellement excité que je me ruais sur elle et éjaculais en la pénétrant. Par la suite, elle refusa de plus en plus souvent de faire l'amour avec moi, les rares saillies se terminant à chaque fois en quelques secondes. Puis vint la période ou je n'eus plus le plaisir de la prendre. Pour cela elle utilisa une technique imparable qu'elle utilise toujours. Je dois la lécher jusqu'à l'orgasme, puis ensuite elle me dit que je pourrai venir en elle si je suis capable de retenir ma semence un certain temps alors qu'elle me masturbe. Au début je devais me retenir 30 secondes, elle arrivait sans peine à me faire gicler avant le délai fatidique en se moquant de mon petit sexe. A ma demande, elle a accepté de diminuer le délai. Ce furent 20 secondes, puis 10 et actuellement 5 secondes. Elle est devenue experte en masturbation et me conditionne tellement bien qu'il n'est pas rare que j'éjacule au moment ou elle saisit mon sexe pour le branler. Cela fait maintenant plus de 2 ans que je ne l'ai pas pénétrée.
Nous sommes toujours très amoureux l'un de l'autre, elle n'envisage aucunement de me quitter, cependant elle désirait avoir du plaisir autrement qu'avec ma langue ou mes doigts. Cela a été long à venir, mais elle a fini par me cocufier. Je l'ai longtemps poussée à essayer un vrai male, j'acceptais qu'elle me trompe, mais j'y mettais une condition, elle devait me tenir au courant. Il y a 1 an environ, elle m'a avoué avoir franchi le pas. Ce jour là, j'étais fou d'excitation, je lui ai demandé de me raconter en détails. J'ai léché longuement sa chatte qu'avait exploré le sexe d'un autre homme alors qu'elle me décrivait mon premier cocufiage.
Abdel, un collègue de travail a eu l'insigne honneur de faire découvrir à ma compagne les joies d'une bonne pénétration. Aux dires de ma compagne, le sexe de son amant n'est pas extravagant, mais ses 18cm de long pour 5cm de diamètre sont amplement suffisants pour l'emmener au 7ème ciel (c’est quand même le double de mon zizi) il est très endurant et est capable de lui fournir plusieurs orgasmes avant de se vider. Au début, il mettait évidemment un préservatif, mais face à mon insistance et la confiance venant, ma compagne accepte maintenant qu'il se vide en elle. Un bon cocufiage nécessite l'enfoutrage et aux dires de ma femme, celui ci est particulièrement copieux. Nous n'en sommes pas encore au stade ou je dois, comme tout bon cocu soumis, lécher sa chatte souillée, Nadia se lave toujours avant de quitter Abdel, mais dès qu'elle arrive, je me rue sur elle pour la lécher et je suis prodigieusement excité à l'idée que le male a envoyé de longues giclées de sperme au plus profond de son intimité.
Nous sommes parfaitement épanouis, Nadia a toujours autant d'amour pour moi, elle voit Abdel 1 ou 2 fois par semaine et ses besoins sexuels sont comblés. Ils n'envisagent pas pour le moment que je puisse assister aux saillies, je me branle beaucoup, ma femme ne rechigne pas à me le faire, mais il est hors de question que je la prenne et cela comble mon désir de soumission et d'humiliation. Comme elle dit en riant, " il est tout à fait normal que je n'aie plus droit aux saillies, pour bien faire, les sous males comme moi ne devraient jamais avoir le droit de posséder une femme, nous devrions rester puceaux, notre petit engin ne servant qu'à uriner"
_________________

 

Par lailatvx.erog.fr - Communauté : maris cocus mais heureux
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:33

Je m’appelle Nadia, j’ai 24 ans, je suis brune et je vis avec mon mari Karim, un homme de 31 ans, plus passif qu’actif, aimant souvent porter mes dessous, se faire enculer par des mâles au lieu de s’occuper de sa femme chérie.

Mes parents ont une belle maison avec piscine, pas loin de Rabat.
J’y invite souvent des amis pour venir s’amuser le week-end. Le plus assidu étant le petit voisin de 17 ans : Aziz.
Il est noir et plutôt bien proportionné, très musclé pour son age. Souvent, je le laisse s’amuser alors que moi je bronze à coté.
Je bronze toujours les seins nus, ils sont assez gros (90D) donc je préfère les laisser respirer. Je porte tout de même une culotte pour ne pas paraître trop sexy.
En effet il m’est arrivé de le surprendre en train de contempler mes seins ou de regarder mon sexe.
Sa mère me dit qu’il a beaucoup de succès avec les filles, c’est vrai que c’est un beau jeune homme.
Cette après midi là, il jouait dans l’eau quand je lui ai demandé de venir me passer un peu d’huile sur le corps. Je ne lui avais jamais demandé cela mais aujourd’hui je voulais sentir des mains masculines sur mon corps.
Il s’approcha, prit de l’huile, s’en mit sur les mains, je lui dis d’attendre une seconde, je roule ma culotte dans mes fesses pour qu’il puisse bien voir ce que je veux.
Il me massa le dos et les fesses, c’était divin, ce jeune devait en effet avoir beaucoup de succès auprès de filles, car il savait s’y prendre.
Il me proposa de me masser devant.
Je lui répondis que oui c’était très gentil de sa part. Il me massait mais je sentais aussi ses mains me palper les seins, les cuisses, c’était délicieux.
Après ce tendre massage, il se lava les mains puis s’installa sur un transat à quelques mètres de moi.
Moi je frissonnais encore, la sensation de ses mains m’avait même humidifié ma culotte.
J’en voulais plus, j’étais bien disposée à me satisfaire, même si c’est un gamin.
Je me levai de ma transat, et me dirigeai vers le sien. Il était allongé sur le dos, avec comme seul vêtement ce petit slip de bain rouge.
Je m’asseye sur lui à califourchon, il se redressa d’un coup en me demandant ce qu’il m’arrivait.
Je lui dis que je voulais sentir la chaleur d’un homme, je frottais mon bassin sur son petit slip qui se mit rapidement à gonfler. Nos deux sexes étaient presque en contact, seuls les tissus de nos culottes respectives formaient un rempart. Il me dit qu’il avait aussi très envie de moi depuis longtemps.
Je lui ai demandé s’il savait s’y prendre avec les filles, s’il l’avait déjà fait.
Il me répondit que oui et qu’il adorait le sexe. Il m’a même dit s’être branlé dans les culottes de mon dressing.
A ces mots, je me levai, enlevai ma culotte et me rasseye sur lui. Ses yeux me dévoraient de haut en bas, surtout ma chatte. Je pris ma culotte et commençai à la frotter sur son sexe.
J’enlevai son slip lorsque je vis sa queue énorme, un véritable pieux noir ! Elle devait faire 26 ou 27 cm, d’un diamètre impressionnant. Malgré mon age et le nombre de compagnons que j’ai eus, je n’avais jamais vu une bite de cette taille.
Avec la queue qu’il a, ce gamin va me baiser comme cela ne m’est pas arrivé depuis longtemps.
Il me demanda si sa queue m’impressionnait, je lui dis que oui mais que j’en avais envie.
« Alors si tu as envie, occupe toi de moi ».En même temps il me tenait serré à califourchon contre lui et me pelotait le cul, les seins, me fouillait la chatte a fond.
Ma cramouille était trempée, ma liqueur dégoulinait sur ses couilles.
Je lui branlais doucement son sexe, lui massais ses grosses couilles, l’embrassais, j’étais ivre de plaisir, j’avais une envie folle que ce gamin me pénètre.
Nos sexes se frottant l’un à l’autre, leur chaleur se confondait, c’était très agréable. Je ne pouvais plus attendre, il me fallait cette queue au plus profond de moi. J’essayai donc de me l’introduire avec difficulté, il me prit la main, enleva sa queue et me dit :
« Suce moi et ensuite je vais te prendre comme la salope que tu es »
Il me dominait, ce gamin de 17 ans me dominait, en plus je n’aimais pas sucer les hommes, ce n’est vraiment pas mon plaisir.
« Non Aziz je n’aime pas ça »
Alors il me releva, m’allongea sur le dos sur le transat, je me préparais à prendre cette énorme queue entre mes jambes.
« Oui vas-y salope, masturbe-toi, tu vas avoir cette queue qui te fait mouiller depuis si longtemps »
A ces mots, au lieu de s’allonger sur moi, il se mit à califourchon sur ma tête et commença à me rentrer son engin dans la bouche. J’essayai de le repousser en vain.
« Suce moi a fond ou je dirai à mes parents ce que tu fais avec moi »
Je compris vite qu’il fallait que je me laisse faire, j’avais voulu du sexe à ma manière, et bien ce sera à la sienne.
Il tenait ma tête et me défonçait la bouche à grands coups de reins, il me touchait le fond de la gorge au point de me faire vomir !
Lorsqu’il enleva sa queue, je le traitai de petit salaud, que cela ne se faisait pas.
Il me gifla les seins et me mit à quatre pattes sur la terrasse.
Il tapotait sa main sur ma cramouille je n’en pouvais plus. Il frotta sa queue contre ma fente puis il commença à pousser pour entrer son énorme zob.
Cm par cm, sa longue bite me pénétrait, je sentais ma chatte se dilater comme jamais cela ne m’était arrivé auparavant, cette queue repoussait les parois de ma chatte.
Cette jouissance m’était inconnue à tel point que mes genoux flanchèrent et je m’écroulais allongée sur la terrasse.
Il me releva, m’embrassa, me porta à califourchon sur lui jusqu'à la piscine. Je sentais encore son gros gland frotter ma fente trempée, ma chatte était distendue. Là il s’assit sur la première marche dans l’eau et me dit :
« Viens t’empaler ma chérie »
Je m’assis donc sur sa queue et celle-ci me fouilla jusqu’au fond du vagin. Maintenant il ondulait pour me défoncer.
Sa queue butait au fond de mon vagin alors qu’il restait encore des centimètres hors de ma chatte. Je ne pouvais plus bouger, j’étais littéralement prise sur son axe.
Sa queue me tenait fermement, alors qu’il continuait à me pilonner, il n’arrêtait pas de me lancer des propos salaces.
« Tu aimes te faire limer par un black » ou encore « t’aurais pas du chauffer un zob de black, maintenant il va te pistonner ».

Après de longues minutes interminables, ma chatte n’en pouvait plus de ce long piston. Il me releva, m’allongea sur la terrasse, s’avança et posa sa queue entre mes seins et me dit :
« Je vais gicler entre tes seins vieille pute »
Il fit cinq ou six va et vient entre mes seins et déchargea une incroyable quantité de sperme sur mes seins, ses jets allant jusqu'à mon visage.
Il m’a repeint ce petit salaud.
Il se rhabilla et partit souriant, en m’embrassant il me dit :
« On se voit bientôt ma chérie, je n’ai pas encore élargi ton cul »

Le lendemain, je ne suis pas allée travailler, je pouvais à peine marcher tellement sa queue m’avait pilonnée avec violence. Moi qui souhaitais initier un beau jeune homme au sexe, c’est plutôt lui qui m’a initiée !

Depuis ce jour, il vient 4 à 5 fois par semaine pour me baiser, et je dois dire que je ne peux plus me passer de sa grosse bite.

Par lailatvx.erog.fr - Communauté : maris cocus mais heureux
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 août 3 10 /08 /Août 11:32

Nous avons la chance d’habiter une petite villa individuelle à Rabat (Maroc), entourée d’une haie suffisamment haute pour nous maintenir à l’abri des regards indiscrets de nos voisins. Luxe suprême, nous avons fait installer une petite piscine sur l’avant de la parcelle.

Ma femme Nadia, 26 ans, est une jolie brune aux seins menus, mais fort agréables à caresser, car très sensibles. Sa chatte est souvent rasée de frais, ce qui n’est de loin pas désagréable.

Un jour, nous avons hébergé un ami de longue date. Abdou revenait au pays après trois longues années passées aux États-Unis. Nous étions au mois de juillet et il ne commençait dans sa nouvelle place qu’à partir du mois d’août. Il était à la recherche d’un nouveau logement et n’avait qu’un minimum d’affaires personnelles avec lui, l’essentiel de ses biens se trouvant encore quelque part au milieu de l’Atlantique, dans un container solidement ancré sur le pont d’un bateau.

Ce samedi, alors qu’il faisait beau et très chaud, j’étais sensé être absent toute la journée pour raisons professionnelles. J’avais hélas oublié un document. Aussi, profitant de la pause de midi, je fis vite un saut à mon domicile pour reprendre l’objet oublié. Je rentrai discrètement…

Quelle ne fut pas ma surprise, quand je vis, à travers le fin voilage tendu devant la verrière du salon, mon ami Abdou couché sur le dos, les pieds tournés contre moi, dans la pelouse, nu !

Ma femme, je la voyais de face… elle était assise à califourchon sur lui, lui tournant le dos, nue elle aussi, bien entendu. Elle prenait appui sur ses bras tendus derrière elle et ses petits seins aux mamelons érigés pointaient vers le ciel.

Entre ses cuisses entrouvertes, un sexe se glissait dans sa vulve… un sexe aux dimensions surprenantes : son diamètre devait bien faire dans les 7 à 9 centimètres !

Autre chose surprenante, ma femme qui d’habitude est extrêmement expressive n’imprimait que de tout petits mouvements à son bassin : sans doute la taille de cette verge gigantesque l’empêchait d’en faire plus ! Abdou la tenait par les hanches et lui indiquait le rythme à suivre, il paraissait rayonnant.

Je me précipitai alors sur mon appareil photographique. À l’aide du téléobjectif, je pris quelques photos en prenant bien soin de rester caché derrière le voilage. Je réglai le diaphragme sur l’ouverture maximum, et j’effectuai la mise au point sur les deux corps nus qui bougeaient lascivement devant moi, ainsi le rideau léger n’apparaîtrait pas sur la photo, tout au plus sous la forme d’un très léger flou adoucissant. Je pris quelques vues d’ensemble des deux amoureux, puis des gros plans sur ce pieu énorme qui défonçait voluptueusement la vulve ma femme dont les grandes lèvres épousaient le contour comme pour encore mieux le capturer.

Je reposai mon appareil et restai encore un instant à les regarder : soudain les deux corps se raidirent, comme tétanisés par la jouissance, puis ils se détendirent brusquement… Mon ami Abdou se redressa alors en position assise, sa verge toujours logée dans le sexe de mon épouse, et il se mit à lui embrasser le cou, le visage, les joues, les yeux, les lèvres comme dans un geste de profonde reconnaissance.

Je quittai discrètement la maison en prenant soin de ne pas oublier le document que j’étais venu chercher, ainsi que mon précieux film que je comptais faire développer l’après-midi même. La rue étant en pente, je laissai repartir mon véhicule en roues libres, de façon à ne pas me faire remarquer et je rejoignis ma réunion.

 

Quand, en fin d’après-midi, je rentrai à la maison, mon épouse vêtue d’une petite robe moulante bleue, de la couleur de ses yeux, vint se lover contre moi. Chatte, elle m’embrassa voluptueusement… Faisant celui qui ne savait rien, je m’enquis de connaître la manière dont ils avaient passé la journée.

— Oh, très simplement me dit-elle, nous avons fait des courses pour le souper et le week-end, car je pense qu’après une journée de dur labeur, tu dois être affamé. Puis, après un repas léger, nous avons piqué une tête dans la piscine. Par ces grandes chaleurs, c’était fort agréable et enfin nous avons plaisanté sur tout et sur rien, sur les gens qui s’acharnent à s’enfermer dans des bureaux à l’air conditionné pour travailler toute la journée alors qu’il fait si bon dehors, à se prélasser, à se détendre…

Devant ma moue déconfite, elle se lova à nouveau contre moi et, me gratifiant d’un deuxième baiser, elle rajouta :

— Mais non, bien sûr, je plaisante !

Le souper se passa de fort bonne humeur, les deux « compères » se comportant comme si rien ne s’était passé entre eux. À la fin du repas, je sortis alors une enveloppe cartonnée de format A4 que je leur tendis en précisant :

— C’est un cadeau pour vous deux, ce sont des paysages que j’ai vus ces jours. Je tiens à vous préciser que je trouve ces photos très belles, d’un spectacle enchanteur !

Avant de me rendre sur mon lieu de travail, j’avais juste eu le temps de déposer la pellicule dans un laboratoire de développement rapide. Au retour, après avoir repris mes photos développées (la charmante vendeuse me lança un regard intrigué) je passai encore vite dans un service de photocopie où j’agrandis en couleur quelques-unes des photos choisies : un plan d’ensemble sur lequel le flou du voilage créait une note artistique et un gros plan du zob monstrueux défonçant (pour le plaisir des deux) le petit sexe glabre de ma charmante épouse.

À l’ouverture de l’enveloppe, je les vis blêmir, cherchant à bredouiller des excuses pour l’un et des tentatives d’explications pour l’autre… Je les interrompis alors, faisant entre autre taire ma femme d’un doux baiser et profitant du moment d’accalmie obtenu, je rajoutai :

— Comme je vous l’ai déjà dit, je ne vous en veux absolument pas, je trouve réellement ces photos, et le spectacle qui y est lié, très beaux. Je sais que ma femme a un tempérament très chaud et qu’il serait prétentieux de ma part de prétendre pouvoir la combler complètement. Je ne vois dans ce qui s’est passé aujourd’hui aucune « tromperie » de sa part et, quelque part, j’ai même de quoi être fier : si elle peut faire chavirer la tête (et le reste…) d’un autre homme, c’est que mon choix est assurément le bon quant à ses qualités et capacités ! De plus, la connaissant, je suis persuadé qu’il n’y a aucun calcul derrière ce geste et qu’elle n’a agi que par pure générosité, sans intérêt aucun.

Ils entreprirent alors de me raconter conjointement la genèse de cette aventure.

Après un repas léger, ma femme lui proposa effectivement de « piquer une tête » dans la piscine. Malheureusement notre ami Abdou, n’ayant que le strict minimum d’affaires personnelles, n’avait pas de costume de bain. Ma femme lui proposa alors de lui prêter un des miens, il lui répondit qu’assurément ils ne lui iraient pas (au souvenir de son sexe gigantesque, j’imaginais pourquoi). Sans se troubler aucunement, mon épouse se mit dans le plus simple appareil et plongea dans l’eau.

Notre ami n’eut d’autre choix que… de faire de même ! Il se dévêtit donc, dévoilant alors un sexe étonnant : il n’était pas très long : huit, neuf centimètres, tout au plus, mais avec, au repos, un diamètre déjà impressionnant de cinq à six centimètres. Ces proportions très particulières lui donnaient l’aspect d’un gourdin, d’une masse.

Dans l’eau ils s’amusèrent comme des enfants, se bousculant, se passant sous l’eau, se poussant, s’étreignant parfois à bras le corps pour se tirer au fond, tout ceci dans le respect mutuel de l’autre, dans une attitude fort chaste, sans aucune tentative de dérive sur le plan sexuel.

Puis ma femme sortit et lui proposa un rafraîchissement. Il lui répondit que s’il n’avait eu aucun problème pour la suivre dans l’eau dans cette tenue, il se trouvait maintenant bien emprunté pour se présenter à elle : le contact de sa peau nue lors de leurs joutes aquatiques ainsi que le spectacle sublime qu’elle lui offrait maintenant (il n’avait guère eu le loisir de l’observer avant qu’elle plonge dans l’eau car tout ceci s’était passé si rapidement) le mettaient dans des conditions non présentables devant une femme.

Elle lui répondit du « tac au tac » que bien au contraire, si sa condition était bien celle qu’elle imaginait, c’était assurément le plus bel éloge qu’un homme pouvait faire à une femme, sans aucune possibilité de mensonge, de dissimulation ou de tromperie : des sentiments mis à nus, dans le sens littéral du terme.

Il sortit donc de l’eau, le sexe en érection. Et là ma femme resta étonnée : si son sexe s’était encore dilaté et devait atteindre les huit à neuf centimètres de diamètre, il ne s’était pratiquement pas allongé, donnant ainsi avec son gland violacé plus l’impression d’un gros poing de boxeur qu’un organe génital masculin ! Devant sa mine étonnée, il ne fut pas surpris :

— Eh oui, c’est toujours ainsi : dans certains cas je provoque l’effroi de ma partenaire qui n’imagine pas comment elle pourra contenir cet engin monstrueux en elle. Pour les autres, la situation n’est guère meilleure !

Sur son insistance, il lui expliqua, désespéré, son infortune avec les femmes. Pour celles qui passaient le cap de la première découverte, la situation n’était guère plus encourageante : lors de leurs premières relations amoureuses, tout mouvement un peu brusque ou trop prononcé finissait irrémédiablement par l’éjection de ce sexe au demeurant fort large, mais court. La frustration ressentie alors par sa partenaire ne passait jamais le cap de la deuxième tentative.

Devant son attitude démoralisée, mon épouse le persuada d’essayer encore et voulant lui prouver que c’était possible, elle décida de lui faire l’amour. Elle l’allongea sur l’herbe et, pour parfaitement contrôler la situation, elle prit, elle, les choses en mains ! Debout devant lui, elle se caressa d’abord longuement, laissant courir ses mains sur tout son corps, se pinçant les mamelons, glissant dans sa chatte pour en faire pointer le clitoris. Elle cherchait de cette manière à maintenir l’état d’excitation de notre ami (ce qui n’était pas difficile) mais surtout à faire mouiller parfaitement sa petite chatte pour permettre une lubrification suffisante de sa vulve et favoriser ainsi l’intromission de cet organe aux dimensions hors normes.

Elle s’assit alors sur lui, jambes très écartées et s’aida de ses doigts pour faire pénétrer délicatement, mais de force ce sexe qui l’impressionnait tellement. C’est ainsi que je les surpris ! Je comprenais alors mieux le peu de mouvements exercés par ma femme : il s’agissait de ne pas le perdre. La connaissant, elle devait sûrement remplacer le mouvement ondulatoire de son bassin par un massage exercé par ses muscles pelviens autour de cette colonne de chair, massage dont je ne doutais aucunement du résultat. Je compris aussi bien mieux la gratitude de Abdou après avoir joui : ce devait assurément pour lui être une de ses « premières » fois !

 

Je ne regrettais donc absolument pas mon attitude complaisante et pris mon épouse à bras le corps pour l’embrasser passionnément. Ce faisant, je glissai discrètement une main sous sa robe, main qui remonta jusqu’à sa petite culotte que je trouvai… détrempée de mouille !

 

— Alors, ma puce, ça t’excite tant, de nous raconter tes exploits ? Pourquoi ne pas nous faire profiter de tes charmes à tous les deux, puisque nous sommes présents, et assurément très réceptifs à la poésie de ton beau corps.

Et pour mieux l’engager sur cette voie, j’enserrai de ma main sa petite culotte que je retirai. À cet instant, et en réponse à ma démarche audacieuse, son baiser se fit plus passionné encore. Elle se plaça face à nous, dans la lumière tamisée de l’éclairage et fit lentement glisser sur ses épaules les bretelles de sa robe, accompagnant le tout d’un déhanchement lascif. La robe glissa lentement ; elle s’arrêta un instant avant de dévoiler ses petits seins dont les mamelons pointaient déjà… Nous étions, Abdou et moi, ébahis, le souffle retenu par tant d’audace ; la robe glissa encore, dévoilant le ventre plat, le nombril puis la petite touffe de poils blonds surmontant le pubis et qui chaque fois échappaient (volontairement) à la tondeuse. Nouvel arrêt, avant qu’elle laisse enfin tomber ce qui était le dernier rempart de sa nudité complète qu’elle nous offrait maintenant à tous les deux.

Elle s’approcha alors de nous. De Abdou d’abord, qu’elle embrassa généreusement, pour bien lui faire comprendre qu’il n’était aucunement exclu de ce qui allait suivre. Elle accompagna encore son geste d’une caresse bien appuyée, remontant du genou jusqu’à la bosse énorme qui déformait son pantalon, pour mieux affirmer sa démarche et, peut être, pour s’assurer de l’effet qu’elle avait produit sur son public !

Puis elle nous prit par la main, nous entraînant sous la douche. Très vite nous fûmes nus, nous aussi, et je pus enfin observer dans son entier le zob si particulier de mon ami. Ma femme se plaqua alors contre nous, frottant ses petits seins contre nos poitrines alors que ses mains habiles partaient à la conquête de nos sexes tendus, chacune s’accaparant du sien. Tout en nous caressant habilement, elle venait coller son sexe entrouvert contre le haut de notre cuisse, alternant l’un, puis l’autre. L’excitation était telle que nous ne mîmes pas longtemps à jouir, déversant chacun notre sperme contre son ventre et le bas de ses seins. Elle se cambra en arrière, laissant couler le liquide séminal jusqu’à l’orée de son sexe, elle en recueillit alors dans le creux de ses mains et, adossée à la paroi, elle se masturba avec, s’en enduisant copieusement la vulve, jusqu’à ce qu’une jouissance très forte la terrasse. Épuisée, elle se laissa glisser jusqu’au fond de la douche, nous laissant dans l’état d’excitation intense que son spectacle nous avait procuré.

Très vite, elle récupéra et j’entraînai tout le monde jusqu’à notre lit conjugal, que j’avais eu la chance de choisir à l’époque assez vaste. Je souhaitais entre autres que l’expérience de Abdou soit encore plus forte, plus marquante, en quelle sorte plus « réussie » que celle de l’après-midi. Je décidai donc de prendre la direction des opérations. Je fis d’abord s’allonger mon épouse, jambes largement écartées. Ce n’était pas dans le but de profiter du spectacle de sa chatte pleinement offerte à nos regards, mais bien dans l’idée de favoriser au mieux la pénétration de Abdou. Je le priai alors de s’allonger à son tour, dans la même position, mais face à elle, puis d’entrecroiser ses jambes avec celles de mon épouse, un peu comme deux paires de ciseaux dont on croiserait les lames. Dés le contact de ce sexe contre sa vulve, ma femme se laissa aller à des gémissements tout à fait à la hauteur de son excitation. Était-ce cette situation nouvelle d’exhibitionnisme et de voyeurisme simultanés que nous vivions qui l’excitait tellement ? Toujours est-il que sa réaction fut très communicative et que mon érection se tendit encore au point que j’en avais mal. Les deux amants joignirent alors leurs mains et se tirèrent l’un contre l’autre, jusqu’à ce que leurs entrejambes se rejoignent, preuve évidente que Abdou était parfaitement en elle !

 

— C’est complètement fou, jamais je me suis senti si bien avec une femme, j’ai l’impression de vraiment te pénétrer profondément. Tu es chaude, accueillante comme jamais je ne l’ai vécu, vous êtes vraiment merveilleux !

— Ce n’est pas une impression, tu me pénètres vraiment très loin !

Puis se tournant vers moi, elle rajouta :

— Je ne souhaite pas te vexer, mais jamais je n’ai eu l’impression d’être pareillement remplie !

Puis pour s’excuser sans doute de paroles qu’elle croyait blessantes (elles ne l’étaient aucunement, tout au plaisir que j’avais de participer… à leur plaisir !) elle m’attira et prit mon sexe archi tendu en bouche. Et tout en étant merveilleusement pénétrée, elle s’appliqua à me sucer comme jamais, m’absorbant parfois jusqu’au fond de sa gorge, voulant m’offrir une cavité aussi profonde que celle qu’elle ne pouvait me donner en cet instant, pendant que ses mains me caressaient les bourses, remontant parfois sur mes fesses pour venir s’égarer vers mon anus ou empoignant ma hampe qu’elle compressait et secouait comme si elle souhaitait la vider jusqu’à la dernière goutte.

Et puis, ils jouirent tous les deux. Je les suivis immédiatement. Malgré des râles à la hauteur de sa jouissance, elle prit soin de me boire complètement, ne laissant perdre aucune goutte. Secouée encore des derniers spasmes de plaisir, elle se laissa alors aller à commenter ce qu’elle venait de vivre :

— Ah, Abdou, ta queue dans ma chatte, j’avais l’impression d’un ballon énorme qui plaquait contre ma vulve et qu’on n’arrêtait pas de vouloir gonfler encore, et puis, quand tu as joui, cette quantité de sperme, c’était chaud, c’était bon, j’avais l’impression que jamais je ne pourrais tout accueillir…

Après quelques instants de répit, nous inversâmes les rôles : je m’allongeai sur le lit, ma femme prit la position qu’elle avait cet après midi avec Abdou, à califourchon sur moi. Nous pouvions ainsi lui montrer le spectacle de sa chatte pénétrée par ma verge et, lui s’étant approché du lit, elle pouvait lui prodiguer de délicieuses caresses buccales.

Pour ma part, dans un premier temps, je me sentais comme perdu dans ce sexe trop dilaté pour moi… mais cette dilatation eut vite un avantage, elle me permettait d’aller très loin, buttant fortement contre le col de l’utérus de mon épouse qui me le fit très vite remarquer :

— Ah, chéri, comme tu vas loin, tu vas me perforer ! Jamais je ne t’ai senti si profondément en moi. Si tu persistes, je vais finir clouée sur ton sexe !

Et puis très vite, sa musculature parfaite aidant, j’ai retrouvé le contact de ses muqueuses contre ma verge, tout en gardant la profondeur que j’avais réussi à atteindre ! Abdou, captivé par le spectacle de nos deux sexes en activité complémentaire, spectacle encore agrémenté des filets de sperme, son sperme qui s’échappait de la vulve de ma femme avait retrouvé une pleine érection.

Mon épouse, qui ne pouvait prendre entièrement en bouche ce sexe aux dimensions décidément très particulières, s’en servait comme d’un gigantesque cornet de glace qu’elle léchait à petits coups de langue rapide, qu’elle mordillait comme pour arracher un petit morceau de glace dont l’arôme nous plaît particulièrement. Ce traitement dut manifestement faire tout son effet sur Abdou car, à son tour, il jouit en même temps que nous, offrant à ma femme sa deuxième ration de liquide séminal qu’elle s’employa, encore une fois, à ne pas laisser perdre !

Puis nous nous allongeâmes tous les trois dans le lit, et avant de nous endormir pour un sommeil réparateur, nous convînmes ma femme et moi, que tant qu’il n’aurait pas trouvé « chaussure à son pied » (et même par la suite, pourquoi pas ?), il trouverait toujours chez nous l’accueil qu’il souhaiterait.

 

Par lailatvx.erog.fr
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus